Le grand événement de GDLP 2
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Yoendel
Klev
Bacrima
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Participeras-tu ?
Re: Le grand événement de GDLP 2
J'adore la personnification, et là c'est magistral.
Court, et magistral.
S'il y avait un bouton "j'aime" je cliquerais dessus ! :mrgreen:
Court, et magistral.
S'il y avait un bouton "j'aime" je cliquerais dessus ! :mrgreen:
Bacrima- Humeur : Une pointe de joie et un soupçon d'amusement
Localisation : Dans ma chambre, rarement ailleur ...
Emploi/Loisirs : Japanimer, ça se dit ?
Re: Le grand événement de GDLP 2
Dark Geo. Héros national.
Klev- Admin
- Emploi/Loisirs : Administrateur en torpeur.
Re: Le grand événement de GDLP 2
... youpie. Mais on attend déjà le prochain héros national.
En outre, je plussoie ce texte. ^^
En outre, je plussoie ce texte. ^^
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: Le grand événement de GDLP 2
Rouge comme l'œil du divin,
Bleu comme la mer exténuée par son travail,
Violet comme la lassitude qui s'installe sur le sol des délaissés.
Bleu comme l'œil du regard perspicace,
Jaune comme la forêt de semences dorées battant face au vent,
Vert comme le songe d'un réalisme oublié.
Jaune comme l'œil du sordide,
Rouge comme la terre craquelée du magma qui gronde,
Orange comme l'infertilité de la douleur des temps qui avancent.
Loin tu es du passé des couleurs, celles qui te paraissaient si belles a regarder. Loin tu es de l'innocence des couleurs, celles qui dans tes yeux transpiraient la beauté.
Où est la couleur, l'époque ou chaque nouvelle possibilité du cercle chromatique t'émerveillait ? Ou la couleur est-elle rangée, où l'as tu-donc caché ?
Oubliée, avec les autres, la beauté du monde, la transparence des événements.
Innocence colorée, imparfaite détermination des courses de nos astres.
Tuiles de couleurs sur les maisons des enfants rêvés et oubliés comme amis, lourde solitude de la multiplicité porté par l’indéterminé fatal.
Sombre poésie sans couleur et sans lumière pointant tel un éclat dans la toile des peintures de nos vies,
Sombres couleurs tachées par la tournure du monde vu par ton esprit,
Sombre nuances tachées par l'oubli et l'indifférence,
Sombre innocence voilée parmi les nuances sombres de la toile sans lumière, percée par l'éclat d'une larme impossible a extérioriser.
Sombre, sombre couleur. Si sombres et si noires que j'en oublie leur splendeur.
Sombre, sombre innocence, cachée loin dans les dédales noircis de la vie.
Sombre, sombre nuance. Car par delà les éclats qui pouvaient m'émerveiller je ne vois plus que le plat de la toile pourtant déchirée.
Sombre, sombre, sombre.
Couleur.
Bleu comme la mer exténuée par son travail,
Violet comme la lassitude qui s'installe sur le sol des délaissés.
Bleu comme l'œil du regard perspicace,
Jaune comme la forêt de semences dorées battant face au vent,
Vert comme le songe d'un réalisme oublié.
Jaune comme l'œil du sordide,
Rouge comme la terre craquelée du magma qui gronde,
Orange comme l'infertilité de la douleur des temps qui avancent.
Loin tu es du passé des couleurs, celles qui te paraissaient si belles a regarder. Loin tu es de l'innocence des couleurs, celles qui dans tes yeux transpiraient la beauté.
Où est la couleur, l'époque ou chaque nouvelle possibilité du cercle chromatique t'émerveillait ? Ou la couleur est-elle rangée, où l'as tu-donc caché ?
Oubliée, avec les autres, la beauté du monde, la transparence des événements.
Innocence colorée, imparfaite détermination des courses de nos astres.
