Géographie de la pensée
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Intranisation : Chapitre 12: Zenith

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Message  Klev 09.09.13 1:50

Le soleil, au zénith, brillait…

…« Depuis quand… Big-ben est à Lyon ?! »…

…la tour et son horloge, à une bonne distance. Il n'arriva toutefois pas à lire l'heure…

…le soleil… Toujours au zénith.


C'était une fatalité. La gravité faisait son œuvre.

La voiture, retournée, et en plein vol, comme au ralenti, tombait inéluctablement sur le dos vers l'herbe.

Quelques instants plus tard, B sentit le choc du sol bétonné contre le bas de la voiture, et il s’évanouit.



Il dut se passer quelques secondes, quelques minutes avant que B ne se réveille. Il n'en avait pas une idée précise. La première chose qu'il vit, ce fut l'intérieure du toit du véhicule. Sa tête était appuyée sur le dossier de la banquette arrière. B avait la vague impression d'avoir entendu quelqu'un se débattre il y a peu. Il n'aurait pas su dire qui. Il redressa la tête pour regarder l'avant du véhicule. Les deux portes, côté passager comme côté conducteur, étaient ouvertes. Personne n'était assis sur les sièges arrières à part lui. À travers le pare-brise, le bleu du ciel semblait plus gris. Et B entendit M crier quelque chose, dehors.
La porte à la gauche de B était ouverte. Il sortit du véhicule, prudemment, sans trop de difficultés.
Une dizaine d'hommes en noir étaient là. Sans doute les conducteurs des véhicules noirs.
B remarqua alors que l'un d'eux traînait M par le col, sur le sol, pour l'emmener en direction de l'un des véhicules, visiblement. Ça semblait n'augurer rien de bon. L'homme en noir n'accordait aucun regard pour celui qu'il traînait. M essayait de se débattre un peu, mais l'homme n'en avait rien à faire.
Un peu plus loin, par terre, sur le côté arrière gauche d'un véhicule noir, A était couché sur son bras droit, la tempe tenue en joue par un pistolet couleur étain, tenu lui-même fermement par un homme en noir. A était conscient. Et il était aussi énervé. En baissant un peu la tête en direction de la voiture que lui, M, et B avaient utilisé juste avant, il vit que B était sorti de celle-ci et se tenait devant la porte arrière gauche en asseyant de comprendre la scène. Comme A avait dû bouger la tête pour voir B, l'homme en noir appuya un peu plus fort le canon du pistolet contre sa tempe. A ne broncha pas.
A pouvait voir la voiture vers laquelle M était emmené aussi bien qu'il pouvait voir M se faire traîner par terre, d'autant que la distance entre les deux n'était plus très grande. L'homme qui traînait M jusqu'à la voiture noire souleva celui-ci du sol pour le jeter sur le capot du véhicule. M cria.
A se demanda ce qu'ils pouvaient faire. Tenu en joue ainsi, lui ne pouvait de toute façon rien.
« Vous n'avez pas le droit de faire ça ! », se risqua-t-il à crier. L'homme en noir qui avait amené M sur le capot ne se retourna même pas. Et celui qui tenait une arme contre la tempe de A lui jeta un regard amusé qui nuançait son aspect froid et professionnel. A s'en aperçu, et regarda ailleurs, avant de renvoyer un regard inquiet sur M.
M était dépassé. Sauter sur des engrenages, c'était une chose. Mais se faire malmener ainsi, il ne l'avait pas prévu une seule seconde. L'homme en noir semblait vouloir faire quelque chose de précis. Et lui, il n'arriverait pas à se libérer sans aide extérieure.
B, à distance, ne comprenait pas. « Pourquoi les forces de l'ordre se montraient si agressives ? » pensa-t-il, quelque peu déboussolé.
L'homme en noir approcha ses mains du cou de M. Ce dernier cria en comprenant ce que son agresseur avait prévu. Il commença à se débattre.
A cria également, comprenant immédiatement, et essaya de se dégager pour aider son ami. L'homme en noir qui le tenait en joue l'immobilisa avec une clé de bras sans cesser de menacer sa tempe, lui cognant l'arrière de la tête contre le côté de la voiture noire.
B, de là où il était, ne voyait que le dos de l'homme contre lequel M lutait, mais vu la position des bras de l'homme en noir, il n'y avait qu'une seule conclusion possible.
« Vous ne pouvez pas faire ça ! », cria-t-il. Il se mit à courir en direction de M et de l'homme qui l'agressait.
Un homme en noir se mit en travers de son chemin. Il lui saisit fermement le bras, sans s'arrêter de marcher.
« Ça ne te regarde pas », dit-il d'une voix monocorde tout en tirant B vers l'endroit d'où il était parti. Il le ramena au niveau du coffre de la voiture et le lâcha en repartant vers son poste précédent.
A regardait la scène qui se déroulait sous ses yeux d'un air horrifié. M n'allait plus pouvoir faire garder leurs distances aux mains de l'homme en noir très longtemps…
Et quelques secondes plus tard, deux mains commencèrent à exercer une pression meurtrière sur une trachée, tandis qu'après un petit temps de pause, M redoublait de violence dans ses coups.
B, toujours en retrait, de là où il était, regardait autour de lui pour voir ce qu'il pouvait faire.
Au loin, une cloche sonna une fois. Le son sortait des profondeurs de l'horloge de Big-Ben.
B vit une petite chose sombre dans la périphérie de sa vision, au sol, sur sa droite, derrière la voiture qui les avaient amenés jusqu'ici.
Un chat. Qui plongeait son regard au plus profond de ses yeux. Ça avait quelque chose d'hypnotique.
Le chat noir fixait intensément son regard, comme pour lui dire quelque chose. « Ce chat ? Qui était ce chat ? », se demandait B.
« L'Intranisation ? » songea t-il sans savoir quel sens avait ce mot.
Puis, B vit des images lui venir en tête, tels des flashs, sans pouvoir les retenir.
Et il eu une sorte de déclic.
La cloche sonna à nouveau.



