musicologie et musicophilie.
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musicologie et musicophilie.
Bon, j'explique le contexte en deux phrase : j'ai passé la fin de ma journée à écouter des musiques. OST variant de Dango daikazoku (Clannad) à Uninstall, en passant par Ryuuju no dengon (Kiki la petite sorcière) et le chemin du vent (mon voisin Totoro).
A réécouter pour la n-ème (avec n-> +infini) fois l'apprenti sorcier de Paul Dukas, et Pie Jesu de J. Rutter, la danse de l'ours de Bartók, j'en passe et des meilleurs...
Donc un agréable moment en somme, mais aussi beaucoup de souvenirs qui ressurgissent...
Je ne sais pas par où commencer...
hum... à la réflexion, musicologie d'abord.
C'est un outil puissant, plus connu sous le nom tant haï de solfège, ou d'analyse musicale plus précisément, dont je vais parler.
Un dangereux outil...
Mais qui a ses avantages.
Que fait-on en analyse musicale ?
On décortique. Les musiques deviennent des alignements de notes, de rythmes et d'accords.
Exemple : Prenons la chanson de Gainsbourg, "comme un boomerang".
que chante-t-il ?
TOUT CA POUR QUOI ?
Pour montrer que les règles de l'analyse sont multiples (là y a pas tout !! J'ai juste mis ce qu'il faut pour que quelqu'un déchiffre, pas les méthodes par lesquelles j'ai réussi ce résumé (analyse des accords, calcul des altérations pour obtenir la tonalité, ...))
Mais surtout pour montrer la puissance de l'outil.
Avec ça, beaucoup de schémas classiques ressortent, utilisés dans pleins de styles musicaux différents, blue, classique, contemporaine, chanson française...
Avec ça, donc, et un peu de pratique, on invente tout. On s'adapte facilement en groupe si les partitions ne sont pas dans la même tonalité ou si notre voix ne peut pas suivre, on construit des bases pour avoir des improvisations qui ne sonnent pas fausses, et pour inventer les secondes voix, etc...
Bref, sans être virtuose, on se débrouille, quoi.
Avec ça, c'est comme en français. On sait argumenter une musique. Voir où ça ne colle pas, là ou le profane ne peut que dire "ça sonne faux" ou "j'aime pas".
On sait rattraper les erreurs aussi, comme une maitrise de l'orthographe et de la grammaire peuvent vous aider en français.
On sait mettre des mots sur les éléments qui traduisent une émotion, connaissant les effets de chaque élément séparé sur le tout.
On sait être crédible lorsqu'on affirme qu'une musique est originale...
Et pourtant...
Avec ça...
-Avec ça... on sait détruire une musique, l'anéantir, la descendre en la menant à la mort musicale...
Je pourrais dire de la chanson de Gainsbourg qu'elle n'est "QUE" le résumé sus-cité.
Avec ça, aucune de vos musiques, même vos préférées, ne sont à l'abri du désastre. Les miennes non plus.
C'est un outil puissant... mais aussi une arme.
-Avec ça, nous sommes les meilleurs imposteurs, les contrebandiers et les contrefacteurs de la musique :
Un plagiat ne se verra même pas, s'il est bien fait !! Il suffit d'appliquer quelques schémas et le monde est en extase devant votre chef-d'oeuvre...
- avec ça enfin, il arrive tel un parasite que tout passe par l'analyse, auquel cas on peut ne plus arriver à apprécier une musique, on se met à l'analyser et en relever les mécanismes, comme un artiste qui se mettrait à chercher le nombre d'or partout...
Je tiens à revenir sur le premier élément négatif.
Cette faculté de destruction, c'est exactement la même que j'ai lue dans certaines critiques de films, d'animes, de livres.
On décompose un anime en musiques, et chara design, histoire, décors, profondeur des persos...
Certes, c'est plus facile pour détailler ce qui a plu ou déplu.
Cependant, le danger demeure dans l'abus de cette décortication :
On peut réduire chaque élément séparé à des clichés, et conclure qu'il s'agit d'un tas de clichés et le mettre à la poubelle.
Ou le voir comme une façon de transcender en utilisant des éléments classiques de façon nouvelle ou inattendue. Le mode blasé "je l'avais vu venir, rien d'original" est très réducteur...
Ils oublient non pas d'être objectifs (difficile pour critiquer quelque chose basé sur l'affect et motivé par ça) mais de relativiser, car ce qui pour eux est négatif et méprisable est pour d'autres positifs...