Tuiles de couleurs sur les maisons des enfants rêvés et oubliés comme amis, lourde solitude de la multiplicité porté par l’indéterminé fatal.
Sombre poésie sans couleur et sans lumière pointant tel un éclat dans la toile des peintures de nos vies,
Sombres couleurs tachées par la tournure du monde vu par ton esprit,
Sombre nuances tachées par l'oubli et l'indifférence,
Sombre innocence voilée parmi les nuances sombres de la toile sans lumière, percée par l'éclat d'une larme impossible a extérioriser.
Sombre, sombre couleur. Si sombres et si noires que j'en oublie leur splendeur.
Sombre, sombre innocence, cachée loin dans les dédales noircis de la vie.
Sombre, sombre nuance. Car par delà les éclats qui pouvaient m'émerveiller je ne vois plus que le plat de la toile pourtant déchirée.
Sombre, sombre, sombre.
Couleur.
- Spoiler:
- Feuille de papier.
Klev- Admin
- Emploi/Loisirs : Administrateur en torpeur.
Re: Le grand événement de GDLP 2
Vol au vent
Doucement, il caresse. Son toucher est gracile, chatouillant, grattant, parfois volatile, tantôt vif... tantôt patient. Il lui arrive d'hésiter, de se tenir songeur, ou encore de faire jaillir et valser les couleurs. Elle se remplit sans rien dire, sage comme une image. Elle attend son heure, son futur n'est pas encore tracé, secret... mais il va arriver.
En un instant, ce destin change.
Il frotte, et elle se vide soudain de son sens, de ses couleurs, de sa vie.
Son toucher est lourd et énervé, et elle se sent écrasée, la caresse devient appui, la surface devenant sale. Elle doit redevenir propre, elle doit retrouver sa virginité.
Puis les caresses reviennent, et la sérénité aussi.
Mais tout a changé. La frustration est entrée dans sa vie.
Les moments où elle se vide sont de plus en plus récurrents, et à chaque fois ils laissent plus de trace, sa blancheur refuse de plus en plus de revenir, elle se sent vieille et racornie, elle se sent sale et l'heure sera bientôt venue pour elle de disparaître de ce monde. Elle n'a pas pu devenir une idole, elle ne sera pas digne d'être admirée et terminera sa vie dans la déchirure la plus totale.
Elle s'attend à ce dernier moment de frustration, cet instant fatidique où elle finira rabougrie, chiffonnée, et incinérée. Il l'a vouée à la destruction, elle ne peut s'y opposer, elle doit s'y souscrire. Telle sera la fin de sa vie.
Et pourtant, sa mort se fait attendre.
Le calme semble être étrangement revenu.
Puis...
Délicatement, il plie.
Elle accepte le mouvement, avec peu de résistance, docilement... elle ne peut plus s'y opposer.
Elle est grise et sale, laide, mais elle sent les plis la façonner, nets, la modifier en surface comme en profondeur. La respecter.
Il plie encore, la tourne, replie, déplie, hésite, retourne et replie.
Elle jubile avec fierté.
Il saisit le fruit de son travail et le contemple avec admiration.
Il la tient délicatement et la pousse doucement d'un geste, l'invitant à une dernière danse.
Et alors, dans une apothéose parfaite, la feuille de papier s'envole avec la grâce d'un papillon, ses ailes fragiles toutes dépliées, et s'apprête à atterrir sereinement dans la corbeille à papier...
... lorsque le professeur, épiant ce moment depuis le coin de la classe, rattrape au vol l'infortunée, sourit et, joueur, la renvoie sur son concepteur, offrant à cette feuille l'occasion de déposer sur le front de l'enfant un tendre baiser de papier.
"Les avions ne sont pas tolérés en classe, Mr Bockstal-Fieulaine. Et je tiens à voir votre dessin sur mon bureau d'ici la fin de l'heure !"