Un homme fait d'ombre avec un sceau aux cercles concentriques à la place du visage combattant avec B.



La cloche réitéra. M se débattait de toutes ses forces. A hurla : « Pourquoi ?! »



Un gros dragon gris avec des excroissances dorées, chutant.



La cloche marqua un nouveau coup. M sentait déjà ses forces faiblir doucement.



Des cubes métallisés, bleutés, du sol jusqu'au ciel. Des plaines à perte de vue, des îles volantes.



La cloche sonna encore. A remarqua qu'il pouvait voir B dans le rétroviseur. Celui ci semblait en dehors de la situation, perdu dans quelque chose. « Pourquoi ? Pourquoi-ne vient-il pas nous aider ?, hurla t-il à lui même. C'est évident, pourtant, ce monde est bien irréel ! »



Une masse noire gigantesque, repoussante et effrayante, étendue partout.



La cloche sonnait encore. A désespérait. « Pourquoi… »



A et M devant une porte de pierre grise ornée de lignes et d'une pierre bleutée.



La cloche sonna une autre fois. M désespérait lui aussi, essayant de maintenir une cohérence dans ses faibles coups.



Un empire futuriste, aux immeubles effilés, détruit, brisé.



La cloche sonna à nouveau. A sentait quelque chose commençant à peser sur lui, ou en lui. Quelque chose de massif. Il se sentait lui aussi faiblir. Qu'est ce qui lui arrivait ?



M, A, dans une cathédrale couleur cuivre qui semblait constituée d'engrenages.



La cloche sonna encore. A réfléchissait, étourdi. Était-ce l'esprit de M, qui, vu que sa projection tendait à faiblir, cherchait à la rejoindre, et s'approchait dangereusement de celui de A ?



Encore le gros dragon gris, doré, aux pointes rouges, au sol, hurlant avec agressivité, et semblant glisser, comme si tout penchait.



La cloche sonna. M sentait le fil de sa pensée lui échapper.



