Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
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Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
Je tiens a rappeler au lecteur que cette histoire est à imaginer visuellement a partir du texte, qui sert donc de guide. Il est cependant déconseillé d'aller trop loin dans les détails quand vous imaginez (l'univers est de toute façon très épuré graphiquement), pour que votre imagination n'entre pas en conflit avec ce que vous indique le texte dans sa narration. Bonne visualisation…
Victor n'était pas plus grand ni plus petit que les autres enfants de huit ans. Il avait un visage fin, des cheveux pas spécialement longs, mais bruns foncés, et des yeux bleus relativement peu expressifs. Il était en orphelinat. Aussi, il portait un pantalon marron et une chemise blanche, comme le voulait ceux qui avaient choisi ses vêtements. Il était plutôt maigre, voir visuellement un peu chétif, mais il n'était pas pour autant plus faible que les autres. Victor ne se souvenait plus exactement pourquoi il était a l'orphelinat, sans doute y avait il été mis trop jeune pour se rappeler de ce qui lui été arrivé avant.
Il avait faim. Comme tout les jours. Comme tout les soirs. Et il faisait la queue avant d'entrer au réfectoire. Comme tout les soirs.
La nuit commençait doucement a tomber, sur l'orphelinat bordé par la forêt de sapins. Les murs était blancs, presque d'une teinte métallisée, et l’éclairage de l'entrée du réfectoire était presque la seule source de lumière qui serait encore visible d'ici une bonne vingtaines de minutes. Devant lui, une trentaine d'enfants, comme lui, qui notaient leur noms sur une feuille a un rythme bien trop lent, sous les yeux distraits d'une surveillante en pleine discussion avec un homme dont Victor n'avait aucune idée de la raison de la présence a l'orphelinat.
L'odeur du poisson lui parvenait jusqu'au narines, décuplant l'indignation de son estomac. Tout les autres enfants avait sans doute faim, eux aussi. Trois autres enfants, retardataires, et sans doute a peine plus âgés que Victor, arrivèrent alors, et profitèrent de l'occupation de la surveillante pour doubler la moitié de la file, avec un air satisfait et surs d'eux. Une petite fille, a vu de nez d'un an de moins que Victor, juste derrière les trois garçons, se mit a pleurer, et ce assez bruyamment pour attirer l'attention de la surveillante, qui remarqua alors les trois fautifs ;
« Dis donc, vous, la, faut pas vous gêner ! Faites la queue depuis la fin, si vous vouliez manger plus rapidement, 'fallait venir avant ! »
Les trois garçons, l'air énervé, prirent alors la direction du bout de la file, les mains dans les poches. L'un deux lança un regard haineux a la fillette tandis que la surveillante terminait :
« Et que je vous y reprenne plus ! »
Quelques minutes plus tard, c'était enfin au tour de Victor de marquer son nom. Ce qu'il fit, presque fébrile de pouvoir enfin aller se faire servir de quoi manger. Cependant, il était bien sur interdit de courir dans le réfectoire. Les enfants avançaient donc encore une fois avec trop de lenteur au goût de tous, sans nul doute.
Quand il fut enfin en face des serveuses, un grand sourire sur le visage, celles-ci lui rendirent tout en mettant une ration correcte dans son assiette, qu'il avait pour cela du lever a deux mains a la hauteur des louches et autres bacs de nourriture.
Puis, il partit s'installer a la troisième table, la plus inoccupée. Il vit en bout de table, seule, la petite fille qui avait pleuré. Mais il n'osa pas s'approcher, et puis il avait trop faim. Il s’essaya et mangea avec toute la bonne volonté que peut donner un enfant de huit ans affamé a manger.
Après avoir terminé, il du attendre quelques minutes encore que les autres enfants aient eux aussi fini. Puis, un surveillant ouvrit la porte, et ils partirent, garçons et filles séparées, en direction de leurs dortoirs respectifs.
Sur le chemin du retour qui passait a côté de la forêt, il vit l'un des trois garçons plus âgés courir vers l'intérieur du bois, de loin, du côté où passait le chemin vers le dortoir féminin.
Sans trop savoir pourquoi, il s'éloigna lui aussi du chemin, pour les suivre. Discrètement, il réussit a ne pas se faire voir.
Il courut a travers le petit bois. Cette forêt avait beau être impressionnante, elle était malgré tout assez petite. Au bout d'un moment, il arriva a la clairière centrale de la petite forêt. Là, les trois enfants plus âgés étaient en train de persécuter la petite fille. De là où il était, Victor pouvait voir qu'ils avaient une lampe de poche, le genre d'accessoires que les élèves n'avaient pas le droit d'emmener en dehors des dortoirs. La fillette, accroupie, la tête dans ses bras, pleurait bruyamment. Les trois garçons profitaient de leur nombre et de leur taille pour s'imposer. L'un d'eux leva le bras, comme pour la frapper.
Victor sortit alors de sa cachette, sans discrétion, et arriva en courant vers eux. Il s’arrêta dans sa course, dans une pause tendue, au moment où les trois autres enfants se retournèrent dans sa direction, et le virent. Il se demanda pourquoi il avait fait ça.
Celui qui semblait être le chef de groupe, au milieu des deux autres, se mit a rire entre ses dents.
« Tu te crois où, là ?… » dit-il ensuite.
Victor ne répondit rien. Il se contentait de le regarder dans les yeux, sans y voir grand chose cependant, n'étant éclairé que par la lampe de poche qui était braquée sur lui, et par la lune.
Il remettait en doute ce pourquoi il était là. Puis, il regarda a nouveau en direction de la fille, et reprit contenance.
« Alors ?… » Reprit le garçon en face de lui. « Tu veux te faire frapper ? »
Victor sentit son cœur accélérer.
L'autre se remit a rire. Il se retourna en direction de la fille. Et leva a nouveau sa main, comme pour lui frapper la tête.
« Tu ne peux pas faire ça ! » dit Victor, accompagnant ses mots d'un grand mouvement du bras droit.
