Intranisation : Chapitre 8, M: Conviction

M sourit à pleine dents, s'amusant de l'apparente naïveté de sa proposition.

« Tu vois une autre méthode ? B m'avait vaguement dit qu'il trouvait ça marrant de voir ça comme un jeu de plate forme. »

« Et si tu tombes ? Et si tu es écrasé ?… »

Le sourire de M s’effaça pour laisser place a une mimique du genre de celle que pourrait faire une tête brûlée en disant quelque chose comme « Mais, ça n'arrivera pas ».

A soupira. Après tout, c'était tout aussi stupide que de foncer tête baissé dans l'Intramonde. Et puis, il était curieux aussi.

« Tu es au courant que je ne pourrais pas tu suivre, hein ? » s'inquiéta A.

« Je te ferais un résumé détaillé, promis » fit M.

Et il s'approcha de la gauche du disque. Il bondit sur l'engrenage le plus proche. A ne pouvait s’empêcher d'être impressionné, la conviction de M envers l'agilité de sa projection mentale avait semble-t-il suffi à lui permettre d'effectuer des mouvements que A n'aurait même pas tenté.

M venait de poser le pied sur le premier engrenage, après un petit saut risqué. Voir la cathédrale lui avait redonné confiance. C'était une étape prévue depuis longtemps, pour lui… Il avait volontairement cherché a venir ici pour se rassurer, persuadé que c'était une étape importante.

Il regarda sur sa droite. Et bondit sur l'engrenage suivant. L'organisation était un peu anarchique. Ça donnait a l'épreuve un aspect ludique. Presque comme un jeu. M le voyait comme ça.

« C'est un peu enfantin… » pensait-il.

Le lourd son des engrenages le berçait presque. Un énorme son, majestueux dans sa constitution, et imposant dans sa stature. Comme la cathédrale elle même. M progressait lentement vers le fond. D'ici quelques minutes, il serait à mi-chemin. D'ici quelques minutes, il s'accrocherait à un balancier… Dans le monde réel, ça lui semblait impossible. Mais sa connaissance de l'Intramonde lui permettait de deviner qu'il ne mourrait pas comme ça. Enfin, du moins, pas écrasé. C'était trop violent pour être réalisable. L'Intramonde était B, et B n’aimait pas l'idée que la violence put être si gratuite.
De là à tenter le diable, il y avait un grand pas à faire ; un pas que M avait franchi sans vraiment réfléchir. Et ça n'avait pas l'air de lui poser problème. Pourtant, il aurait pu aussi songer au fait que ce n'était pas l'Intramonde qui guidait ses gestes. Il aurait donc peut être pu finir broyé. Mais l'idée était trop glauque pour qu'il y ai repensé une seule seconde. L'aspect onirique de la cathédrale avait balayé ses doutes.

Dans un bruit sourd, le premier des trois balanciers passa derrière son dos. Il regarda celui ci s'éloigner pour mieux revenir. Tandis qu'il admirait le mouvement, il pensa dans un réflexe au fait que ses doigts pouvaient peut être se trouver coincés dans l'engrenage voisin à celui sur lequel il prenait appui, si il ne se dépêchait pas. Le balancier revenait pour la seconde fois. M sauta sans trop réfléchir. Et s’agrippa sans mal a la tige du balancier. De là, il observa pendant un temps ce qu'il avait déjà parcouru, puis ce qui allait suivre.

Il regarda A, sur le disque horizontal au dessus duquel la porte était en suspension. Celui ci avait une drôle d'expression sur le visage.