La chose noire filandreuse et effrayante, recouvrant quelqu'un.



La cloche sonna un autre coup. A était désespéré. « Je me suis trompé ? Si M meurt, on meurt tous ? »



Une grande sphère armillaire de pierre, tournoyant, semblant briller en son centre.


À un autre moment, M levant son bras pour faire se toucher un cristal bleuté et le cœur rosâtre de la sphère armillaire de pierre, figée.


L'homme fait d'ombre et avec un sceau à la place du visage, jetant une boule rougeâtre semblant formée d’énergie sur A. Le même homme d'ombre touchant la sphère rosâtre.




La cloche sonna une fois encore. Le silence pesait. A se sentait glisser.



Et un œil gigantesque, loin, mais directement au-dessus de lui. Comme s’il n'avait qu'à lever la tête pour le voir.


B ouvrit les yeux. Il était de nouveau debout sur l'autoroute, la main droite et les yeux levés vers le soleil, toujours au zénith.
Il mit sa main devant ses yeux pour ne pas être ébloui et baissa la tête. Où était passé le chat ?
« Le soleil ? » se mit-il à penser.
Il regarda à nouveau le soleil.
La cloche sonna une fois de plus.
A, qui n'avait plus la force de bouger, remarqua qu'il pouvait voir B depuis le rétroviseur en face de lui. Il vit celui-ci lever un bras en direction du ciel. Il ne comprenait pas.
M sentait ses forces s'évanouir.
A se sentait aussi partir. Mais ses yeux restaient sur le rétroviseur.
B avait toujours la main et les yeux dirigés vers le soleil. Toujours au zénith.
Laissant sa main en direction du ciel, il baissa les yeux puis dirigea lentement son autre main en direction de M et de son agresseur.
La pression sur la trachée disparut. Les mains de l'homme en noir semblaient ne plus avoir de consistance. Celui-ci sembla en être surpris.
M respirait.
L'homme en noir se retourna vers B, puis les autres également.
A retrouvait ses esprits.
B regarda à nouveau en direction du soleil. Puis, il en détacha la main. Il la regarda une seconde, admirant comme il y a si longtemps les merveilles qu'avaient fait la génétique. Puis, il balaya des yeux la scène devant lui, et, dans un rictus, abattit son poing droit sur le sol. Une onde de choc née entre le poing et le béton fit onduler ce dernier comme l'aurait fait un galet dans une mare d'eau.
Plus loin de là, le cadran de l'horloge de Big-Ben explosa vers l'avant dans un fracas grinçant, des éclairs bleutés passant entre ses engrenages cuivrés tandis que ces derniers s’avançaient comme au ralenti, propulsés chaotiquement et à l’horizontal au-dessus du vide, accompagné par les éclats du cadran, semblant portés par un flux vers l'avant.
Le poing était toujours en contact avec le sol. Mais les hommes en noir n'étaient plus. L'autoroute se fissurait, le sol s'uniformisait pour devenir béton en s'étendant autour de l'épicentre, là où B se situait. Les voitures n'étaient plus non plus.
A se releva. M essaya aussi, tant bien que mal.
Le soleil était haut dans le ciel. Toujours au zénith.
B releva son poing, et l'ouvrit de nouveau en direction du soleil, sans poser ses yeux ni sur A ni sur M.
Le sol se craquela un peu autour de lui.
Au loin, les buildings commencèrent à se désagréger par le haut, les morceaux partant tous dans la même direction, vers la droite, semblant tournoyer autour de B malgré la distance.
Un sourire commençait à apparaître sur le visage de B. Le soleil, qu'il ne quittait pas des yeux, semblait se rapprocher.
M essayait de reprendre le fil des événements. Il secoua la tête, tandis qu'il se relevait.
Le soleil était plus près. Il n'avait plus rien d'aveuglant. Il était comme une immense sphère blanche brillante.
Les craquelures du sol autour de B commençaient à laisser léviter des petits morceaux du sol lui-même, qui partaient en rotation autour de B dans le sens inverse de la rotation qu'effectuait les débris d'une partie de la ville, au loin.
Les buildings à l'horizon n'étaient plus. Derrière, le ciel bleu cédait à un blanc vide qui rappelait le néant.
Et le soleil s'approchait de plus en plus.
Et le monde partait en morceaux, tournant de plus en plus vite dans une danse folle, dans le sens des aiguilles d'une montre au loin, et, proche de B, dans le sens inverse. Entre les deux, les mouvements étaient chaotiques.
M et A voyaient le décor commencer à tourner en partant en morceaux de plus en plus prés d'eux. Ils regardèrent B d'un air confiant, semblant croire en l'idée que celui-ci allait les voir et arrêter tout ça.
Mais B n’arrêtait pas, le bras toujours levé. Et le soleil était de plus en plus près. Et B semblait ne vouloir que le toucher. Et le sol tournoyait, et les débris volaient, passant à travers A et M comme si ils étaient en partie immatériels. Ils en ressentaient une certaine confusion, comme si chaque débris les balayait un peu.
Et le soleil descendait. Et les débris les balayaient. M cria : « Eh ! B ! »
Mais B n'entendait pas. Le soleil était toujours plus près. Entre la main levée et le soleil, la distance n'était que d'un bras.
Et le sol sous leurs pieds tournait. Et le blanc du néant semblait virer au gris. Et le sol n'était déjà plus, parti en débris.
Et le monde tournait, tournait, dansant sans s'arrêter, de plus en plus vite, de plus en plus fort, l'intérieur dans un sens, l'extérieur dans l'autre.
La folle rotation ne cesserait pas.
Le monde était en débris.
Le soleil était à quelques doigts de l'index.
Les bras croisés pour protéger son visage, A cria.
Le soleil était là. Si près.
M cria également.
Le soleil…
A hurla le nom de B.
Le monde freina sa rotation au moment où B tourna la tête en direction de A.
B sembla le reconnaître, puis il vit également M. Il sourit. Le monde s'arrêta complètement.