Le dit mouvement fut accompagné à son arrêt par un arc électrique, illuminant la scène, partant de son avant bras jusqu'à un petit tas de feuilles qui s’éparpilla, sur la droite.
Les deux garçons sur les cotés du troisième reculèrent, ayant vu la chose. Victor ne s'en était pas vraiment rendu compte. Du moins, cela ne l'avait pas choqué plus que ça, jusqu'à ce que les autres reculent. Le garçon du milieu, qui avait voulu lever la main sur la fille, se retourna à nouveau vers lui, ignorant ce qui avait généré le flash lumineux.
« Qu'est ce que t'as fait ? » dit-il en se rendant compte que ses acolytes semblaient effrayés. Lui ne voyait que Victor, qui semblait un peu déboussolé. « Tu vas faire quoi avec tes lumières ? » Il rit. « Nous éblouir ? »
« Arrête ! », cria soudainement Victor tout en levant son bras droit vers le visage du garçon. Le mouvement fut prolongé par un autre arc, partant vers la tête du chef de groupe. Cette fois, Victor avait voulu le refaire volontairement, mais avait dosé, malgré la rage, pour ne pas toucher l'autre.
Aveuglé, le garçon tomba a terre, en criant, puis se mit a pleurer, un bras devant le visage comme pour se protéger. Les deux autres fuyaient plus profondément dans les bois, tandis que leur chef geignait bruyamment, à genoux.
Victor, sans attendre, marcha vers la fillette pour la rassurer. Il toucha son avant bras, dans un geste rassurant, et celle-ci leva la tête vers lui. Elle avait des larmes pleins les yeux.
« Tout va bien… » Dit Victor.
L'autre garçon gémissait. Il s’arrêta de pleurer, et jeta un œil prudent sur Victor tandis que celui ci se baissait pour mettre son visage au niveau de celui de la fillette.
« Quel est ton nom ? » Demanda Victor en regardant la fillette dans les yeux, d'une voix calme.
« Mi… Mikina… Miteru » répondit celle ci.
« Mon nom est Victor… » dit il après un petit temps.
« Vector ? » répéta-elle, rappelant à celui ci que la sonorité étrangère de son prénom posait parfois souci.
« Vector. », accorda t-il.
Alors, alors, alors ? Comment il est ce premier chapitre ? Même si vous avez été déçus, je veux savoir.
Victor n'était pas plus grand ni plus petit que les autres enfants de huit ans. Il avait un visage fin, des cheveux pas spécialement longs, mais bruns foncés, et des yeux bleus relativement peu expressifs. Il était en orphelinat. Aussi, il portait un pantalon marron et une chemise blanche, comme le voulait ceux qui avaient choisi ses vêtements. Il était plutôt maigre, voir visuellement un peu chétif, mais il n'était pas pour autant plus faible que les autres. Victor ne se souvenait plus exactement pourquoi il était a l'orphelinat, sans doute y avait il été mis trop jeune pour se rappeler de ce qui lui été arrivé avant.
Il avait faim. Comme tout les jours. Comme tout les soirs. Et il faisait la queue avant d'entrer au réfectoire. Comme tout les soirs.
La nuit commençait doucement a tomber, sur l'orphelinat bordé par la forêt de sapins. Les murs était blancs, presque d'une teinte métallisée, et l’éclairage de l'entrée du réfectoire était presque la seule source de lumière qui serait encore visible d'ici une bonne vingtaines de minutes. Devant lui, une trentaine d'enfants, comme lui, qui notaient leur noms sur une feuille a un rythme bien trop lent, sous les yeux distraits d'une surveillante en pleine discussion avec un homme dont Victor n'avait aucune idée de la raison de la présence a l'orphelinat.
L'odeur du poisson lui parvenait jusqu'au narines, décuplant l'indignation de son estomac. Tout les autres enfants avait sans doute faim, eux aussi. Trois autres enfants, retardataires, et sans doute a peine plus âgés que Victor, arrivèrent alors, et profitèrent de l'occupation de la surveillante pour doubler la moitié de la file, avec un air satisfait et surs d'eux. Une petite fille, a vu de nez d'un an de moins que Victor, juste derrière les trois garçons, se mit a pleurer, et ce assez bruyamment pour attirer l'attention de la surveillante, qui remarqua alors les trois fautifs ;
« Dis donc, vous, la, faut pas vous gêner ! Faites la queue depuis la fin, si vous vouliez manger plus rapidement, 'fallait venir avant ! »
Les trois garçons, l'air énervé, prirent alors la direction du bout de la file, les mains dans les poches. L'un deux lança un regard haineux a la fillette tandis que la surveillante terminait :
« Et que je vous y reprenne plus ! »
Quelques minutes plus tard, c'était enfin au tour de Victor de marquer son nom. Ce qu'il fit, presque fébrile de pouvoir enfin aller se faire servir de quoi manger. Cependant, il était bien sur interdit de courir dans le réfectoire. Les enfants avançaient donc encore une fois avec trop de lenteur au goût de tous, sans nul doute.
Quand il fut enfin en face des serveuses, un grand sourire sur le visage, celles-ci lui rendirent tout en mettant une ration correcte dans son assiette, qu'il avait pour cela du lever a deux mains a la hauteur des louches et autres bacs de nourriture.
Puis, il partit s'installer a la troisième table, la plus inoccupée. Il vit en bout de table, seule, la petite fille qui avait pleuré. Mais il n'osa pas s'approcher, et puis il avait trop faim. Il s’essaya et mangea avec toute la bonne volonté que peut donner un enfant de huit ans affamé a manger.
Après avoir terminé, il du attendre quelques minutes encore que les autres enfants aient eux aussi fini. Puis, un surveillant ouvrit la porte, et ils partirent, garçons et filles séparées, en direction de leurs dortoirs respectifs.
Sur le chemin du retour qui passait a côté de la forêt, il vit l'un des trois garçons plus âgés courir vers l'intérieur du bois, de loin, du côté où passait le chemin vers le dortoir féminin.
Sans trop savoir pourquoi, il s'éloigna lui aussi du chemin, pour les suivre. Discrètement, il réussit a ne pas se faire voir.