J'ai en mains les outils suffisant pour détruire chaque musique.
Je ne le fais pas.
Pourtant, mon orgueil, qui a la fâcheuse tendance à éveiller ma colère lorsque d'autres courent à leur perte par leur propre orgueil, me donne parfois envie de détruire pour montrer aux autres à quel point ils sont blessants, et fermés. de détruire la musiques, de détruire leurs critiques.
Je l'ai fait, et j'ai failli être aussi destructeur que celui dont j'ai critiqué la critique.
Rattrapé de justesse sur la fin, et par orgueil de ne pas vouloir tomber dans le même travers plus que par humilité et prise de conscience...
Bon... fin de parenthèse, ça fait du bien d'avoir pu mettre des mots sur le danger majeur de la musicologie, comme de toute puissance...
Voilà pour l'instant :
Prochaine étape, (plus positive !!) au contraire moins basée sur la connaissance mais plus sur l'affect, citer les musiques qui m'ont marqué et ému.
Si vous avez des questions sur l'analyse musicale, ou que vous voulez disserter, nuancer, ou même prendre de l'avance en mettant déjà vos musiques qui vous ont marqué, n'hésitez pas !!
A réécouter pour la n-ème (avec n-> +infini) fois l'apprenti sorcier de Paul Dukas, et Pie Jesu de J. Rutter, la danse de l'ours de Bartók, j'en passe et des meilleurs...
Donc un agréable moment en somme, mais aussi beaucoup de souvenirs qui ressurgissent...
Je ne sais pas par où commencer...
hum... à la réflexion, musicologie d'abord.
C'est un outil puissant, plus connu sous le nom tant haï de solfège, ou d'analyse musicale plus précisément, dont je vais parler.
Un dangereux outil...
Mais qui a ses avantages.
Que fait-on en analyse musicale ?
On décortique. Les musiques deviennent des alignements de notes, de rythmes et d'accords.
Exemple : Prenons la chanson de Gainsbourg, "comme un boomerang".
que chante-t-il ?
- Spoiler:
- Prenez comme note de base un sol. Construisez la (une, en fait) gamme mineure associée, vous avez votre "saladier" par analogie à la cuisine.
voilà la gamme : sol, la, b-si, do, ré, b-mi, fa, sol. Sauf en cas d'altération et de fioritures musicales, ce sont celles les plus utilisées...
Ensuite, le rythme : en 8 croches par mesures, suivant le schéma 3-3-2. (dites à haute voix 1-2-3-1-2-3-1-2 en répétant, claquez des doigts à chaque "1". Dès que vous maîtrisez un peu, faites le un peu plus rapidement... )
Après, l'harmonie : c'est un cadence plagale. Donc consiste à revenir doucement à la note de départ, ici le sol.
Pour ce faire, la musique ici est simple : elle fait en tout 5 accords :
l'accord de sol (retourné) : b-si, ré, sol.
l'accord de b-si : b-si, ré, fa.
l'accord de do (retourné) : sol, mi, do.
l'accord de b-mi (retourné) : b-mi, si, sol.
l'accord de sol : Sol, b-si, ré.
l'accord de Ré (retourné) : ré, la, #fa.
et retour sur le sol !!
Si vous voulez écouter, chantez seulement les notes sol, B-si, do, b-mi, ré, sol par dessus le chanteur (à raison d'une note par accord joué par les instruments, pas en allant aussi vite que Gainsbourg !! Vous faites partie de l'accompagement !! )
ça colle !!
Je vous laisse de quoi vous amuser à essayer :
http://www.virtualpiano.net/
https://www.youtube.com/watch?v=rWWt9C0_rSo
Maintenant, en exclusivité, un classique important de l'analyse musicale... :cheers:
Reprenez la gamme que j'ai citée : celle de sol :
à chaque note, on va associer un numéro écrit en chiffre romain:
sol=I ou VIII (pour l'aigu)
la =II
b-si=III
do = IV
ré = V
b-mi = VI
fa = VII
rechantons alors ce que l'on a vu avant, en pensant aux chiffres à la place des accords :
VIII
III
IV
VI
I
V
I
Ce qui est coloré en orange, c'est la cadence, dite plagale.
Car en musique, les notes les plus importantes de la gamme sont la tonique I, la dominante V et la sous dominante IV.
Moins importantes : la III et la VI.
rarement utilisées : la II et la VII. Elles sont trop proche de la I, donc servent pour créer des "tensions" musicales.
