[JDR] Lieu de Rencontre.

[hrp] on oublierais pas géo?[/hrp]

[hrp : bon. je vais le dire une bonne fois pour toutes. Un monsieur qui voulait m'étriper, m'écharper, me réduire en bouillie et tout le tralala, je me vois mal user d'un miracle pour le ramener dans la quête. Monsieur y retrouvera Mi plus tard (et le tuera, l'écharpera, j'en passe et des meilleures) .Mais puisque vous y tenez.../hrp]

Mi eut un signe appréciatif et s'apprêta à revenir auprès de tout le monde, lorsqu'une idée lui vint en tête.
Il s'approcha rapidement du miliciens aux arc bleutés, sortit un petit papier, griffonna un petit mot et le coinça dans une des poches de la personne.

On pouvait y lire : "désolé pour vos cheveux, si vous voulez les récupérer, rendez-vous à la Caverne Mythique demain soir 21h30. Surtout ne confondez pas avec le mythe de la Caverne."

Puis il rejoint rapidement la troupe et annonça le départ.

"Avançons, nous papoterons une fois loin de ce bourg et ses rues mélangeant cadavres et ronfleurs !"

Auquel il ajouta : "notre premier cap est la Caverne mythique. Là bas !" ajouta-t-il en indiquant la direction du... nord-nord est.


[Hrp : Du fantastique ? y a déjà de la magie, alors pourquoi pas ? Tant que c'est pas trop trop cheaté. Ou même, si c'est cheaté, ok, mais une ou deux fois seulement. Par exemple, mon perso a déjà utilisé deux de ses 3 artefacts magiques, mais il ne risque pas d'en avoir d'autres. après, faut voir... propose, propose ! Si jamais c'est trop cheaté, la loi de Murphy s'appliquera.   ]

Derrière la porte était une plaine somme toute assez plate et sommaire. Vide, en substance, herbeuse, en apparence. Et, a un dizaine de minutes a pied en ne traînant pas, on pouvait distinguer, droit devant, une forêt.


Le carnassier prit fièrement, quoique malgré un air un peu mal réveillé, les devants. Après s'être levé aussi vite suite a l’asphyxie agréablement proposée par l'enfant dont il n'avait toujours pas cherché a cerner ce qu'impliquait le fait qu'il soit censé être son employeur, il subissait un contre-coup. Il fallait dire que dans son cas ce qui avait suivi le réveil avait été assez brutal.
Il soupira en se massant le crane.


L'homme qui suivait restait au niveau de Mi, sans rien dire. Au vu de son visage toujours aussi impassible, nul n'aurait su dire si il était dans son état normal, ou bien simplement trop fatigué.

Il marchait au pas de l'enfant, ses longs vêtements noirs-gris flottant un peu au gré d'un petit vent.

Malfré ses manches, des inscriptions étaient visibles sur ses poignets.

*Lynx se plaça derrière l'enfant, et avança doucement jusqu’à être assez prêt de lui mais en gardant tout de même une marge d'oeuvre au cas ou un dangers roderais dans le coin.*

- En avant chef ?

l'avocate toujours un peu verdâtre se mis a chanceler vaillamment à leur suite

l'enfant réagit à la remarque du Lynx :

"Oui, on y va !"

Et il suivit fièrement le Carnassier, commençant à papoter avec ceux qui se sentaient en état.

"Alors, au fait, vous venez d'où ?"

Le carnassier tourna un regard fatigué et afficha une expression presque exaspérée quelques secondes vers l'enfant suite à sa question, mais ne releva pas plus.

L'homme qui suivait l'enfant n'en dit pas plus, attendant simplement que quelqu'un prenne la parole pour répondre.

Voyant que le nombre de réponse fusant tellement rapidement Lynx décida de prendre la parole.

- Bon apparemment il en faut un qui se lance.....
>> Très bien, je viens d'un tout petit village, si pourris qu'il n'a pas de nom, j'ai échapper à un pillage caché au milieu des cochons.... Euh, non sa c'est une chanson qui me viens souvent en tête.
>> Sérieusement, je viens des montagnes a l'ouest de la ville dont on est partit, un jour voyant le mal que les êtres humains pouvais se faire mutuellement, je décida de prendre mon courage à quatre pattes et je parcourut contrées afin d'essayer d'ouvrir les yeux sur le bien qui pourrais exister si tout le monde vivait en collectivité.... Mais, comment me faire comprendre alors que je ne savais que miaulais ? J'ai du apprendre votre langue, ce fut un apprentissage long et compliqué, mais j'ai finalement réussit bien que quelque fois ma langue peut bafi..bafol..bafoil.... *Lynx désespérer utilisa un autre mot* se trompé et avoir du mal à dire chertain mots.
>> Un jour dans un village, je croisa une jeune demoiselle, qui m'attira alors dans un piège, je fut victime de traitement si bien que chertaine fois si je m'absente auprès de vous, ch'est parcheque j'ai peur de che que vous pourrez pensais....