Il courut a travers le petit bois. Cette forêt avait beau être impressionnante, elle était malgré tout assez petite. Au bout d'un moment, il arriva a la clairière centrale de la petite forêt. Là, les trois enfants plus âgés étaient en train de persécuter la petite fille. De là où il était, Victor pouvait voir qu'ils avaient une lampe de poche, le genre d'accessoires que les élèves n'avaient pas le droit d'emmener en dehors des dortoirs. La fillette, accroupie, la tête dans ses bras, pleurait bruyamment. Les trois garçons profitaient de leur nombre et de leur taille pour s'imposer. L'un d'eux leva le bras, comme pour la frapper.
Victor sortit alors de sa cachette, sans discrétion, et arriva en courant vers eux. Il s’arrêta dans sa course, dans une pause tendue, au moment où les trois autres enfants se retournèrent dans sa direction, et le virent. Il se demanda pourquoi il avait fait ça.
Celui qui semblait être le chef de groupe, au milieu des deux autres, se mit a rire entre ses dents.
« Tu te crois où, là ?… » dit-il ensuite.
Victor ne répondit rien. Il se contentait de le regarder dans les yeux, sans y voir grand chose cependant, n'étant éclairé que par la lampe de poche qui était braquée sur lui, et par la lune.
Il remettait en doute ce pourquoi il était là. Puis, il regarda a nouveau en direction de la fille, et reprit contenance.
« Alors ?… » Reprit le garçon en face de lui. « Tu veux te faire frapper ? »
Victor sentit son cœur accélérer.
L'autre se remit a rire. Il se retourna en direction de la fille. Et leva a nouveau sa main, comme pour lui frapper la tête.
« Tu ne peux pas faire ça ! » dit Victor, accompagnant ses mots d'un grand mouvement du bras droit.
Le dit mouvement fut accompagné à son arrêt par un arc électrique, illuminant la scène, partant de son avant bras jusqu'à un petit tas de feuilles qui s’éparpilla, sur la droite.
Les deux garçons sur les cotés du troisième reculèrent, ayant vu la chose. Victor ne s'en était pas vraiment rendu compte. Du moins, cela ne l'avait pas choqué plus que ça, jusqu'à ce que les autres reculent. Le garçon du milieu, qui avait voulu lever la main sur la fille, se retourna à nouveau vers lui, ignorant ce qui avait généré le flash lumineux.
« Qu'est ce que t'as fait ? » dit-il en se rendant compte que ses acolytes semblaient effrayés. Lui ne voyait que Victor, qui semblait un peu déboussolé. « Tu vas faire quoi avec tes lumières ? » Il rit. « Nous éblouir ? »
« Arrête ! », cria soudainement Victor tout en levant son bras droit vers le visage du garçon. Le mouvement fut prolongé par un autre arc, partant vers la tête du chef de groupe. Cette fois, Victor avait voulu le refaire volontairement, mais avait dosé, malgré la rage, pour ne pas toucher l'autre.
Aveuglé, le garçon tomba a terre, en criant, puis se mit a pleurer, un bras devant le visage comme pour se protéger. Les deux autres fuyaient plus profondément dans les bois, tandis que leur chef geignait bruyamment, à genoux.
Victor, sans attendre, marcha vers la fillette pour la rassurer. Il toucha son avant bras, dans un geste rassurant, et celle-ci leva la tête vers lui. Elle avait des larmes pleins les yeux.
« Tout va bien… » Dit Victor.
L'autre garçon gémissait. Il s’arrêta de pleurer, et jeta un œil prudent sur Victor tandis que celui ci se baissait pour mettre son visage au niveau de celui de la fillette.
« Quel est ton nom ? » Demanda Victor en regardant la fillette dans les yeux, d'une voix calme.
« Mi… Mikina… Miteru » répondit celle ci.
« Mon nom est Victor… » dit il après un petit temps.
« Vector ? » répéta-elle, rappelant à celui ci que la sonorité étrangère de son prénom posait parfois souci.
« Vector. », accorda t-il.
Alors, alors, alors ? Comment il est ce premier chapitre ? Même si vous avez été déçus, je veux savoir.
Dernière édition par BenBox le 23.11.12 17:16, édité 2 fois
Klev- Admin
- Emploi/Loisirs : Administrateur en torpeur.
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
J'aime beaucoup !!!!!!!!!!
Mais sinon quelques petits problèmes :
Ce n'est pas très réaliste que Vector réussisse à doser son électricité alors qu'il semble qu'il vienne juste de la découvrir.
De même, c'est étonnant que la petite ne sois pas effrayée par lui, il faudrait expliquer cela. (Comme son angle de vue (à la petite) pour dire qu'elle ne voyait rien ... ou peut-être qu'elle a déjà vu pire... etc...)
Mais sinon quelques petits problèmes :
Ce n'est pas très réaliste que Vector réussisse à doser son électricité alors qu'il semble qu'il vienne juste de la découvrir.
De même, c'est étonnant que la petite ne sois pas effrayée par lui, il faudrait expliquer cela. (Comme son angle de vue (à la petite) pour dire qu'elle ne voyait rien ... ou peut-être qu'elle a déjà vu pire... etc...)
Bacrima- Humeur : Une pointe de joie et un soupçon d'amusement
Localisation : Dans ma chambre, rarement ailleur ...
Emploi/Loisirs : Japanimer, ça se dit ?
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
Mh, effectivement. Il en est aussi surpris que toi, mais c'est un enfant. Il n'y a aucune justification a cela. Il a eu de la chance, c'est tout. Si il avait mal dosé, il aurait pu tuer l'autre garçon. Je te laisse faire tes conclusions a partir de ça.Bacrima a écrit:Ce n'est pas très réaliste que Vector réussisse à doser son électricité alors qu'il semble qu'il vienne juste de la découvrir.
