Le grand événement de GDLP 2

Je vois pas comment le développer de façon poétique, pour ma part… Et ça me donne aucune idée. Alors j'attends comme toi… *rit*

:mrgreen:  j'ai une idée, donc je prendrais bien, mais...

  j'aurais pas d'autre accès internet, probablement, avant la fin des délais. Désolé.

Pas grave, Klev a une idée.
D'ailleurs, Klev, pour ton idée, tu pourrais :

Spoil pour Klev:

Je reprends. Klev a donné son accord. Juste une question. On doit obligatoirement produire un texte?

À la base, oui.
Mais je pense que toute œuvre, quelle qu'elle soit, est la bienvenue.  

Je le prends.
Ça m'inspire.

Ok, tu as donc jusqu'au Vendredi 13 Sep 2013 - 15:14.
Bonne inspiration.

本当にご免なさい  !!!

これはどうぞ.



Cette fichue conserve résistait.
Après avoir essayé avec presque tous les objets coupants de la maison - en commençant par l'ouvre boite, et en finissant par la barre à mine - il en était venu à penser que quelqu'un, il ne savait pas qui, ne voulait pas qu'il l'ouvre.
C'est que, quand on a passé une semaine à s'acharner sur une stupide boite en aluminium, à se taper sur les doigts, à se couper, à se brûler, on devient un peu parano.

Ainsi donc, QUELQU'UN ne voulait pas qu'il l'ouvre.

A ce compte là, ce n'était donc pas sa faute.

Il oublia alors la boite dans un coin.

Il passait parfois devant, et la voyait, le narguant de sa superbe et immaculée cuirasse de métal, que toute la bonne volonté du monde n'avait su entamer.

Il en conçut une profonde amertume, et son tempérament mélancolique n'aidant pas, il en devint petit à petit neurasthénique.

Il se replia sur lui-même.
A moitié fou, il se mit à adorer la boite comme un signe divin, et il lui sembla qu'elle brillait plus, parfois. Le matin surtout, lorsque la lumière du soleil rasait le petit autel dressé le long d'un mur de sa chambre.

Pourquoi ?
Pourquoi lui ?

Il se questionnait désespérément, puis se souvenait qu'il avait été élu. Il n'avait pas le droit de se plaindre.

Il passait une longue main décharnée sur la boite froide, respectueusement, et souriait autant que ses joues maigres le lui permettaient.
D'un sourire un peu fou, qui dévoilait ses gencives partiellement édentées par la dénutrition.

Un temps, un chat avait miaulé devant la porte. Il avait du partir trouver de la nourriture ailleurs.
Tant mieux. Il restait seul avec la relique. Personne ne le détournait plus de sa tâche.

Il finit par passer ses journées assis devant l'autel, caressant amoureusement - et parfois avec crainte - le pot sacré. Il lui était de toute façon impossible de se lever... Puis, tel était son Devoir.

Il vivait à la campagne, loin de tout. On mit du temps à s'apercevoir de sa disparition, car il ne sortait que très peu, et se ravitaillait tous les 6 mois, vivant surtout des produits de son grand jardin.
Il était un peu simple d'esprit, mais apprécié de tous pour sa gentillesse et son amour de la terre.

Il avait eu une femme, emportée par la fièvre lors d'un hiver particulièrement froid. Il avait tenté de la soigner lui-même, ne faisant pas confiance aux médecins.

Étonnamment, il s'en était bien remis.
Il avait repris sa vie et sa bêche.


On raconte que les pompiers, alertés par des "voisins" qui n'arrivaient pas à ouvrir la porte, et ne voyaient pas signe de vie (une araignée avait tissé sa toile devant la porte) trouvèrent l'homme recroquevillé au pied d'un cageot retourné, sur lequel était disposé du papier d'aluminium, et une boite de conserve.

Les pompiers emportèrent son cadavre, et la maison fut mise en vente.
Personne ne remarqua l'éclat particulier de la boite de conserve. Elle finit à la poubelle. Puis brûla dans l'incinérateur de la décharge.