Il tourna la tête en direction du fond, vers la lueur blanc-bleutée. Il ne distinguait pas grand chose de plus. Le disque horizontal qui soutenait le cylindre à mi hauteur sur lequel la source de lumière semblait être installée lui apparaissait maintenant un peu mieux : il lui semblait dégagé, il n'aurait donc aucun mal à se tenir près de la source lumineuse pour l'étudier, quel qu'elle soit.
Il sauta sur le second balancier quand celui ci et le premier furent à nouveau l'un en face de l'autre. Il regarda le troisième. Celui ci avait un rythme différent. Il ne fallait pas se tromper dans son calcul, en sautant. M réfléchissait. Après un assez court temps de réflexion, il sauta, se disant qu'il faisait mieux de ne pas trop penser.
Il attrapa le troisième balancier, et s'y agrippa. Son pied failli glisser, mais ses bras serraient suffisamment fort la tige du balancier pour lui éviter une chute. M regarda un engrenage à sa droite, qui lui semblait accessible. Vu le temps qu'il fallait au balancier pour faire un aller et retour, il se dit qu'il valait mieux sauter directement à droite. Il confirma sa pensée en jetant un coup d'œil du côté gauche, qui offrait des prises plus difficiles.
Il bondit donc, profitant de l'élan apporté par le balancier. Ses doigts attrapèrent de justesse un des crans de l'engrenage qu'il visait. Sa poitrine heurta les crans de métal, lui coupant le souffle. Par chance, il avait maintenu ses mains en position. Il lui fallut quelques secondes pour reprendre le fil de ce qui se déroulait, et réaliser que si ses doigts avaient été a peine plus bas, il serait tombé. Il effaça cette pensée, regardant sur sa gauche pour étudier les prises. Il envoya sa main gauche attraper un engrenage. Celle ci y parvint de justesse.
Il se balança sur un appui pour attraper un autre engrenage, plus loin. Et se hissa sur un engrenage horizontal. Il put enfin se reposer quelques secondes. Fort heureusement, cet engrenage lui permettait une pause, vu son orientation. Il s'essuya le front d'un revers de manche grise.

Il avança encore, et encore, vers le disque du fond. Il pouvait mieux distinguer la source de lumière, mais n'avait pas le temps, du fait de la rapidité demandée pour trouver les prises, d'y poser les yeux assez longtemps pour s’habituer à la lumière et distinguer de quoi il s'agissait.
Il n'était plus très loin. Encore quelques engrenages, et il pourrait sauter. Mais il n'en pouvait plus. C'était plus épuisant qu'il ne le pensait. Il progressait de plus en plus lentement, peinant à la tâche qu'il s'était fixé.
Il hésita entre continuer encore un peu pour une meilleure possibilité de saut, et sauter maintenant sur le massif disque horizontal où attendait la source de lumière.
L'épuisement le menaçait. Il opta pour le saut risqué.

Et sauta.

Seul le haut de son corps atteint le disque. Le bas de son corps l’entraînait vers la chute. Il se retint de ses bras. Il pesta contre son saut, il était bien coincé. Il poussa tant bien que mal pour se remonter sur le disque, lutant comme il pouvait contre une force de gravité dont il aurait bien voulu qu'elle se rende compte qu'elle n'avait aucune raison physique d'être, surtout que la cathédrale elle même semblait ne pas y être soumise, hormis peut être les balanciers. Il réussit enfin à se hisser un peu plus loin. Il bénit la ligne du cercle qui marquait la mi distance du rayon du disque horizontal en dépassant d'un bon doigt. La ligne lui permettait de se tirer, comme il pouvait, avec sa main droite.
Si il avait béni cette ligne à l'instant précédent, il maudissait maintenant sa piètre musculature de ne pouvoir le hisser plus loin à la force d'un seul bras. Il lâcha un juron. Et força de son bras avec tout ce qu'il avait de volonté. Ce qui lui permit de pouvoir balancer son bras gauche plus loin vers la ligne qui démarquait le mi-rayon du disque, ou sa main droite attendait impatiemment de devoir porter un peu moins. Il balança avec peu de succès cependant.
Il tira à nouveau, et parvint au bout de la seconde tentative à s'agripper de son bras gauche à la ligne, non sans difficultés supplémentaires.

Il s'offrit une pause pour reprendre son souffle, suspendu qu'il était. La situation était maintenant un peu moins délicate. Il lui suffisait de ne pas échouer. Comme pour tout le reste de son parcours, finalement. Il se propulsa donc vers l'avant à la seule force de ses bras. Et parvint à hisser son bassin. Il pesta pour la n-éme fois, et réussit enfin à se libérer du risque de chute, en ramenant ses membres inférieurs sur la surface plane du disque horizontal.
Il reprit son souffle, à moitié accroupi, n'osant pas bouger.
Puis, il se leva, et regarda au milieu du cylindre, a la hauteur de son plexus solaire. Il y avait en fait deux cylindres orientés à la verticale, reliés par quelques tiges métalliques et séparées par l'origine de la source de lumière.