Eh bien… Oui,là par contre, c'est un peu flou, je dois le reconnaître. J'y ferais plus attention. Cependant, elle est censée avoir la tête dans les genoux, donc… Mais je pensais avoir assez insisté sur ce fait. Ma faute, donc. Je préciserais plus a l'avenir :mrgreen:De même, c'est étonnant que la petite ne sois pas effrayée par lui, il faudrait expliquer cela. (Comme son angle de vue (à la petite) pour dire qu'elle ne voyait rien ... ou peut-être qu'elle a déjà vu pire... etc...)
Donc, elle n'a rien vu d'autres que des flashs. Mais a six ans, je pense que tu serais plus traumatisé par trois gosses qui veulent te frapper que par un mec qui te sauve avec des éclairs, de toute façon. Puisque d'une certaine façon, même si il peut paraître effrayant, il à tout de même fait fuir les autres. Donc.
Mais elle était trop paumée dans sa détresse pour faire attention a son environnement, de toute façon.
Étant donné que le texte est censé vous donner des images, je décris peu le sentiment, essayant plutôt de faire des tableaux visuels. C'est pour ça que ce genre de détails (la psyché de la fille) peut bien sur échapper. Et je fais un peu joujou avec ça. Ce que j'ai dit là, vous auriez pu le déduire de vous même si le prochain chapitre se déroulait peu après les événements décrits, et si elle réapparaissait dedans. Vous pouvez voir les personnages, mais pas vous mettre directement dans leur peau. Pas aussi tôt. Peu être pour Vector, mais pas pour les autres, pas pour ceux qui sont survolés et sur lesquel la caméra n'est pas restée suffisamment longtemps. Et c'est tout autant voulu et consciemment dosé que dans une quelconque série (japonaise, ou non, même si l'inspiration y est.).
Klev- Admin
- Emploi/Loisirs : Administrateur en torpeur.
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
:mrgreen:
Tellement impatient que tu n'attends même pas un autre post pour demander ?^^
... rien que pour ça, je vais blablater un peu avant de dire mon ressenti global.
Par exemple, je vais observer que les papillons, généralement, ne sont pas rose fushia. Je me demande pourquoi.
Peut-être que le rose fait peur, peut-être que le molécule est difficilement synthétisable...
Toujours est-il que je papote, je papote, et en attendant j'en oublie de répondre...
ça me rappelle ce fameux hiver, en 1987, tu sais ? Oui, celui où la neige avait atteint les 30cm.
C'était grave, ça !!
Bon, je me suis un petit peu éloigné du sujet...
C'est parce que les ascenseurs sont souvent en panne, c'est un facteur de déconcentration importante. Je dirai même, crucial.
Et c'est pour cette raison que j'ai adoré ce chapitre ! Les personnages sont survolés pour l'instant, ce qui me paraît totalement normal pour une immersion graduelle, et bien maîtrisé. Hormis Victor, et encore, on ne sais pas grand chose.
Le style et l'organisation sont facile à lire, je trouve.
Quant à l'histoire... j'ai en partie le même ressenti que lorsque j'ai lu des romans dont une partie se passait en orphelinat... ce qui est plutôt bon signe. Non pas que ce soit du ctrl-C crtl-V, juste que l'ambiance y est, et assez immersive.
Pour les critiques, les deux points soulevés par Bac, j'y ai pensé aussi.
...à moins de ne plus avoir assez d'énergie pour une seconde fois aussi forte. ça épuise, ces choses là...
Je sais, c'est un classique... (et TRICHELIEU, TU SORS !!!! )
La seconde remarque de Bac, j'en ai conclu la même chose que Ben. a priori,oui, si elle est assez choquée par la violence, elle peut mettre de côté ce qu'elle a vu (momentanément, du moins) et continuer à pleurer. Tout le monde ne suit pas un lapin blanc en redingote avec une montre en main...
Cependant, elle risque de revenir à la charge (mais pas tout de suite). Même si elle est timide. Juste pour savoir depuis quand, comment, ou n'importe quoi d'autre...
Deuxième option que vous avez souligné, le fait qu'elle ait rien vu...
ça me paraît plausible.
Très plausible.
Mais il est vrai que le seul indice qui nous donne à croire (nous, lecteurs) qu'elle n'a rien vu est le "Victor, sans attendre, marcha vers la fillette pour la rassurer. Il toucha son avant bras, dans un geste rassurant,
Qui semble sous-entendre qu'elle ne l'avait pas fait avant.
Une troisième remarque, la découverte du pouvoir se fait peut-être trop "par hasard". Je ne sais pas si c'est la colère, la peur d'être frappé, le courage, ou juste le geste du bras qui est la cause de cette libération.
En fait, mon problème est juste, comme d'habitude dans ce style, de répondre à la question : "Pourquoi est-ce maintenant que ça se réveille ?"
C'est peut-être voulu... je ne sais pas...
C'est ce qui ferait la différence entre une pure focalisation externe et une focalisation "semi-"interne (interne-externée...^^)
Or la focalisation n'est pas purement externe, puisque l'on sait que Victor se demande "comment il a fait ça.", "sentit son coeur accélérer"...
J'ai d'ailleurs l'impression que la focalisation est ciblée sur le conscient de Victor, ce que j'appelle "le conscient exprimable". Les pensées que l'on peut (presque) clairement entendre en mots dans sa tête...
qui s'oppose au conscient "inexprimable", que l'on ne peut pas exprimer sur l'instant, sauf à faire un break et se dire "ah tiens, je suis en colère..."
Bon, oubliez l'histoire de la focalisation. Je voulais juste exprimer ce qui me semblait dire qu'on en savait assez sur certaines pensées/émotions chez notre petit enfant, mais pas sur le ressenti de réveil du pouvoir...
Comme s'il ne ressentais même pas sa présence...
Et pourtant, il arrive à le reproduire et à le "modérer".
Ce qui semblerait impliquer qu'il a réussi au moins inconsciemment à se dire "si je ressens ça de bizarre dans l'avant bras, c'est..."
Voilà... euh... c'est compréhensible, ce que j'ai exprimé ? :suspect:
Sinon, Je dois avouer que pour le reste (et même pour ces points, c'est du détail! )...
Alors, alors, alors ? Comment il est ce premier chapitre ? Même si vous avez été déçus, je veux savoir.