Donc faites l'enchainement I V I sur un piano (jouez juste, sans faire d'accord, sol-ré-sol, ça donne une bonne idée...)
Que dire de plus sur cet exemple ? Il manque le dernier élément : la mélodie.
Eh ouais... sans ça, c'est pas le même chant !!
Là, Gainsbourg chante en arpège les notes dont on a parlé !!
Mais lui, il les fait toutes, toutes celles de chaque accord !!
ce qui donne :
(sol) : sol ré si sol ré si sol,
(b-si) : fa ré si fa ré si fa,
(do) : b-mi do sol b-mi do sol b-mi,
(b-mi) : b-mi b-si sol b-mi b-si sol b-mi,
(sol) : ré si sol ré si sol ré,
(ré) : ré la #fa ré la #fa ré,
(sol) : soooooooooool !!
Voilà !! Plus qu'à avoir la voix de Serge, et c'est gagné !! ^^
Puis mettre les paroles...
Bien sûr, là j'ai détaillé !!
en résumé (pour les connaisseurs) :
Sol mineur mélodique descendant. (gamme)
que des croches sauf les deux dernières de la mesure liées, en 8 8, (rythme) avec blanche = environ 60 (tempo)
Mélodie :
accords arpégés descendants successifs de I, III, IV, VI, I, V, I, respectivement en retournements 6/3, 6/4, 6/4, 6/3, 5/3, 6/3, juste la tonique pour le dernier accord, sur une ronde. Puis, une pause. (def : pause= silence durée d'une ronde).
Avec juste ce résumé, un musicien vous chante l'air parfaitement juste sur "lalala" ou "badouba"...
TOUT CA POUR QUOI ?
Pour montrer que les règles de l'analyse sont multiples (là y a pas tout !! J'ai juste mis ce qu'il faut pour que quelqu'un déchiffre, pas les méthodes par lesquelles j'ai réussi ce résumé (analyse des accords, calcul des altérations pour obtenir la tonalité, ...))
Mais surtout pour montrer la puissance de l'outil.
Avec ça, beaucoup de schémas classiques ressortent, utilisés dans pleins de styles musicaux différents, blue, classique, contemporaine, chanson française...
Avec ça, donc, et un peu de pratique, on invente tout. On s'adapte facilement en groupe si les partitions ne sont pas dans la même tonalité ou si notre voix ne peut pas suivre, on construit des bases pour avoir des improvisations qui ne sonnent pas fausses, et pour inventer les secondes voix, etc...
Bref, sans être virtuose, on se débrouille, quoi.
Avec ça, c'est comme en français. On sait argumenter une musique. Voir où ça ne colle pas, là ou le profane ne peut que dire "ça sonne faux" ou "j'aime pas".
On sait rattraper les erreurs aussi, comme une maitrise de l'orthographe et de la grammaire peuvent vous aider en français.
On sait mettre des mots sur les éléments qui traduisent une émotion, connaissant les effets de chaque élément séparé sur le tout.
On sait être crédible lorsqu'on affirme qu'une musique est originale...
Et pourtant...
Avec ça...
-Avec ça... on sait détruire une musique, l'anéantir, la descendre en la menant à la mort musicale...
Je pourrais dire de la chanson de Gainsbourg qu'elle n'est "QUE" le résumé sus-cité.
Avec ça, aucune de vos musiques, même vos préférées, ne sont à l'abri du désastre. Les miennes non plus.
C'est un outil puissant... mais aussi une arme.
-Avec ça, nous sommes les meilleurs imposteurs, les contrebandiers et les contrefacteurs de la musique :
Un plagiat ne se verra même pas, s'il est bien fait !! Il suffit d'appliquer quelques schémas et le monde est en extase devant votre chef-d'oeuvre...
- avec ça enfin, il arrive tel un parasite que tout passe par l'analyse, auquel cas on peut ne plus arriver à apprécier une musique, on se met à l'analyser et en relever les mécanismes, comme un artiste qui se mettrait à chercher le nombre d'or partout...
Je tiens à revenir sur le premier élément négatif.
Cette faculté de destruction, c'est exactement la même que j'ai lue dans certaines critiques de films, d'animes, de livres.
On décompose un anime en musiques, et chara design, histoire, décors, profondeur des persos...
Certes, c'est plus facile pour détailler ce qui a plu ou déplu.