C'était un cristal blanc-bleuté, semi translucide, de la longueur et de la largeur de son avant-bras. À la mi hauteur du cristal, endroit d'où semblait plus ou moins provenir la lumière qui avait, de son point de vue, baissé d'intensité depuis qu'il s'était approché, se trouvait un carré parfait qui s'étendait ensuite, depuis ses pointes, vers le haut et vers le bas pour finir en pointes à chaque extrémité, pointes qui étaient d'ailleurs masquées par deux anneaux composés de plusieurs pièces, enserrant et maintenant le cristal en position dans chaque extrémité des deux cylindres. Le haut du cylindre du bas embrassait le bas du cristal, et, à l'inverse, le bas du cylindre du haut enchâssait sa partie supérieure. Le reste du mécanisme était bien trop complexe pour être décrit plus précisément.

M osa à peine imaginer la puissance que devait avoir ce cristal pour parvenir à entraîner toute la cathédrale et à annuler la friction entre les engrenages, qui d'ordinaire aurait fait s'effondrer toute la cathédrale. B lui avait parlé de ça.
Mais il ne lui avait pas parlé de la véritable utilité. Ou peut être avait-il été trop flou. Car M n'en avait pas une idée précise.
M regarda en direction de A, qui attendait sans bouger en regardant dans sa direction.
Puis, il se rendit compte de la présence d'un bruit strident. Il vit A se retourner. Lentement. Très lentement. Il le vit marcher comme au ralenti vers le bord droit du disque sur lequel attendait la porte.

« Qu'est ce que c'est que ce ralenti… »

Soudainement, il comprit. C'était typique du genre de surprises qu'on peut découvrir dans une cathédrale d'engrenages.

« Qui dit engrenages dit horloge, et qui dit horloge dit temps… »

Tandis qu'il réfléchissait a ce que ça pouvait impliquer et à ce à quoi ça pouvait bien servir, il s’aperçut qu'une forme noire contournait la porte par le haut, pour venir dans sa direction, tandis que A la regardait arriver avec un air médusé.

« Ça doit se déplacer vite… »

Il reconnut dans la forme noire qui arrivait la chose qu'il avait vu dans la vidéo d'Elusis. « Non… »

Duquel dépassaient par endroits certaines parties du corps de Giratina. Ses appendices au pointes rougeoyantes, et sa tête, c'est du moins ce qu'il reconnut.

A la vitesse à laquelle la chose arrivait vers lui, il n'avait pas beaucoup de temps pour réfléchir. Il ne pouvait de toute façon pas faire grand chose. À part ruser…

Il eut une idée. Brillante, et complètement folle. Le genre d'idée qui lui semblait réalisable uniquement par ce que Giratina, emporté par une chose noire, fonçait sur lui. La chose en question semblait déployer comme des appendices pointus tout aussi noirs, dans sa direction. Ou plutôt dans celle du cristal, qui devait en fait être ce qui l'attirait ici.
M regarda le cristal. Puis, il hocha la tête. Il avança sa main gauche à travers les tiges qui reliaient les cylindres. Et toucha le cristal. Le contact ne lui procura rien d'autre qui léger frisson suivi d'un engourdissement dans le bras.

Il passa ses doigts autour du milieu du cristal, assurant sa prise.

La chose noire, propulsant Giratina dans sa forme aérienne, toutes pointes en avant, forcé à rester en position offensive par son parasite, était à la moitié de la cathédrale. Giratina et elle passaient entre les balanciers, qui par chance étaient alors à l’extrême de leur mouvement.

M sourit.

« Je ne suis plus un impuissant spectateur. »

Il désenclencha le cristal du cylindre inférieur. Un éclair énergétique bleuté passait de l'anneau qui avait maintenu le bas du translucide objet si longtemps au bas du cristal en question. M pivota le cristal en diagonal, pour en extirper sa partie haute.
Un grondement de plainte traversa tout les engrenages. La cathédrale eut un petit soubresaut, circulant comme une vague dans les énormes pièces mécaniques.
Et, tandis que Giratina et la chose fonçaient vers lui, les balanciers se détachèrent de leur axe. Tandis qu'un autre soubresaut traversait la cathédrale et soulevait une belle partie des engrenages de leur emplacement, les balanciers tombèrent sur Giratina. Tandis que certains engrenages se détachaient emporté par les frictions de leurs contacts avec d'autres, en ignorant toujours la gravité, Giratina fut libéré de la chose noire, propulsé vers le bas par le choc avec les balanciers, qui lui avait fait poussé un hurlement. Immédiatement, il reprit connaissance, et vit M, de là où il était.