Tellement impatient que tu n'attends même pas un autre post pour demander ?^^
... rien que pour ça, je vais blablater un peu avant de dire mon ressenti global.
Par exemple, je vais observer que les papillons, généralement, ne sont pas rose fushia. Je me demande pourquoi.
Peut-être que le rose fait peur, peut-être que le molécule est difficilement synthétisable...
Toujours est-il que je papote, je papote, et en attendant j'en oublie de répondre...
ça me rappelle ce fameux hiver, en 1987, tu sais ? Oui, celui où la neige avait atteint les 30cm.
C'était grave, ça !!
Bon, je me suis un petit peu éloigné du sujet...
C'est parce que les ascenseurs sont souvent en panne, c'est un facteur de déconcentration importante. Je dirai même, crucial.
Et c'est pour cette raison que j'ai adoré ce chapitre ! Les personnages sont survolés pour l'instant, ce qui me paraît totalement normal pour une immersion graduelle, et bien maîtrisé. Hormis Victor, et encore, on ne sais pas grand chose.
Le style et l'organisation sont facile à lire, je trouve.
Quant à l'histoire... j'ai en partie le même ressenti que lorsque j'ai lu des romans dont une partie se passait en orphelinat... ce qui est plutôt bon signe. Non pas que ce soit du ctrl-C crtl-V, juste que l'ambiance y est, et assez immersive.
Pour les critiques, les deux points soulevés par Bac, j'y ai pensé aussi.
BenBox, concilliant, a écrit:Mh, effectivement. Il en est aussi surpris que toi, mais c'est un enfant. Il n'y a aucune justification a cela. Il a eu de la chance, c'est tout. Si il avait mal dosé, il aurait pu tuer l'autre garçon. Je te laisse faire tes conclusions a partir de ça.Bacrima, dans un éclair de génie/folie, a écrit: Ce n'est pas très réaliste que Vector réussisse à doser son électricité alors qu'il semble qu'il vienne juste de la découvrir.
...à moins de ne plus avoir assez d'énergie pour une seconde fois aussi forte. ça épuise, ces choses là...
Je sais, c'est un classique... (et TRICHELIEU, TU SORS !!!! )
La seconde remarque de Bac, j'en ai conclu la même chose que Ben. a priori,oui, si elle est assez choquée par la violence, elle peut mettre de côté ce qu'elle a vu (momentanément, du moins) et continuer à pleurer. Tout le monde ne suit pas un lapin blanc en redingote avec une montre en main...
Cependant, elle risque de revenir à la charge (mais pas tout de suite). Même si elle est timide. Juste pour savoir depuis quand, comment, ou n'importe quoi d'autre...
Deuxième option que vous avez souligné, le fait qu'elle ait rien vu...
ça me paraît plausible.
Très plausible.
Mais il est vrai que le seul indice qui nous donne à croire (nous, lecteurs) qu'elle n'a rien vu est le "Victor, sans attendre, marcha vers la fillette pour la rassurer. Il toucha son avant bras, dans un geste rassurant,
. Elle avait des larmes pleins les yeux."et celle-ci leva la tête vers lui
Qui semble sous-entendre qu'elle ne l'avait pas fait avant.
Une troisième remarque, la découverte du pouvoir se fait peut-être trop "par hasard". Je ne sais pas si c'est la colère, la peur d'être frappé, le courage, ou juste le geste du bras qui est la cause de cette libération.
En fait, mon problème est juste, comme d'habitude dans ce style, de répondre à la question : "Pourquoi est-ce maintenant que ça se réveille ?"
C'est peut-être voulu... je ne sais pas...
C'est ce qui ferait la différence entre une pure focalisation externe et une focalisation "semi-"interne (interne-externée...^^)
Or la focalisation n'est pas purement externe, puisque l'on sait que Victor se demande "comment il a fait ça.", "sentit son coeur accélérer"...
J'ai d'ailleurs l'impression que la focalisation est ciblée sur le conscient de Victor, ce que j'appelle "le conscient exprimable". Les pensées que l'on peut (presque) clairement entendre en mots dans sa tête...
qui s'oppose au conscient "inexprimable", que l'on ne peut pas exprimer sur l'instant, sauf à faire un break et se dire "ah tiens, je suis en colère..."
Bon, oubliez l'histoire de la focalisation. Je voulais juste exprimer ce qui me semblait dire qu'on en savait assez sur certaines pensées/émotions chez notre petit enfant, mais pas sur le ressenti de réveil du pouvoir...
Comme s'il ne ressentais même pas sa présence...
Et pourtant, il arrive à le reproduire et à le "modérer".
Ce qui semblerait impliquer qu'il a réussi au moins inconsciemment à se dire "si je ressens ça de bizarre dans l'avant bras, c'est..."
Voilà... euh... c'est compréhensible, ce que j'ai exprimé ? :suspect:
Sinon, Je dois avouer que pour le reste (et même pour ces points, c'est du détail! )...
- Spoiler:
- J'AI BIEN PLONGE ET J'AI ADORE !!
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
C'est surtout que pour une fois je l'attends vraiment histoire de m'améliorer. :mrgreen:Yoendel a écrit:Tellement impatient que tu n'attends même pas un autre post pour demander ?^^
C'est une bonne question, et une bonne piste. Ça m'intéresse.Par exemple, je vais observer que les papillons, généralement, ne sont pas rose fushia. Je me demande pourquoi.
Peut-être que le rose fait peur, peut-être que le molécule est difficilement synthétisable...
En 87 ? Tu étais déjà conscient, en 87 ?ça me rappelle ce fameux hiver, en 1987, tu sais ? Oui, celui où la neige avait atteint les 30cm.
C'était grave, ça !!
Pardon ? :mrgreen:C'est parce que les ascenseurs sont souvent en panne, c'est un facteur de déconcentration importante. Je dirai même, crucial.