Et tout devint progressivement blanc. Trop lumineux. M et A durent fermer les yeux…







——————————————————







Épilogue


Il y eut un bip.

Puis un autre bip.

Tout ça semblait étrangement lointain… Comme irréel.

B reprit conscience avec un quatrième bip. Il ouvrit les yeux, au milieu d'une pièce blanche. Une pièce dans laquelle il n'était pas seul. Il était couché à l’horizontal. Et il eut besoin d'un peu de temps pour reconnaître les voix qu'il entendait.

« …Tout de même… Quel spectacle… » dit une voix semblable à celle de A.
La pièce était une chambre d'hopital, avec une fenêtre sur sa gauche, au volet grand ouvert sur un ciel sans nuages, et n'était pas au rez de chaussé.

« … Mh… » répondit M, dont la voix semblait indiquer qu'il était dans ses pensées.

B vit que C était aussi présent dans la chambre, mais qu'il ne disait rien.

Soudain, ils remarquèrent que B avait les yeux ouverts.

Il y eut des cris de joie, quelques échanges fébriles.

On redressa le dossier du lit de B, qui souriait, lui aussi semblant en partie absorbé par quelques pensées confuses.

Il regarda à travers la fenêtre. Le bleu du ciel était comme vide.

B chercha le soleil des yeux.

Une chose occupait ses pensées.

« Ça va ? » demanda A, inquiet par l'air absent de B, qui fixait loin à travers la fenêtre depuis un certain temps.

B mit du temps à répondre. « … Je dois vérifier quelque chose. »

Il prit appui sur son lit pour se mettre assis, et se leva. Il tituba un peu mais ne tomba pas.

A se mit devant lui pour lui dire de se recoucher, il le contourna.

Il ouvrit la porte, avec l’espèce de chemise blanche-verte d’hôpital comme seul vêtement.

Il avança en ligne droite, dans le couloir.

Jusqu'à l’ascenseur. A et M marchaient loin derrière lui, comme pour le suivre, perdus.