M, avec le cristal dans la main gauche, regarda en direction de A. Puis, il fixa Giratina dans les yeux en criant son nom.

Giratina, à mi longueur de la cathédrale, se propulsa vers le haut.

M courrait vers l'avant du disque, sans freiner. Il bondit dans le vide, tandis qu'un engrenage s'écrasait derrière lui dans un cognement sourd qui résonna dans sa tête. Il vit un engrenage propulser le disque sur lequel était A loin de la porte. Le temps sembla arrêter de se dilater, et rejoindre la vitesse d'écoulement du reste du monde, tandis que son saut l’emportait dans la direction de Giratina, et que tout devenait un chaos visuel et auditif pour M.

Giratina se propulsa en avant, vers M.
Il joignit ses pointes en avant, pour ouvrir un portail. Il fonçait.
M vu le portail s'ouvrir. Giratina avançait encore, portail en avant pour tenter de faire passer M à l'intérieur.

Spoiler:

que dire... :mrgreen: ou ?

J'adore... Changement de point de vue... non, pardon... relativité. :mrgreen:
Marrant... j'ai pas l'impression que ça vienne de là mais ça m'a fait pensé à la discussion sur... les trous noirs.
Avec le fait que M voie A au ralenti...

Le temps ... la cathédrale d'engrenage... pourquoi ça ne m'étonne qu'à moitié ? :mrgreen:
Et pourquoi je trouve ça trop stylé !?

Et ce Cliffhanger.... rahalala... :mrgreen:
(en plus tu m'as appris un mot, là.)

ça me fait toujours autant d'effet ! :mrgreen:
D'autant plus que ça allie super-bien le mélange entre ma personnalité (qui fait que je plonge encore plus dans le perso de M), le lieu dont je connais des parcelles et... en même temps, le fait que M fasse des trucs stylés que je sais être incapable de faire...
C'est... comment dire... grisant !!
Comment expliquer ça...
En me plongeant encore plus dans le perso de M... je ... créée des liens (encore !! et toujours !!)
Cela créée une continuité des actions du personnages et du moi intérieur.
En conséquence, faire faire un truc stylé à mon perso (je sais, dire "mon" perso est très égoiste. Mais c'est par imprégnation que je parle... il faudrait changer tous les "M" en "Z" pour éviter ça...) c'est un peu me pousser à penser que... je peux faire un truc stylé.
Et le pire, c'est que dans cet état d'esprit... tu peux faire trébucher mon perso sur un cailloux... ça ne brisera pas le lien. ça ne fera même que le renforcer... :mrgreen:
C'est génial !! :mrgreen:

Merci !! Continue !!
(Je veux aussi voir ce que ça fait à Bac... et ce que devient A ! Et B... même si je ne sais pas dans combien de temps on saura ce qu'il devient... s'il fait du tricot...)

Yoendel a écrit:Marrant... j'ai pas l'impression que ça vienne de là mais ça m'a fait pensé à la discussion sur... les trous noirs.

Non, tout ce que tu vois là est prévu depuis longtemps…

Le temps ... la cathédrale d'engrenage... pourquoi ça ne m'étonne qu'à moitié ? :mrgreen:
Et pourquoi je trouve ça trop stylé !?

Tu comprends, quand je dis que je vis avec le fait de devoir retenir toutes ces idées merveilleuses dans ma tête depuis si longtemps ?! Je dois t'avouer que ce passage est l'une des perles qui me motive à écrire, et qui, cinématographiquement parlant, m’émerveillait le plus. :mrgreen:

ça me fait toujours autant d'effet ! :mrgreen:
D'autant plus que ça allie super-bien le mélange entre ma personnalité (qui fait que je plonge encore plus dans le perso de M), le lieu dont je connais des parcelles et... en même temps, le fait que M fasse des trucs stylés que je sais être incapable de faire...
C'est... comment dire... grisant !!

C'est fait pour :mrgreen:

En conséquence, faire faire un truc stylé à mon perso (je sais, dire "mon" perso est très égoiste. Mais c'est par imprégnation que je parle... il faudrait changer tous les "M" en "Z" pour éviter ça...) c'est un peu me pousser à penser que... je peux faire un truc stylé.

Mais c'est ton personnage :mrgreen:

Merci !! Continue !!

Oh, alors que j'envisageais de reprendre du début il y a peu, c'est encourageant d'entendre ça :mrgreen: Merci à toi de me lire.