- Spoiler:
- Plume
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: Le grand événement de GDLP 2
*rire*
[edit : je me demandais pourquoi tu avais posté ça. J'aime bien cette animation]
[edit : je me demandais pourquoi tu avais posté ça. J'aime bien cette animation]
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: Le grand événement de GDLP 2
L'envol du cœur.
Mon cœur est si léger. Comme une plume soufflée par le vent.
Mon cœur est si douloureux. Comme la plume en proie aux éléments.
Mon cœur est-il libre ? Comme les plumes des ailes que j'avais enfant.
Mon cœur est-il là ? Partit comme les plumes de notre nid d'antan.
Mon cœur est si léger. Comme une plume soufflée par le vent.
Mon cœur est si douloureux. Comme la plume en proie aux éléments.
Mon cœur est-il libre ? Comme les plumes des ailes que j'avais enfant.
Mon cœur est-il là ? Partit comme les plumes de notre nid d'antan.
- Spoiler:
- Mon "cœur" est léger dans le sens où il est versatile.
Les "ailes que j'avais enfant" font référence à mon innocence perdue.
Le "nid" fait référence à l'expression : "nid d'amour".
- Spoiler:
- Crise cardiaque
Bacrima- Humeur : Une pointe de joie et un soupçon d'amusement
Localisation : Dans ma chambre, rarement ailleur ...
Emploi/Loisirs : Japanimer, ça se dit ?
Re: Le grand événement de GDLP 2
^^' Lu. Mais le thème suivant ne m'inspire pas. Il me fait... mal au cœur, on va dire.
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: Le grand événement de GDLP 2
Je prend ! Crise cardiaque.
Crue Elle- Humeur : D'une Obscure Clarté
Localisation : Un lieu chargé de Vie où l'on rêve de Mort
Feuille de personnage
Nom, classe et niveau: Og'Fuz. Inconnu
PA:
(0/0)
PV:
(0/0)
Re: Le grand événement de GDLP 2
La Main sur le cœur.
Le Cœurau bord des lèvres.
La Viesur le point d'imploser.
Le temps s'arrête
Tout se contracte.
Et ce contact
Te fais chuter.
C'est parce qu'ils sont surpris qu'ils meurent
L'Amour est une crise cardiaque constante.
Les oiseaux ont un cœur si petit qu'il bat extrêmement vite
Car à chaque instant, tu frôle la fin.
Un détonateur
Si bien qu'il est préférable,
Une poigne de fer qui se ressert
D'être tué sur le coup.
Le Cœur
La Vie
Le temps s'arrête
Tout se contracte.
Et ce contact
Te fais chuter.
C'est parce qu'ils sont surpris qu'ils meurent
L'Amour est une crise cardiaque constante.
Les oiseaux ont un cœur si petit qu'il bat extrêmement vite
Car à chaque instant, tu frôle la fin.
Un détonateur
Si bien qu'il est préférable,
Une poigne de fer qui se ressert
D'être tué sur le coup.
Crue Elle- Humeur : D'une Obscure Clarté
Localisation : Un lieu chargé de Vie où l'on rêve de Mort
Feuille de personnage
Nom, classe et niveau: Og'Fuz. Inconnu
PA:
(0/0)
PV:
(0/0)
Re: Le grand événement de GDLP 2
Jolie. (désolé de ne pas être plus descriptif mais c'est le seul mot qui me vienne à l'instant.)
Tu as oublié de donner le prochain thème (en spoiler).
Si quelqu'un souhaite télécharger l'intégral du Grand Événement, c'est ici : https://mega.co.nz/#!OohVEKKA!mgJyWCI5GnV9F3zj4gtP29SIkC58nJYC-f5_pr1ixN8 .
Tu as oublié de donner le prochain thème (en spoiler).
Si quelqu'un souhaite télécharger l'intégral du Grand Événement, c'est ici : https://mega.co.nz/#!OohVEKKA!mgJyWCI5GnV9F3zj4gtP29SIkC58nJYC-f5_pr1ixN8 .