Je cite tout ce passage, juste pour dire que je suis heureux de savoir que c'est facile a lire. :mrgreen: Pour le reste… Je n'ajoute rien.Et c'est pour cette raison que j'ai adoré ce chapitre ! Les personnages sont survolés pour l'instant, ce qui me paraît totalement normal pour une immersion graduelle, et bien maîtrisé. Hormis Victor, et encore, on ne sais pas grand chose.
Le style et l'organisation sont facile à lire, je trouve.
Quant à l'histoire... j'ai en partie le même ressenti que lorsque j'ai lu des romans dont une partie se passait en orphelinat... ce qui est plutôt bon signe. Non pas que ce soit du ctrl-C crtl-V, juste que l'ambiance y est, et assez immersive.
Mh… C'est marrant, vos hypothèses. :mrgreen: Ce n'est pas par ce qu'une chose a peu de chances de se produire qu'elle ne se produit pas, peu probable mais pas impossible (vous le quantifiez mieux que moi :mrgreen: ). Et je ne vais pas plus détailler ces éclairs, puisque de toute façon, c'est dans l'idée d'un « Ta gueule, c'est magique ». Ils sont là. Ce n'est pas d'où ils viennent qui importe, mais ce qui est fait avec. En l’occurrence, là, ça aurait pu être une belle connerie, un meurtre, quoi. Le hasard du scénariste fait que ce n'est pas le cas, par ce que sinon, ce ne serait pas un background approprié pour le personnage.Pour les critiques, les deux points soulevés par Bac, j'y ai pensé aussi....à moins de ne plus avoir assez d'énergie pour une seconde fois aussi forte. ça épuise, ces choses là...BenBox, concilliant, a écrit:Mh, effectivement. Il en est aussi surpris que toi, mais c'est un enfant. Il n'y a aucune justification a cela. Il a eu de la chance, c'est tout. Si il avait mal dosé, il aurait pu tuer l'autre garçon. Je te laisse faire tes conclusions a partir de ça.Bacrima, dans un éclair de génie/folie, a écrit: Ce n'est pas très réaliste que Vector réussisse à doser son électricité alors qu'il semble qu'il vienne juste de la découvrir.
Je sais, c'est un classique... (et TRICHELIEU, TU SORS !!!! )
Oui. C'est exactement ça. Sauf que c'est un indice trop mince. Il est donc important que je fasse plus attention a ce fait la prochaine fois.La seconde remarque de Bac, j'en ai conclu la même chose que Ben. a priori,oui, si elle est assez choquée par la violence, elle peut mettre de côté ce qu'elle a vu (momentanément, du moins) et continuer à pleurer. […]
Deuxième option que vous avez souligné, le fait qu'elle ait rien vu...
ça me paraît plausible.
[…]
Mais il est vrai que le seul indice qui nous donne à croire (nous, lecteurs) qu'elle n'a rien vu est leQui semble sous-entendre qu'elle ne l'avait pas fait avant.Victor, sans attendre, marcha vers la fillette pour la rassurer. Il toucha son avant bras, dans un geste rassurant, et celle-ci leva la tête vers lui. Elle avait des larmes pleins les yeux.
Oh, mais je ne vais quand même pas vous expliquer ça ?Une troisième remarque, la découverte du pouvoir se fait peut-être trop "par hasard". Je ne sais pas si c'est la colère, la peur d'être frappé, le courage, ou juste le geste du bras qui est la cause de cette libération.
En fait, mon problème est juste, comme d'habitude dans ce style, de répondre à la question : "Pourquoi est-ce maintenant que ça se réveille ?"
(BenBox, ou comment sortir une phrase ambiguë volontairement.)
Mh, j'ai pas tout saisi, mais c'est très intéressant. Sans insister ; Vector avait VRAIMENT peu de chances de doser correctement. C'est mis en exergue par ton « Si je ressens ça dans l'avant bras, c'est… ». (Même si c'est la métaphore la plus inadaptée possible que j'ai croisée… :mrgreen: )C'est peut-être voulu... je ne sais pas...
C'est ce qui ferait la différence entre une pure focalisation externe et une focalisation "semi-"interne (interne-externée...^^)
Or la focalisation n'est pas purement externe, puisque l'on sait que Victor se demande "comment il a fait ça.", "sentit son coeur accélérer"...
J'ai d'ailleurs l'impression que la focalisation est ciblée sur le conscient de Victor, ce que j'appelle "le conscient exprimable". Les pensées que l'on peut (presque) clairement entendre en mots dans sa tête...
qui s'oppose au conscient "inexprimable", que l'on ne peut pas exprimer sur l'instant, sauf à faire un break et se dire "ah tiens, je suis en colère..."
Bon, oubliez l'histoire de la focalisation. Je voulais juste exprimer ce qui me semblait dire qu'on en savait assez sur certaines pensées/émotions chez notre petit enfant, mais pas sur le ressenti de réveil du pouvoir...
Comme s'il ne ressentais même pas sa présence...
Et pourtant, il arrive à le reproduire et à le "modérer".
Ce qui semblerait impliquer qu'il a réussi au moins inconsciemment à se dire "si je ressens ça de bizarre dans l'avant bras, c'est..."
Voilà... euh... c'est compréhensible, ce que j'ai exprimé ? :suspect:
Il n'est pas exactement question de chances. Mais dans l'idée, parler de chances vous paraîtrait plus praticable. Par ce que Vector n'utilise pas de pile. Il n'a aucune idée des lois de la physique, et n'a pas appris ce que c'était. Par ce que ce n'est pas physiquement faisable, aussi. Par ce que ce n'est pas de l'électricité qui passe par Vector et qui reste soumise a des lois, non plus. (Et puis, n'essayer pas de foutre trop de physique dans mes histoires, sinon j'y risque ma crédibilité :mrgreen: Bacrima en sait quelque chose. (Hector, liquéfaction de la lumière par magnétisation.))
