Notes a vous même

Que veux tu dire, Yoendel ?

Je ne poignarde pas mes amis (Normalement. De toute façon, j'aime pas les armes. Et surtout les tranchantes. Et surtout quand c'est pas moi qui les tient.)

(Sauf quand c'est stylé.)

(Notez comme ceci est une référence à un truc que vous n'êtes pas près de lire.)

Oh, rassure toi, moi non plus...
Mais "les mots sont des fenêtres, ou bien ce sont des murs..."
Ce à quoi je rajouterais qu'ils peuvent être des poignards...

Et je ne vois toujours pas ce que tu voulais dire. :mrgreen:

Ok. Je disais juste que la violence verbale, ça se fait aussi quand on est persuadé (et surtout, en fait) de ne pas en faire...
:mrgreen:
Si tu n'as pas compris que je parlais de ça, alors pars du principe que moi non plus.
Après tout, je ne peux pas prétendre comprendre ce dont je parles. c'est sans doute ça, le pire...

On m'avait souvent dit que j'étais paradoxal.

Là, par contre, je suis battu.

:mrgreen:

:mrgreen:
I love paradoxs.

C'est tout moi, ça...

Je vous jure que l'Intranisation progresse !

Du moins, je fais des efforts pour que ce soit le cas… :mrgreen:

C'est dur. Par ce que c'est confus. Tout est tellement spontané, et tellement incohérent dans sa spontanéité…

J'ai l'impression d'écrire le scénario de Code Lyoko. « Et là, Jéremie dit qu'en fait, c'est les codes sources qui ont fait revenir Xana ! » ([/troll])

C'est aussi terriblement bord*lique. Et relativement compliqué à écrire. J'imagine que je vais écrire comme ça jusqu'à jusqu'à avoir la fin du chapitre, et que ensuite je ferais des arrangements de perfectionniste, qui rendront la chose lisible.

Sauf que… Le chapitre fait déjà 4450 mots. Et il doit manquer des détails un peu partout. Et il n'est pas fini (bientôt, juste le temps que… Spoil.)

Là suite se clarifie, loin devant… C'est encore une fois très drôle ; par ce que l'Intranisation en est à sa partie 6, niveau imagination (j'ai envie de mettre un 7), et que là, on est plus ou moins dans la seconde partie.

Comprenez par là que vous avez un sacré retard, par ce que je suis trop dispersé :mrgreen:

Enfin, c'est suffisamment épique pour que je m'attarde dessus avec joie (enfin, au final, je serais heureux).