Bacrima- Humeur : Une pointe de joie et un soupçon d'amusement
Localisation : Dans ma chambre, rarement ailleur ...
Emploi/Loisirs : Japanimer, ça se dit ?
Re: Le grand événement de GDLP 2
^^ Je plussoie la remarque de Bac. On attend la prochaine idée !
Et ... ce texte me plait. :mrgreen:
Et ... ce texte me plait. :mrgreen:
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: Le grand événement de GDLP 2
Un thème ? Ah ah, cela me place en tant que maître ultime, quoique durant un bref moment, de ce post !
Alors, voyons voir...
Overdose.
Thème assez large, libre, et tellement classe, dont je m'inspire d'ailleurs à l'instant.
Alors, voyons voir...
Overdose.
Thème assez large, libre, et tellement classe, dont je m'inspire d'ailleurs à l'instant.
Crue Elle- Humeur : D'une Obscure Clarté
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Re: Le grand événement de GDLP 2
Je prends ! :mrgreen:
Overdose !
C'est par un rire que tout commence.
Un rire profond, surgissant du fond du cœur, un rire incontrôlable et incontrôlé, un rire qu'iel n'arrive même plus à retenir.
On lae regarde en souriant : iel doit être heureux, puisqu'iel rit.
C'est assez étrange, mais s'iel s'est mis-e à rire, c'est que rien ne va si mal.
Un rire profond, surgissant du fond du cœur, un rire incontrôlable et incontrôlé, un rire qu'iel n'arrive même plus à retenir.
On lae regarde en souriant : iel doit être heureux, puisqu'iel rit.
C'est assez étrange, mais s'iel s'est mis-e à rire, c'est que rien ne va si mal.
On lui demande s'il faut arrêter, ou s'iel en veut encore.
Iel ne répond même pas, tellement iel rit.
Son cerveau hurle une sorte de joie, au milieu de laquelle vient peu à peu s'insinuer une certaine forme de douleur, imprévue.
Mais iel ne peut que rire, constatant à quel point iel est mal barré tellement ses sens lui renvoient des informations contradictoires.
Puis, l'instant d'après, iel ne constate plus rien.
Toutes ses fonctions de contrôle, le siège de sa raison, sa logique, tous les ponts sont coupés.
Iel avait perdu le contrôle de ses zygomatiques, lae voilà qui perd le contrôle de ses pensées.
Iel ne répond même pas, tellement iel rit.
Son cerveau hurle une sorte de joie, au milieu de laquelle vient peu à peu s'insinuer une certaine forme de douleur, imprévue.
Mais iel ne peut que rire, constatant à quel point iel est mal barré tellement ses sens lui renvoient des informations contradictoires.
Puis, l'instant d'après, iel ne constate plus rien.
Toutes ses fonctions de contrôle, le siège de sa raison, sa logique, tous les ponts sont coupés.
Iel avait perdu le contrôle de ses zygomatiques, lae voilà qui perd le contrôle de ses pensées.
On lui pose une question.
Elle lui passe de côté.
Iel n'arrive même plus à analyser.
Iel se crispe de plus en plus.
Son corps remue même de façon erratique et désordonnée, sa tête passant de gauche à droite sans aucune raison.
Iel a mal.
Iel rit tellement.
Tout n'est que douleur.
Iel hurle de rire.
Iel veut pleurer, mais n'y arrive pas.
Elle lui passe de côté.
Iel n'arrive même plus à analyser.
Iel se crispe de plus en plus.
Son corps remue même de façon erratique et désordonnée, sa tête passant de gauche à droite sans aucune raison.
Iel a mal.
Iel rit tellement.
Tout n'est que douleur.
Iel hurle de rire.
Iel veut pleurer, mais n'y arrive pas.
Sa voix change, muant légèrement tandis qu'une nouvelle étape lui en fait perdre le contrôle.