C'est bien, par ce que c'est largement pas aussi pénible que l'Intranisation. :mrgreen: Ici, ce sont les personnages qui compte, pas les détails. Alors que dans l'Intranisation, il est courant que je doive détailler apparence ET personnages. Là, je pose les décors, et je bouge les marionnettes. Dans l'Intranisation, même le décor peut bouger… D'où le bordel. :mrgreen: Je veux dire, décrire des immeubles, des pinacles de cristal, c'est faisable, et une fois que c'est fait, on en parle plus. On y fait bouger les gentils et les méchants, et voila. Au pire, ils se foutent sur la gue*le.Sinon, Je dois avouer que pour le reste (et même pour ces points, c'est du détail! )...
- Spoiler:
J'AI BIEN PLONGE ET J'AI ADORE !!
Décrire l'Intranisation, qui est FAIT pour être un film, c'est comme décrire un story board avec des mots, quoi. Dur. Faisable, mais dur. TOUT est détaillé. TOUT a été peaufiné. Et le passer a l'état écrit m'oblige a lui donner un air réaliste. VOUS AVEZ DÉJÀ TENTÉ DE DÉCRIRE UN TRUC PSYCHÉDÉLIQUE DE FAÇON À DONNER L'IMPRESSION QU'IL EST RÉALISTE ? Vous avez déjà tenté de décrire un personnage, et de faire passer en même temps, au contraire, la sensation qu'il vaut mieux pas le toucher ? Tout en gardant une lecture agréable ? Et en n'utilisant aucune nuitée de mesure ? :pale:
Eh bah, c'est sacrément… Éprouvant. Surtout quand on débute.
Ça demande une minutie incroyable, et c'est souvent un semi échec. Par ce que si je me loupe, vous pouvez ne pas comprendre (Bacrima qui n'as pas compris à la lecture que le disque du fond de la cathédrale était a l'horizontal). Et que si je commence a être perfectionniste…
… Je vais juste me détruire devant le texte :mrgreen:
Si je déploie mon perfectionnisme, c'est juste… DUR.
Pendant l'écriture, je suis parasité par toutes sortes de pensées du style « Non, c'est pas bien écrit ».
Si j'active mon perfectionnisme, ça passe à « Non, c'est possible de le faire mieux. »
Alors, oui, ok, c'est super. Mais non. Va savoir pourquoi, j'ai plus envie.
Et là, j'ai pas eu à être perfectionniste, pour cet épisode.
Alors… Si je le deviens ne serait-ce qu'un peu…
Je pourrais pondre un truc de l'envergure du chapitre quatre de l'Intranisation ? Oh, mon dieu.
Si c'est possible avec les trucs à côté, c'est ULTRA pénible sur un texte de 5000 mots. Et croyez moi, le suivant a des chances de peser lourd.
Bref, tout ça pour conclure ; Vector Zero et d'autres trucs, c'est tout mignon ! Donc, dés que j'ai pas envie d'écrire le reste, je vole dessus.
Donc, vous aurez sans doute droit aux Chroniques de Cristal.
La foule émet un brouhaha.
Mais, c'est hors sujet. Et puis, il faudra au moins attendre la fin du second film de l'Intranisation (on est en plein dedans.)
La foule ovationne..
[/hs]
Klev- Admin
- Emploi/Loisirs : Administrateur en torpeur.
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
:mrgreen:
Bon, je tiens à préciser ma pensée... ma métaphore (qui n'en était pas vraiment une, mais qui, je le concède, était aussi pourri qu'une maison sur pilotis ravagées par les termites et sur laquelle passe un éléphant...) n'était pas complète (manque de temps pour cause de messe)...
Je ne pensais pas du tout à de la physique (Ta gueule, c'est magique !!)
Tu veux la phrase entière ? La voilà :
"si je ressens ça de bizarre dans l'avant bras, c'est peut-être que ça a un lien même si je ne comprend pas le moins du monde ce que ça vient foutre puisque j'ai jamais ressenti ça...tant pis, essayons avec ça."
En version moins intellectuelle, bien sûr :mrgreen: :
Sur le trône des toilettes je voit mal Victor réfléchir en disant à voix haute "si je ressens ça de bizarre dans le ...HEM ... donc je vais essayer de pousser un peu..."
Bon, bref, vous avez compris...
Version plus instinctive (concentration extrème) : "MMMMMHHHHRRRRRPPPPFFFFFFFFFF... PLOUF !!" (ceci est le bruit d'un éclair électrique lancé, ne déformez pas mes propos !! )
Bon, je fuis ce sujet...ah !
:mrgreen:
J'ai une réponse à cette question :
J'ai aussi une réponse à cette question :
Voili voilou !! Et...
Oui...
Je vais le dire ...
"non, c'est pas bien !! je suis ta conscience et je te l'interdis !!"
Faut que j'l'dise !!
Bon, je tiens à préciser ma pensée... ma métaphore (qui n'en était pas vraiment une, mais qui, je le concède, était aussi pourri qu'une maison sur pilotis ravagées par les termites et sur laquelle passe un éléphant...) n'était pas complète (manque de temps pour cause de messe)...
Je ne pensais pas du tout à de la physique (Ta gueule, c'est magique !!)
Tu veux la phrase entière ? La voilà :
"si je ressens ça de bizarre dans l'avant bras, c'est peut-être que ça a un lien même si je ne comprend pas le moins du monde ce que ça vient foutre puisque j'ai jamais ressenti ça...tant pis, essayons avec ça."
En version moins intellectuelle, bien sûr :mrgreen: :
Sur le trône des toilettes je voit mal Victor réfléchir en disant à voix haute "si je ressens ça de bizarre dans le ...HEM ... donc je vais essayer de pousser un peu..."
Bon, bref, vous avez compris...
Version plus instinctive (concentration extrème) : "MMMMMHHHHRRRRRPPPPFFFFFFFFFF... PLOUF !!" (ceci est le bruit d'un éclair électrique lancé, ne déformez pas mes propos !! )
Bon, je fuis ce sujet...ah !
Non.
VOUS AVEZ DÉJÀ TENTÉ DE DÉCRIRE UN TRUC PSYCHÉDÉLIQUE DE FAÇON À DONNER L'IMPRESSION QU'IL EST RÉALISTE ?
:mrgreen:
En 87 ? Tu étais déjà conscient, en 87 ?