Cependant, le danger demeure dans l'abus de cette décortication :
On peut réduire chaque élément séparé à des clichés, et conclure qu'il s'agit d'un tas de clichés et le mettre à la poubelle.
Ou le voir comme une façon de transcender en utilisant des éléments classiques de façon nouvelle ou inattendue. Le mode blasé "je l'avais vu venir, rien d'original" est très réducteur...
Ils oublient non pas d'être objectifs (difficile pour critiquer quelque chose basé sur l'affect et motivé par ça) mais de relativiser, car ce qui pour eux est négatif et méprisable est pour d'autres positifs...
J'ai en mains les outils suffisant pour détruire chaque musique.
Je ne le fais pas.
Pourtant, mon orgueil, qui a la fâcheuse tendance à éveiller ma colère lorsque d'autres courent à leur perte par leur propre orgueil, me donne parfois envie de détruire pour montrer aux autres à quel point ils sont blessants, et fermés. de détruire la musiques, de détruire leurs critiques.
Je l'ai fait, et j'ai failli être aussi destructeur que celui dont j'ai critiqué la critique.
Rattrapé de justesse sur la fin, et par orgueil de ne pas vouloir tomber dans le même travers plus que par humilité et prise de conscience...
Bon... fin de parenthèse, ça fait du bien d'avoir pu mettre des mots sur le danger majeur de la musicologie, comme de toute puissance...
Voilà pour l'instant :
Prochaine étape, (plus positive !!) au contraire moins basée sur la connaissance mais plus sur l'affect, citer les musiques qui m'ont marqué et ému.
Si vous avez des questions sur l'analyse musicale, ou que vous voulez disserter, nuancer, ou même prendre de l'avance en mettant déjà vos musiques qui vous ont marqué, n'hésitez pas !!
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: musicologie et musicophilie.
Voilà ! Puisque j'ai relu pas mal de sujets ici (note : il me reste encore à relire les écrits de chacun, ayant relu les miens et à peu près toutes les autres sections. Je vais donc m'atteler à la relecture de l'Intramonde dans son entier pour continuer... :mrgreen: )
Je vais achever celui-ci.
J'avais dit que je citerai des musiques qui m'ont plu, et vraiment plu.
N'ayant pas toutes les musiques en tête, cela viendra par morceaux sans doute.
Mais le premier pas sera fait ce soir.
Premier morceau : Pie Jesu, de Rutter.
Puis... les Ceremony of carols, de Britten.
To be sung on the Water, de Barber.
Soon and very Soon. (gospel... et mon premier "solo" :mrgreen: )
(Jusque là, ce sont les chants que j'ai appris en Maïtrise )
Je vais achever celui-ci.
J'avais dit que je citerai des musiques qui m'ont plu, et vraiment plu.
N'ayant pas toutes les musiques en tête, cela viendra par morceaux sans doute.
Mais le premier pas sera fait ce soir.
Premier morceau : Pie Jesu, de Rutter.
Puis... les Ceremony of carols, de Britten.
To be sung on the Water, de Barber.
Soon and very Soon. (gospel... et mon premier "solo" :mrgreen: )
(Jusque là, ce sont les chants que j'ai appris en Maïtrise )
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: musicologie et musicophilie.
Peu de musiques ont été à mes yeux aussi magnifiques que la première…
La deuxième également… Est jolie… Vers le début, il y à eu quelque chose que je ne pouvais pas prévoir dans la musique, ce qui me déçoit toujours un peu… Mais dans la globalité, j'aime beaucoup également.
Trois… Foutu ralentissements sur Youtube…
Eh bien… Je sais pas si c'est des classiques, mais je découvre quelque chose à chaque vidéo… *rires*
Quatrième…
Quels jolis chœurs…
Le moins qu'on puisse dire, c'est que c'est épuré…
Tout ça ne manque pas de beauté… Comme quoi la musique à encore beaucoup à me montrer… *sourire*
Ravi que tu exposes tes musiques favorites ou marquantes ici… Je t'encourage à continuer !
La deuxième également… Est jolie… Vers le début, il y à eu quelque chose que je ne pouvais pas prévoir dans la musique, ce qui me déçoit toujours un peu… Mais dans la globalité, j'aime beaucoup également.
Trois… Foutu ralentissements sur Youtube…
Eh bien… Je sais pas si c'est des classiques, mais je découvre quelque chose à chaque vidéo… *rires*
Quatrième…
Quels jolis chœurs…
Le moins qu'on puisse dire, c'est que c'est épuré…
Tout ça ne manque pas de beauté… Comme quoi la musique à encore beaucoup à me montrer… *sourire*
Ravi que tu exposes tes musiques favorites ou marquantes ici… Je t'encourage à continuer !