Elle est devenue plus grave, ou plus aiguë, iel ne le sait.
Pitié...
Iel récupère une fraction de seconde le contrôle de sa voix.
Iel réclame pitié.
Ça fait trop mal, mais iel n'arrive plus à le dire.
Son souffle est court.
Iel a mal.
Mais iel rit toujours, haletant.
Ses hormones s'affolent.
Puis soudain, tout s'arrête.
Elle est devenue plus grave, ou plus aiguë, iel ne le sait.
Pitié...
Iel récupère une fraction de seconde le contrôle de sa voix.
Iel réclame pitié.
Ça fait trop mal, mais iel n'arrive plus à le dire.
Son souffle est court.
Iel a mal.
Mais iel rit toujours, haletant.
Ses hormones s'affolent.
Puis soudain, tout s'arrête.
Le temps semble en suspens.
On analyse sa supplication.
On sourit.
Iel réclame à nouveau pitié.
Cela veut-il dire qu'iel veut augmenter la dose ?
Ou au contraire cela signifie-t-il qu'il est temps d'arrêter ?
On réfléchit, calmement.
On sourit.
Iel réclame à nouveau pitié.
Cela veut-il dire qu'iel veut augmenter la dose ?
Ou au contraire cela signifie-t-il qu'il est temps d'arrêter ?
On réfléchit, calmement.
Puis on se décide.
Le vague contrôle qu'iel avait de nouveau reconstruit se brise déjà, dès l'arrivée de la dose suivante.
Iel avait lâché prise malgré luiel, comme si ce contrôle n'avait jamais existé.
cette nouvelle vague est plus forte, moins contrôlée, cette fois.
Brutale.
C'est un supplice hormonal, son corps ne suit plus.
Iel n'est désormais plus qu'un tas de douleur paradoxal, car iel en veut encore mais iel n'en peut plus.
Iel se crispe toujours plus, et respire maintenant à fond lorsqu'iel ne rit pas.
Mais tous les sens qui lui parviennent lae mettent en alerte.
Pire encore, sa propre respiration forcée lui fait inhaler des odeurs qu'iel ne souhaitait pas recevoir.
Iel perd donc à nouveau le contrôle de plusieurs choses qu'iel ne pensait pas être encore en mesure de posséder : ses émotions, et ses sentiments.
On lui fait tourner la tête, et c'est horrible.
Ça ne devrait pas être légal.
Iel avait lâché prise malgré luiel, comme si ce contrôle n'avait jamais existé.
cette nouvelle vague est plus forte, moins contrôlée, cette fois.
Brutale.
C'est un supplice hormonal, son corps ne suit plus.
Iel n'est désormais plus qu'un tas de douleur paradoxal, car iel en veut encore mais iel n'en peut plus.
Iel se crispe toujours plus, et respire maintenant à fond lorsqu'iel ne rit pas.
Mais tous les sens qui lui parviennent lae mettent en alerte.
Pire encore, sa propre respiration forcée lui fait inhaler des odeurs qu'iel ne souhaitait pas recevoir.
Iel perd donc à nouveau le contrôle de plusieurs choses qu'iel ne pensait pas être encore en mesure de posséder : ses émotions, et ses sentiments.
On lui fait tourner la tête, et c'est horrible.
Ça ne devrait pas être légal.
Son corps ne tient plus.
Iel réclame encore une fois pitié, mais ses forces l'abandonnent alors même que sa phrase était en suspend dans sa bouche, stoppée nette dans sa course par son propre corps le trahissant.
Pitié.
Trop.
Mal.
Iel réclame encore une fois pitié, mais ses forces l'abandonnent alors même que sa phrase était en suspend dans sa bouche, stoppée nette dans sa course par son propre corps le trahissant.
Pitié.
Trop.
Mal.
Pas envie d'arrêter.
Plus fort, toujours !
Pitié, que ça finisse.
Confusion.