*Lynx regarda autour de lui et ajouta*

Pour ma part ch'est finie. A qui le tour ?

L'enfant se contenta d'acquiescer d'un air intrigué, intéressé par l'origine et les capacités de sa troupe.
Il haussa un sourcil curieux lorsque le Lynx parla de "traitements" et se demanda intérieurement de quoi il pouvait bien s'agir.
Pour autant, il s'abstint de tout commentaire et le fixa successivement pour lui en demander peut-être plus, puis se tourna vers le reste du groupe.

Avisant le Carnassier, il se souvint d'un détail et prit la parole.

"Au fait, pourrais-je enfin SAVOIR l'origine de la belle histoire d'amour qui s'est passée entre vous et l'Avocate, qui a abouti à la précipitation brusquée de notre départ et peut-être, qui sait, la perte dudit feu Rackam, fleuron de la piraterie du pays si mes souvenirs sont exacts ?"
Il appuya ses propos d'un regard lourd, puis, hésitant une demi seconde, finit par ajouter :

"Et avec tout ça, qui êtes vous réellement ? Pourquoi avoir eu cette hâte à vouloir rejoindre notre troupe ?"

Le carnassier s’arrêta de marcher soudainement.

Il se retourna vers le groupe, et déclara de façon presque décalée, avec un geste de la main ; « Quelle accusation ! J'ai deux choix. Soit, je fais comme si j'étais heurté et je me montre violent dans mes propos,… et nous n'avons pas le temps pour ça… »
Il se retourna a nouveau et reprit la marche.
« …Soit je fais comme si de rien n'était en souriant mystérieusement. »

Le sourire mystérieux fut quasi immédiatement remplacé par un sourire carnassier. Les autres membres n'en voyaient toutefois pas grand chose car le carnassier était toujours à l'avant de la marche.

« Je suis fatigué. On pourrait dire que ça ne m'aide pas a rester calme. Cependant je vais choisir la solution seconde pour des raisons d'ordre purement pratique. Vous noterez donc que je sais être raisonnable. »

Il se tourna de moitié vers l'enfant un instant et lui fit un sourire mielleux et trop poli.

« Et puis concernant madame l'avocate,… »
Il eut un regard vague pour cette dernière, tout en se remettant dans le sens de la marche.
« Elle à simplement été peu discrète en faisant mention de vôtre quête… Ayant entendu le propos tandis que je réglais un petit conflit avec un garde trop insistant, qui tenait à ce que j'aille voir je ne sais qui pour « répondre de mes actes » à cause d'un simple meurtre, … »
Il fit une moue évasive avec un air habitué avant de reprendre :
« … Eh bien j'ai… disons… laissé sur place les miliciens qui arrivait pour moi, en prétextant devoir rejoindre une quête et un employeur qui semblait être un enfant, et qui avait donné comme point de rendez-vous « devant l'auberge ». Je dois avouer qu'ils avaient l'air surpris. »

Il marqua une petite pause pensive, et pour finir de justifier le fait qu'il soit là, il ajouta : « La quête et son commanditaire semblait tellement amusante. »

Il rit.

L'enfant eut un rire soudain à la réponse du Carnassier.

"Je vois. J'ai piqué au vif. Et donc, une origine particulière ? Vous êtes d'ici ?"

Le carnassier agit exactement comme s'il n'avait rien entendu.

l'Avocate soupira: "Pffff la vérité c'est qu'il veux pas dire la vérité"

l'enfant se tourna vers l'avocate avec un air intéressé.

"Ah ? Et quelle est-elle ?"

"La personne qu'il a tué...."
L'avocate respecta un léger silence pour faire monter la tension
"... c'était le fils d'un notable important du bourg que nous venons de quitter. Mais c'est pas ça le plus intéressant. En fait notre camarde ci-présent est impromptuement intervenu lorsque le fils de ce notable allait tuer un chaton dans une ruelle en périphérie du centre. Apparemment il ferais partie d'un réseau de trafique de fourrure de chatons mais il a toujours réussi à s'en sortir. Quoi qu'il en soit, notre compagnon s'est interposé entre fifils à papa et le chaton. Seulement voilà, le fiston avait bu et la bagarre a dégénérée. Il s'est ensuite gentiment laissé interpeller. Comme tous les prévenus il avait droit a un avocat. Ayant entendu que j'était en ville et souhaitant faire tomber le réseau des trafiquants de fourrures il a manifesté le désir d'être emmené chez moi afin que je le défende seulement j'était en train de préparer mes bagages. Il est donc reparti avec son escorte dont il s'est visiblement plus ou moins débarrassé avant de se joindre à nous."
l'avocate tenta d'étouffer un sourire
"Messieurs, Meslynx, je vous prie donc d’accueillir dans notre humble compagnie, le fabuleux, le fantastique, l'éblouissant   (roulement de tambour)   Sauveur-de-Chaton !