Klev- Admin
- Emploi/Loisirs : Administrateur en torpeur.
Re: musicologie et musicophilie.
^^ Merci...
Par contre je dois dire que j'ai eu du mal à retrouver les musiques sur Youtube de façon aussi... jolie que je les avais entendues (lorsque notre chef de choeur nous les faisait écouter pour nous les présenter)
Donc certaines parmi les présentées ne sont pas vraiment celles que j'ai entendues...
Mais pour Pie Jesu... j'ai cherché suffisamment pour retrouver l'une qui m'émeut autant que ce que j'avais déjà entendu.
Content qu'elle te plaise... :mrgreen:
Du reste, je sens que ça va être très long de partager tout ça...
(refaire le tour de toutes les musiques que je connais...)
Par contre je dois dire que j'ai eu du mal à retrouver les musiques sur Youtube de façon aussi... jolie que je les avais entendues (lorsque notre chef de choeur nous les faisait écouter pour nous les présenter)
Donc certaines parmi les présentées ne sont pas vraiment celles que j'ai entendues...
Mais pour Pie Jesu... j'ai cherché suffisamment pour retrouver l'une qui m'émeut autant que ce que j'avais déjà entendu.
Content qu'elle te plaise... :mrgreen:
Du reste, je sens que ça va être très long de partager tout ça...
(refaire le tour de toutes les musiques que je connais...)
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: musicologie et musicophilie.
Hotaru koi :Hotaru koi :
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: musicologie et musicophilie.
HAHA !!!!!!!!!!!!!!! ^^
Contente que ça t'ait vraiment plu. *sourire chaleureux*
Contente que ça t'ait vraiment plu. *sourire chaleureux*
><( )><- Humeur : Océanique
Localisation : Dans ma tête
Re: musicologie et musicophilie.
Bela Bartok : Bear dance
Tiens, une que j'avais pas écouté d'ASTON ! *rire*
Mais bon...
Merci à mon cher ami Brusi qui m'a fait découvrir Aston ! :mrgreen:
ça avait commencé par celle là
et celle-ci !
Tiens, une que j'avais pas écouté d'ASTON ! *rire*
Mais bon...
Merci à mon cher ami Brusi qui m'a fait découvrir Aston ! :mrgreen:
ça avait commencé par celle là
et celle-ci !
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
Re: musicologie et musicophilie.
En parlant d'analyse musicale: Une chaîne très sympa:Analyse Musicale
Surtout des analyses de thèmes de films, vidéos sympas et très pédagogiques. Malik, tu n'en as pas besoin je suppose, mais c'est cool.
Il utilise Melody Assistant quand il montre les partitions jouées sur son écran. C'est gratuit. Téléchargement
Voilàà !
Surtout des analyses de thèmes de films, vidéos sympas et très pédagogiques. Malik, tu n'en as pas besoin je suppose, mais c'est cool.
Il utilise Melody Assistant quand il montre les partitions jouées sur son écran. C'est gratuit. Téléchargement
Voilàà !
><( )><- Humeur : Océanique
Localisation : Dans ma tête
Re: musicologie et musicophilie.
Et, tant que j'y suis: Expérience musicale. En bref, il donne le "mode d'emploi" d'un certain nombre de genre musicaux. Et c'est assez cool.
><( )><- Humeur : Océanique
Localisation : Dans ma tête
Re: musicologie et musicophilie.
Malik, tu n'en as pas besoin je suppose, mais c'est cool.
Non, j'en ai "pas" besoin, mais ça fait du bien. Quelqu'un qui parle le même langage que moi, ça me manquait. :mrgreen:
Et qui le parle dans ce que je nomme la lecture littéraire de la musique.
C'est le VRAI solfège, et que beaucoup loupent.
Appogiatures... motifs rythmiques... :mrgreen:
accord de sous-dominante (nommée IV, par lui.)...changements de tonalité... j'ai pensé aux ton voisins quand il a parlé de la subtilité du changement...
...tout ça pour créer l'ambiance du morceau... et l'expliquer. :mrgreen:
Il simplifie, mais je sens qu'il y a du bagage derrière. ^^
Les appogiatures, et les changement de tonalité, c'est du 2e cycle. Au moins.
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
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