A quelques centaines de kilomètres de là, un homme se faisait torturer.
Il avait le nez et la mâchoire vraisemblablement cassés, du sang coulait de son crâne, et il lui manquait des ongles à la main gauche. Des traces de brûlure parsemaient sa peau.

- Dis moi où tu l'as planquée !
Allez, si tu le dis je te tuerai, tu ne souffriras plus.

- jJe n'ai rien pp-pris je vv-ous le jjj-jure ...
Eeelle n'étt-tait pas dd-ans le r- r-rayon

- Mais comment pouvait-il ne pas y être ?
Il devait être au fond ! Personne ne prend jamais les boites au fond ! Personne ne prend jamais suffisamment de boites pour prendre celles du fond !

Tu vas parler. J'ai tout mon temps. Et je saurai où il est passé, ce fichu diamant noir.

Prochain sujet:

waou!
*s'incline*
alors là, bravo!

*s'incline, flattée*

Merci !

Mais comme je te l'ai dit tout à l'heure, je n'ai pas vraiment fait exprès. *sourire*

BON.

A toi: comme je te l'ai dit, Klev, Powi, Yoendel et moi avons parlé de ta comète. Mais de vive voix. Du coup... Ben on a tous oublié de répondre.

1) c'est beau.
2) c'est réaliste...mais pas trop.
3) ça colle parfaitement au sujet pour moi. J'imagine jamais le système solaire comme une entité figée...

A toi: comme je te l'ai dit, Klev, Powi, Yoendel et moi avons parlé de ta comète. Mais de vive voix. Du coup... Ben on a tous oublié de répondre.

1) c'est beau.
2) c'est réaliste...mais pas trop.
3) ça colle parfaitement au sujet pour moi. J'imagine jamais le système solaire comme une entité figée...

+1.

J'aime bien le côté à la fois extrêmement fixe (le fond, par exemple) et à la fois extrêmement mouvant...

*s'incline*

Ah oui ! décidément, j'ai la tête ailleurs...

Avec tout ça, j'ai pas commenté le post de ><(.

Déjà (et je lui ai dit de vive voix), j'ai découvert quelque chose. Je connaissais pas les diaments noirs.

De plus, j'ai pensé à Gollum, pas vous ?

Enfin, pour un résumé de l'ensemble, bah...

*lève un pouce avec un grand sourire d'admiration*

Et le sujet prochain ? Un(e) intéressée ? Sinon je prends. mais je veux être sûr...

Yoendel a écrit:*lève un pouce avec un grand sourire d'admiration*

Lever un pouce pour un texte qui finit sur une séance de torture, c'est non pour moi. *rit*

Par contre c'est oui pour moi !

Oui pour lever ou oui pour le prochain sujet ? (histoire d'être sûr)

Oui pour lever .

Ben... ?

Bon, ben dans ce cas, je prends !
Je pousse !
je garde !

*résiste très fort à l'envie de lacérer virtuellement le texte*

*se contente de hocher la tête silencieusement*

*rire*
*mode Tourelle : On* Pourquoiiiiiiiii ?

/me pourrait s’énerver.
Quitter la pièce en hurlant, après avoir balancé le clavier dans l'écran.

/me va essayer de rester civilisé(e).

/me précisera simplement qu'elle/il n'est pas d'humeur à apprécier la pureté. Ou la beauté. Ou à être compatissant(e).

/me est juste d'une humeur exécrable. MASSACRANTE, pour être exacte.

/me ajoutera que c'est sans doute du à une vision de ce matin, et un certain sujet sur la bio-éthique.

/me peut s'en aller maintenant, sans casser l'ordinateur.

Roh... j'aurais du mettre un sujet en /me. ça t'aurait plus. mais...non.

*songeur* contrariété intéressante....


Mais bon : quelqu'un intéressé par le prochain sujet ?