de la Bibliophilie au questionnement.

De la réflexion jaillit la lumière. Ou pas.

La partie bibliographie étant inexistante, j'héberge mon propre questionnement dans MA partie. MA Partie !! La mienne !! Na !! (ma précieuse...)

Blague à part, deux interrogations d'intersection non vides me bouleversent en ce moment.

La première est d'ordre littéraire.
Je me demandais quels étaient les livres qui avaient marqué ma vie, bouleversé ou tout simplement marqué mon esprit.
Par la même, mon égocentrisme laissant je ne sais par quel miracle temporairement la place à la curiosité, Cette question vous est aussi personnellement posée.
à bon lecteur, salut !!

En ce qui me concerne, remontons dans le passé.

- La méthode syllabique d'apprentissage de la langue française appelée méthode Boscher. Mon premier livre d'apprentissage, différent de celui de l'école et qui m'a permis de savoir lire assez rapidement. Marquant.
Vieillissons.
- Premier livre écouté le soir pour m'endormir : Harry Potter. Maman n'a pas dépassé le 3e chapitre, mais un chat se transformant en humain, un éteigneur de réverbère et des chouettes partout, c'était pour le moins un début très intriguant. J'avais...7 ou 8 ans ? Je ne sais plus. Intriguant. Et imaginatif.

- Le livre dont la portée m'a échappé à l'époque : Le petit Prince, de Saint-Exupéry. Décidément, les moutons, les baobabs, la différence entre posséder et régner, les allumeurs de réverbère, les renards et les roses, c'était captivant. Eveil à la volonté de comprendre les gens. Captivant.

- Une foule de bouquins tous plus incompréhensibles les uns que les autres : Anselme Lanturlu, les livres d'électronique de mon père et les cours des STI, voilà qui interrogeait un gamin de 9 ans. Un "les petit débrouillards" en prime, et hop, voilà votre enfant lancé à la découverte des sciences.
Intéressant.

- les Fourmis, de Werber, pour les idées neuves qu'il a pu apporter à un collégien, sur le monde, les gens, la société, l'histoire. Les pensées différentes, les idées anticonformistes...
Rencontre avec un "mentir-vrai" pour la première fois. Ou plutôt, rencontre avec des livres dont je prends conscience qu'il s'agit de "mentir-vrai". Des fictions qui racontent la vérité.
épatant.

- Ensuite, ce fut La Zone du dehors, un mentir vrai encore plus dangereux que tout ce que j'ai pu voir ...
Après ce livre, la société est vue d'un tout autre oeil, l'individu laisse place au dividu...
Pessimiste, et pourtant plus réaliste mes yeux que 1984 ou le meilleurs des mondes que d'aucun citeraient à l'instant.
Fiction, mais les rapports qui animent les hommes sont parfois du même danger...
Secouant.

Voilà les livres dont l'effet à long terme a été non négligeable.

Il y a ensuite toute une foule de livres que j'ai aimés, marquant mais pas au point de me remettre en cause... ou pas à grande échelle.
Ceux là aussi sont intéressant, mais en dresser une liste sera longue... ce sera pour plus tard.


Seconde question :

Puisque visiblement les effets de mes lectures m'obsèdent, quitte à partir dans des stupidité je me demandais quelles étaient les idées du moment qui me viennent régulièrement à l'esprit de façon quasi obsolète...

Du genre : passer aux toilettes induit la brusque idée (et envie) de diagonaliser une matrice. Bon, ok, c'est maladif.
Régulièrement, l'envie me prend (comme si elle était possible !! ) de prendre la voiture.
Pour aller où ? à Lisieux, à Rouen, Taizé, Dole. Et pour quoi ? Mystère. (hormis Rouen peut-être. Envie d'y revoir des amis... ?)
Aux cascades du Hérisson. Mais ça, je sais pourquoi.

Idées récurrentes ?

Un thème à philosopher. L'impression qu'il y a à gratter en moi, mais je ne sais pas où. Les sujets et thèmes bateaux m'exaspèrent. D'où une tendance dangereuse à la remise en cause de tout et de tous. Attention, quasi chaque phrase du type "tout le monde sait que", "évidemment", toutes les subjectivités, tous les jugements émis par vous, par moi ou simplement reçus par mes oreilles ou sous-entendus sont aujourd'hui remis en cause par ce " joueur pseudoPhilosophe".