Plus fort, toujours !
Pitié, que ça finisse.
Confusion.
Iel rit toujours, mais le rire laisse presque désormais sentir sa douleur.
Iel t'en prie, que ça s'arrête.
Supplice !
Iel t'en prie, que ça s'arrête.
Supplice !
Puis soudain, on lui fait grâce.
Pas de dose supplémentaire, il ne faut pas abuser des bonnes choses.
Quoique ?
Pas de dose supplémentaire, il ne faut pas abuser des bonnes choses.
Quoique ?
Son cerveau se protège.
Son corps aussi.
Iel a dépassé les doses prescrites.
Son ventre lui fait mal. Son cerveau est toujours affolé. Iel a peur. La moindre caresse du vent lae fait sursauter, et pourtant iel a trop mal pour pouvoir être autre chose qu'une loque humaine actuellement.
L'effet léthargique survient insidieusement, alors que ses muscles sont à la fois tendus, endoloris et pourtant réclament désormais le calme le plus total.
Son esprit s'est enfin recentré : la confusion cesse, iel ne veut plus.
Iel marque alors un grand soupir, véritable soupape émotionnelle.
Aussi, iel, épuisé-e, finit par perdre conscience et s'endormir.
Comme une masse.
Son corps aussi.
Iel a dépassé les doses prescrites.
Son ventre lui fait mal. Son cerveau est toujours affolé. Iel a peur. La moindre caresse du vent lae fait sursauter, et pourtant iel a trop mal pour pouvoir être autre chose qu'une loque humaine actuellement.
L'effet léthargique survient insidieusement, alors que ses muscles sont à la fois tendus, endoloris et pourtant réclament désormais le calme le plus total.
Son esprit s'est enfin recentré : la confusion cesse, iel ne veut plus.
Iel marque alors un grand soupir, véritable soupape émotionnelle.
Aussi, iel, épuisé-e, finit par perdre conscience et s'endormir.
Comme une masse.
On lae regarde faire, un peu inquiet face à ce mutisme et cet immobilisme soudain.
Mais, lorsque sa respiration est avérée, on est rassuré.
On sourit, magnanime.
On lui laisse sa liberté...
Jusqu'à la prochaine fois.
Mais, lorsque sa respiration est avérée, on est rassuré.
On sourit, magnanime.
On lui laisse sa liberté...
Jusqu'à la prochaine fois.
Qui sera pire encore.
Dernière édition par Yoendel le 02.04.15 16:00, édité 4 fois (Raison : fautes de genre !)
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: Le grand événement de GDLP 2
Oh, j'oubliais !
Le prochain thème sera...
Le prochain thème sera...
- *roulement de tambour*:
- Tyrannie !
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: Le grand événement de GDLP 2
Je prends ! :mrgreen: Cela m'inspire.
Ton texte est génial. Mais dis-moi, Iel se fait chatouiller c'est ça ?
Ton texte est génial. Mais dis-moi, Iel se fait chatouiller c'est ça ?
Dernière édition par Bacrima le 02.04.15 17:03, édité 1 fois
Bacrima- Humeur : Une pointe de joie et un soupçon d'amusement
Localisation : Dans ma chambre, rarement ailleur ...
Emploi/Loisirs : Japanimer, ça se dit ?
Re: Le grand événement de GDLP 2
La tyrannie des sentiments.
"
Je me souviens encore de cette nuit-là. Le chagrin, la tristesse et toi.
Elle m'avait fait souffrir, et tu étais là.
Je me rends compte maintenant que pour apaiser ma peine, je l'ai utilisée. Je l'ai utilisée pour te faire du chantage affectif. Pour que tu me consoles. Mais l'alcool m'a fait aller trop loin.
Je ne voulais que des bras pour me serrer, pour pleurer. J'ai demandé un baiser, ce fut le premier et le dernier. Dans un sens cela m'a rassuré, cela m'a convaincu que c'était normal que je sois seul car les filles ne s'intéressaient pas à moi.