L'ascenseur était là. Il ouvrit la porte, appuya sur le bouton rez-de-chaussée et s'arrêta au milieu de l’ascenseur, en fixant son sol. Les portes se fermèrent devant M et A, et l'ascenseur commença à descendre.

B ne savait quoi penser.

Les portes s'ouvrirent sur un hall. Plusieurs mètres devant lui, il y avait un plafond dont une partie était en verre et donnait sur le ciel. Et plus encore au loin devant lui, il y avait une porte à ouverture automatique.

Il marcha vers la porte, et dépassa le comptoir d’accueil auquel personne n'attendait.

Il leva la tête, presque fébrile, et vit à travers les bandes de verre espacées régulièrement du plafond le soleil filtrer selon un rythme presque musical, au fur et à mesure qu'il avançait, et que sa chemise noire, ouverte, flottait avec lui.

Il marchait. Encore. Le rythme verre-plafond augmenta en rapidité tandis qu'il marchait plus vite, donnant l'impression que le soleil pulsait régulièrement à chaque fois qu'il réapparaissait de derrière le plafond. Et la porte s'ouvrit…

…Sur trois marches d'escalier qui donnaient sur une immense étendue grise, couleur béton.

Il levait déjà les yeux.

Le soleil, au zénith…

Le soleil brillait, aveuglant. Il passa un bras devant ses yeux, mais continuait de le fixer partiellement. Ébahi.

Il regarda l'étendue grise devant lui.

M, A, et quelques autres personnages l'attendaient déjà, non loin, devant lui, l'air serein.

B ouvrit la bouche, n'en revenant pas. Il fit quelques pas vers eux.

Des larmes coulaient sur ses joues. Échanges de sourires.

Accolade entre A et B, puis B et M.

B se retourna pour regarder l’hôpital. Xénodarkus attendait, installée de façon presque nonchalante sur le rebord de toit qui couvrait les trois marches qui étaient devant la porte.

B lui sourit.

Ensuite il leva les yeux. Et cligna en regardant le soleil.

Puis… Il baissa la tête pour regarder sa main. Et redirigea son regard vers l'astre.

Il leva une main vers le soleil…






Et le soleil pulsa.






_

Klev
Admin

Emploi/Loisirs : Administrateur en torpeur.

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Message  Bacrima 09.09.13 11:58

Shocked 
Ha ouai, quand même ....



WHAOU !!!!!!!!!!!!! :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: 
Bacrima
Bacrima

Humeur : Une pointe de joie et un soupçon d'amusement
Localisation : Dans ma chambre, rarement ailleur ...
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Message  Yoendel 09.09.13 13:00

:mrgreen: 

évidemment. Une fin qui... comme toutes les fins... n'est qu'un début. *rire*

Ce qui me rappelle que j'ai des persos à réveiller... *sifflote en tentant subrepticement de se frapper le crâne contre le mur lorsque personne ne le regarde*


Au fait...
*frétillant de curiosité* ...Fréquence de pulsation solaire ? environ 1 hertz ? (ou 60 battements par minute, pour les néophytes)
Yoendel
Yoendel

Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie

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Message  Klev 09.09.13 14:26

Yoendel a écrit::mrgreen: 

évidemment. Une fin qui... comme toutes les fins... n'est qu'un début. *rire*

Ce qui me rappelle que j'ai des persos à réveiller... *sifflote en tentant subrepticement de se frapper le crâne contre le mur lorsque personne ne le regarde*


Au fait...
*frétillant de curiosité* ...Fréquence de pulsation solaire ? environ 1 hertz ? (ou 60 battements par minute, pour les néophytes)
Bacrima a écrit:Shocked
Ha ouai, quand même ....



WHAOU !!!!!!!!!!!!! :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:
… Je… suis touché que ça te fasse cet effet. Je profite peu de mes textes, et j'ai du mal à réussir à faire quelque chose de parfait à mes yeux. (Celui là ne l'est pas, j'ai cessé de m'en demander tant.)

*sourit*

Klev
Admin

Emploi/Loisirs : Administrateur en torpeur.

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