J'ai une réponse à cette question :
- Spoiler:
- Ta gueule, c'est
Malik... pardon, magique !!
Pardon ? :mrgreen:C'est parce que les ascenseurs sont souvent en panne, c'est un facteur de déconcentration importante. Je dirai même, crucial.
J'ai aussi une réponse à cette question :
- Spoiler:
Ta gueule, c'est logique !! (décidément, je m'amuse bien, moi... tu n'aurais pas dû m'apprendre cette phrase... c'est rentré, je crois... :mrgreen: )
Voili voilou !! Et...
Oui...
Je vais le dire ...
"non, c'est pas bien !! je suis ta conscience et je te l'interdis !!"
Faut que j'l'dise !!
- Spoiler:
- LA suite, La suite !!!!!!!
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
Il te faudra attendre :mrgreen:Yoendel a écrit:
- Spoiler:
LA suite, La suite !!!!!!!
Klev- Admin
- Emploi/Loisirs : Administrateur en torpeur.
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
Il est aussi surprenant que Vector soit aussi calme.
J'aurais plutôt vu les choses se dérouler ainsi (attention, ce qui va suivre est purement plagié) :
_Il arrive.
_Les gars se retournent.
_il jette un coups d’œil à la jeune fille en pleur (occasion pour nous dire qu'elle ne vois rien).
_on décrit ce qu'il ressent.
_dans un excès de violence il fait un geste et l’électricité sort.
_il a peur mais moins que les autres qui fuient.
_il va réconforter la jeune fille.
J'aurais plutôt vu les choses se dérouler ainsi (attention, ce qui va suivre est purement plagié) :
_Il arrive.
_Les gars se retournent.
_il jette un coups d’œil à la jeune fille en pleur (occasion pour nous dire qu'elle ne vois rien).
_on décrit ce qu'il ressent.
_dans un excès de violence il fait un geste et l’électricité sort.
_il a peur mais moins que les autres qui fuient.
_il va réconforter la jeune fille.
Bacrima- Humeur : Une pointe de joie et un soupçon d'amusement
Localisation : Dans ma chambre, rarement ailleur ...
Emploi/Loisirs : Japanimer, ça se dit ?
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
... et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants électriquement chargés ? :mrgreen:
J'adore ces résumés...
J'adore ces résumés...
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
Ça ne t'es jamais arrivé que le caractère de certains personnages de surprennent, dans des animes ? Bah voila, c'est pareil.
Il est peut être trop con, trop niais, trop enfant ou trop adulte, pour avoir peur. En tout cas, il n'a pas eu peur.
Il est peut être trop con, trop niais, trop enfant ou trop adulte, pour avoir peur. En tout cas, il n'a pas eu peur.
Klev- Admin
- Emploi/Loisirs : Administrateur en torpeur.
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
:mrgreen:
...
suite ??
...
:mrgreen:
...
suite ??
...
:mrgreen:
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
Je plussois la demande .
Bacrima- Humeur : Une pointe de joie et un soupçon d'amusement
Localisation : Dans ma chambre, rarement ailleur ...
Emploi/Loisirs : Japanimer, ça se dit ?
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
Je plussoie aussi !
Mais ça ne rentre pas dans mon planning. Il vous faudra attendre. :mrgreen:
La publication est volontairement espacée par rapport au chapitres de l'Intranisation, pour le moment.
Et pour le prochain de l'Intranisation, il va encore falloir du temps. Et beaucoup, beaucoup de lignes… Bien plus que tout. Donc, encore un certain temps.
Mais ça ne rentre pas dans mon planning. Il vous faudra attendre. :mrgreen:
La publication est volontairement espacée par rapport au chapitres de l'Intranisation, pour le moment.
Et pour le prochain de l'Intranisation, il va encore falloir du temps. Et beaucoup, beaucoup de lignes… Bien plus que tout. Donc, encore un certain temps.
Klev- Admin
- Emploi/Loisirs : Administrateur en torpeur.
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
Je cite : Il a eu de la chance, c'est tout....
Dans ce cas rajouter "inconsciemment" dans ta phrase aide un peu.
Dans ce cas rajouter "inconsciemment" dans ta phrase aide un peu.
Dark Geo- Humeur : Variable
Localisation : Sur terre pas loin probablement sous la lune
Emploi/Loisirs : Je manque de temps pour les citer.
Feuille de personnage
Nom, classe et niveau: Geofraynils, sorcier sith
PA:
(26/26)
PV:
(30/30)
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
:mrgreen: Pas faux...
Et je plussoie le fait que BenBox et Bac plussoient !^^
Et je plussoie le fait que BenBox et Bac plussoient !^^
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
Je plussois le plussoiment de ma plussation.
Bacrima- Humeur : Une pointe de joie et un soupçon d'amusement
Localisation : Dans ma chambre, rarement ailleur ...
Emploi/Loisirs : Japanimer, ça se dit ?
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
Geofraynils a écrit:Je cite : Il a eu de la chance, c'est tout....
Dans ce cas rajouter "inconsciemment" dans ta phrase aide un peu.
Je ne comprends pas. Dans le texte ?
Klev- Admin
- Emploi/Loisirs : Administrateur en torpeur.
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
oui.
Ce n'est qu'une suggestion mais voilà comment j'aurait peu-être fait passer la chose.
"Cette fois, Victor avait voulu le refaire volontairement, mais avait inconsciemment dosé son pouvoir, et ce malgré la rage, pour ne pas blesser l'autre."
Ce n'est qu'une suggestion mais voilà comment j'aurait peu-être fait passer la chose.
"Cette fois, Victor avait voulu le refaire volontairement, mais avait inconsciemment dosé son pouvoir, et ce malgré la rage, pour ne pas blesser l'autre."
Dark Geo- Humeur : Variable
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(26/26)
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(30/30)
Re: Vector Zero : Chapitre 1 : Premières étincelles
C'est une très bonne idée. Je sais pourquoi elle ne m'est pas venue en tête, mais c'est une très bonne idée.
Klev- Admin
- Emploi/Loisirs : Administrateur en torpeur.
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