Cela m'a fait si mal d'être rejeté, et pourtant dans un sens c'était rassurant de perpétuer le schéma connu de l'abandon. Quel idiot j'ai fait de croire que quelqu'un pouvait s'intéresser à moi ... Mais peut-être que je t’intéressais. Peut-être que sans Elle, sans alcool, nous nous serions rapproché, autrement.
Je pense encore à toi, souvent, à cette nuit de danse, de folie. Je t'ai blessée, j'ai blessé un ami qui ne me l'a même pas reproché ... Mais moi je me le reproche.
Suis-je un incapable égoïste ou une personne trop sensible dont on a tellement ri qu'elle a enfoui toutes ses émotions ?
Qu'est-ce que l'amour, qu'est-ce que la haine ?
Pourquoi je ne déteste personne ?
Pourquoi je me reproche tout ?
Parce que je suis coupable.
Ce soir-là était merveilleux. Je me rappelle de cette course effrénée en te portant, je me rappelle de ces rires, de ton rire. Je me rappelle des personnes présentes. Je me souviens des dessins que tu avais faits. De cette bouteille que l'on a bue.
Je ne reproche rien à Elle. Je l'ai aimée.
Mais aujourd'hui je l'ai oubliée, alors que je pense encore à toi. J'aimerais apprendre à te connaître, mais mes mots te parviendront-ils ? J'aimerais savoir ce que tu fais en ce moment, te parler aussi naturellement qu'avec un ami.
"
Je relis ma lettre avec l’appréhension d'y laisser des fautes.
Comprendra-t-elle ?
- Prochain Sujet:
- Compréhension
Bacrima- Humeur : Une pointe de joie et un soupçon d'amusement
Localisation : Dans ma chambre, rarement ailleur ...
Emploi/Loisirs : Japanimer, ça se dit ?
Re: Le grand événement de GDLP 2
J'ai pas compris ce que dit mon VDD.
Dark Geo- Humeur : Variable
Localisation : Sur terre pas loin probablement sous la lune
Emploi/Loisirs : Je manque de temps pour les citer.
Feuille de personnage
Nom, classe et niveau: Geofraynils, sorcier sith
PA:
(26/26)
PV:
(30/30)
Re: Le grand événement de GDLP 2
Géo : Vu que je m'amusais aussi a poster des textes que personne ne pourrait comprendre de temps en temps, quand je postais, je ne pourrais que te dire qu'il n'y a rien de problématique. ^^
Klev- Admin
- Emploi/Loisirs : Administrateur en torpeur.
Re: Le grand événement de GDLP 2
... pourtant je comprends ! Il n'a pas compris ce que dit son "Vador Drive Disk". Simple, non ?
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: Le grand événement de GDLP 2
Il disait qu'il n'avait pas compris ce que disait Bacrima, j'ai répondu en considération.
^^
^^
Klev- Admin
- Emploi/Loisirs : Administrateur en torpeur.
Re: Le grand événement de GDLP 2
Il a surtout essayé de faire le plus court des textes à contrainte se rapportant au thème, si tu veux mon avis. :mrgreen:
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: Le grand événement de GDLP 2
Ah…
Si t'es est le cas, Géo, t'aurais pu mettre le prochain sujet ! *rires* Ça aurait été une manière stylée de nous le faire comprendre… ^^
Si t'es est le cas, Géo, t'aurais pu mettre le prochain sujet ! *rires* Ça aurait été une manière stylée de nous le faire comprendre… ^^
Klev- Admin
- Emploi/Loisirs : Administrateur en torpeur.
Re: Le grand événement de GDLP 2
Zut j'avais oublié ce détail. Je le rajoute ici et en édit (finalement il n'y aura pas d’édit j'ai pas le droit ^^) :
- Sujet suivant:
- Essayer
Dark Geo- Humeur : Variable
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