L'enfant partit d'un rire.

"Quelle noble cause ! Ah oui, vraiment. Pourquoi vouloir sauver les chatons ?"

Il avait demandé ça à la légère, mais son regard laissait transparaître un intérêt certain pour l'affaire.

Le carnassier afficha un sourire presque enfantin en répondant.

« Par ce que c'était amusant. »

Puis, il reprit son air mesquin.
« Ma chère avocate, sachez, pour votre gouverne… qu'il ne m'est pas nécessaire qu'une quête semble virile pour que j'en ressente l'envie de l'effectuer. » Il rit. « Et je ne me suis pas interposé tel un héros,… contrairement à ce que les dires pourraient laisser penser… »

« Simplement par ce que c'était… amusant. »
Il sourit d'un air absent comme au souvenir de quelque chose de vague.

« Quoi de plus drôle que de faire payer un homme pour un crime auquel certains ne rattacheraient qu'une importance moindre ? » Il rit.

« Quand au chaton, mon intérêt pour lui n'aura pas duré bien longtemps. Seul dans une ruelle, à cet age, vous déduirez bien mieux que moi ses chances de survie… N'est-ce pas ? »

Il sourit de façon mielleuse.

Lynx écoute avec attention l'histoire du carnassier, surpris il s’apprêta a posé certaines questions à son camarade, quand l'avocate pris la parole. Entendant parler de l'histoire du fifils à papa, Lynx ne pus se retenir, il sortit les griffes ouvrit la gueule et chuchota :

- Conneries de bourgeois.... Si le carnassier ne se serais pas trouvé la, un homme sans scrupule parcourerais encore che monde.

Lynx se tourna vers le sauveteur et le regarda :

- Merchi de tout coeur de cette intervenchion. Comme vous le dites, un chaton seul dans une grande ville ne risque pas de vivre de nombreuse année, espérant qu'un de mes compagnons habitant dans les montagnes vienne en ville et découvre le petit. Sinon, espérons qu'une ame cha...cha...chari...charitoble le recueil auprès de lui.

Puis Lynx se tourna vers Mi son commanditaire :

- Et pourquoi pas, très cher ? D'après vous ce chaton ne méritais t'il pas de vivre ?

Une grande déception se lut dans les yeux du félidé. Puis il chuchota.

- Moi qui penser lutter pour une noble cause , me serais-je trompé ?

L'avocate sifflota de manière équivoque en coulant en loucédé un regard au carnassier du type "mmm mmm"

Le carnassier haussa un sourcil presque surpris en direction du Lynx.

« Merci ? »
Il paraissait un peu décontenancé.
« … Tu me remercies… Comme si j'y avais trouvé… … Je pensais avoir été clair… Le chaton m'importait peu. »

Il regarda Mi distraitement, attendant la réponse de ce dernier au propos du Lynx avec un intérêt vague qu'il ne s'expliquait pas.

Et non loin de là.... https://geographiedelapense.forumgratuit.org/t596-la-milice

L'enfant regarda le Lynx avec un sourire amusé.
Il s'apprêtait à lui répondre en défaisant son bandeau, mais une double remarque de la part du Carnassier lui fit oublier l'entreprise.

Il eut un choc électrique à l'usage d'un mot de la part de ce dernier.

Un peu heurté, il prit hâtivement le petit livre de poche qu'il avait utilisé dans le village, chercha, le lut, se tourna vers le Carnassier d'un air assez effaré, se replongea dans le bouquin, reçut un autre choc électrique, referma d'un coup sec le bouquin, et le rangea, visiblement perturbé.

"... Je... on... euh... je crois qu'on va devoir se dépêcher."

Et il hâta son pas, doublant du même coup le Carnassier en tête de groupe.

Le carnassier haussa son autre sourcil.

Il regarda en direction de l'avocate en cherchant à voir si elle avait compris quelque chose ou si il était tout seul à avoir loupé un truc.

Puis, il pressa le pas pour revenir au niveau de l'enfant.
« Eh, gamin ? » Il sourit. « Si ça peut te rassurer les chatons et les humains m'importent tout autant, hein ! » Le carnassier eut un petit rire, derrière lequel se cachait visiblement une certaine forme de curiosité.

[hrp] quelqu'un pourait modifier le lien 3 poste plus haut svp.il faut mettre un lien vers le poste la milice de la même section. merci d'avance [/hrp]

—> Klev : c'est fait.

L'enfant continua d'avancer à grand pas.

"Oui oui", lança-t-il d'un ton évasif. "Tant mieux, vous aurez l'un et l'autre".

Puis il se retourna et tenta de relancer la conversation, non sans trahir un air mi-irrité mi-effaré contenu à grand peine.

"Alors ? Vous, monsieur, d'où venez-vous ?"

Il pointait du regard l'Homme qui suivrait.