(Je veux aussi voir ce que ça fait à Bac... et ce que devient A ! Et B... même si je ne sais pas dans combien de temps on saura ce qu'il devient... s'il fait du tricot...)

Pour A, il te suffira d'attendre le prochain chapitre, à moins que Giratina ne parvienne pas à te sauver. :mrgreen: (Ça c'est du Cliffhanger, quand même. Il est tellement puissant que je doute de son effet. :mrgreen: )

Yoendel a écrit:Marrant... j'ai pas l'impression que ça vienne de là mais ça m'a fait pensé à la discussion sur... les trous noirs.

Non, tout ce que tu vois là est prévu depuis longtemps…

C'est bien ce que je pensais.

Tu comprends, quand je dis que je vis avec le fait de devoir retenir toutes ces idées merveilleuses dans ma tête depuis si longtemps ?!

Oui, je comprends !! Difficile...

Mais c'est ton personnage :mrgreen:

:mrgreen: Je sais. Enfin. Je crois que je sais. Mais après j'ai des remords et je me sens égoïste, me disant que... les autres ne peuvent pas le lire et le ressentir comme moi...

Oh, alors que j'envisageais de reprendre du début il y a peu, c'est encourageant d'entendre ça :mrgreen: Merci à toi de me lire.

On peut continuer longtemps à se répandre en remerciements mutuels ... :mrgreen:

Yoendel a écrit:

Tu comprends, quand je dis que je vis avec le fait de devoir retenir toutes ces idées merveilleuses dans ma tête depuis si longtemps ?!

Oui, je comprends !! Difficile...

Mais c'est ton personnage :mrgreen:

:mrgreen: Je sais. Enfin. Je crois que je sais. Mais après j'ai des remords et je me sens égoïste, me disant que... les autres ne peuvent pas le lire et le ressentir comme moi...

Mh… C'est vrai. Mais il n'y a pas de raison de culpabiliser, vois ça comme un cadeau. Après tout, C n'a pas non plus votre chance, et pourtant il est dans le texte :mrgreen: (Le pire étant que j'ai sélectionné inconsciemment… Arf. — Gêné —)

Oh, alors que j'envisageais de reprendre du début il y a peu, c'est encourageant d'entendre ça :mrgreen: Merci à toi de me lire.

On peut continuer longtemps à se répandre en remerciements mutuels ... :mrgreen:

Non, par ce qu'il y aura un moment où je ne les penserais plus *sourire*

Mh… C'est vrai. Mais il n'y a pas de raison de culpabiliser, vois ça comme un cadeau.

:mrgreen: c'est là que c'est subtil. Je le vois déjà comme un cadeau.
Mais comme les cadeaux ont le don de me gêner...
J'ai le choix entre deux réactions en général : le déni (Tsundere jusqu'au bout... à taper si je vois un cadeau. ou... faute de taper... à ruminer) ou la papuche. Allez savoir ce que vous préférez... :mrgreen:

C'est donc un subtil mélange entre la gêne, la joie enfantine et la culpabilité.
Mélangez le tout dans un chaudron et vous obtiendrez ... euh... ben essayez.
Mais bon... je dis ça... chuis pas à plaindre. C'est marrant de ressentir des émotions contradictoires. :mrgreen:

Le pire étant que j'ai sélectionné inconsciemment… Arf. — Gêné —

:mrgreen: "y a pas à être gêné"... mais en fait, c'est marrant d'être gêné. Donc tu peux être gêné.

Non, par ce qu'il y aura un moment où je ne les penserais plus *sourire*

Ouf...

J'adore... Changement de point de vue... non, pardon... relativité. :mrgreen:
Avec le fait que M me voie au ralenti...

Le temps ... la cathédrale d'engrenage... pourquoi ça ne m'étonne qu'à moitié ? :mrgreen:
Et pourquoi je trouve ça trop stylé !? Razz

Et ce Cliffhanger.... rahalala... :mrgreen:
(en plus tu m'as appris un mot, là.)

(C'est un simple copier/collé de ce qu'a dit Yo, mais j'ai du mal à voir quoi dire de plus ... :mrgreen:

Ou alors ... À quand la suite !?!?!?!? :mrgreen:

:mrgreen: Me disais bien que j'avais déjà lu ça quelque part...

Bacrima a écrit:Ou alors ... À quand la suite !?!?!?!? :mrgreen:

Dans moins longtemps… Normalement. :mrgreen:

Normalement ...

Normalement.

C'est bien le mot.