Des rimes à effectuer. Tout texte qui tombe dans la période rime se verra indéniablement affublé de syllabes déchainées.

des Vacances à organiser. Attention, pour ce dernier point mon cerveau me rappelle l'idée régulièrement mais pour autant n'avance pas dans sa réflexion. Marrant... ou irritant. vs :?:

voilà... suis content, ai fait un bilan et ai trouvé des mots sur ce qui me turlupine un brin... ^^

Pour ma part, c'est peu et un brin naïf...

En fait, je ne sais pas dans quel sens chronologique vont les trois premiers.

Mes véritables lectures ont donc commencées par Les Fourmis. Que j'ai dévoré. Littéralement. Le livre qui m'a rendu pacifique et m'a permis d'avoir l'envie d'avoir un regard neutre sur le monde qui m'entoure, et de considérer la fourmi au sol de la même façon que l'humain. (Idem pour les mouches, et en fait un peu tout)

Ensuite, Harry Potter. Qui n'a pas changé grand chose en moi, et pourtant... Je ne saurais mettre le doigt sur ce qui me fait aimer cette série.

Et bien sur Eragon, livre dont je vous rabâcherai bien les oreilles très souvent si je ne me retenais pas. L'idée du mec qui n'est rien et qui devient subitement un espoir... Ne me correspond pas. Mais encore une fois, j'aime ce cycle. Pour une raison inconnue, encore... Si ce n'est la façon dont sont considérés les esprits et comme ils peuvent interagir entre eux, qui m'a bien marqué, ainsi que les questions sur le fait d'être végétarien ou non qui m'ont elles aussi marquées. (Depuis, j'ai appris que j'aimais juste le saucisson, le steak haché, et la plupart des poissons, alors que les autres viandes aillent au diable! Elles ont bien mieux a faire qu'être mangées par moi si je ne les aimes pas. (Égoïste... Un peu.))

Le Papillon des Étoiles. Simplement par ce qu'il est complètement représentatif de l'impossible réussi. Et que... Je l'ai laissé m'emporter dans ses délires merveilleux.

H2G2... Par ce qu'il... M'a permis par la suite de briser certains mécanismes de la cohérence.

Et... Je crois que c'est tout.

Je ne me souviens pas de ce qu'il y a avant. (L'Intramonde est très... Mémorivore? (Le pouvoir du néologisme))

Voila, c'est très simpliste comme je le disais... Sans doute par ce que finalement, j'ai lu peu, et ai surtout appris par les paroles d'autres, pour ce qui ne concerne pas les Fourmis. (En belle partie, du moins)


Mes questionnements du moment?

...

L'Intranisation te répondra un jour pour le premier.

Et les autres sont noyés par mon processus d'ignorance du Stress, qui me fait vivre sans me poser de questions spirituelles temporairement.

Ah, sinon, je me demande souvent pourquoi est ce que les humains se ressemblent tous physiquement. Même si je connais la réponse, c'est quelque chose qui me vient parfois quand je les observe.

Il est intéressant de savoir que moi, a force de me regarder, je ne me range pas dans la case "ressemble a un humain". Égocentrisme, quand tu nous tiens... Mais je vis avec, figurez vous, et ça va très bien! Un Égocentrique altruiste, c'est rare, mais ça existe (la preuve).

Par ce qu'en me relisant je pense a "Ce n'est pas bien de ranger les gens dans des petites cases", je te répondrai que je ne peux m'en empêcher, mais que je sais ignorer ces cases.

Je ne suis pas aussi parfait que je le voudrais; l'important c'est de connaître ses défauts pour les transformer en quelque chose de bien.

Yo :
Je n'ai pas lu le petit prince, mais j'ai beaucoup aimé le spectacle que l'on m'a offert en DVD.


Première partie :

-J'ai eu le droit, dans mon enfance, à un petit livre sympathique pour apprendre à lire/écrire.
Il venait de ma mère qui l'a elle-même utilisée, il y était question d'un jeune garçon et d'une jeune fille, mais ne m'en demandez pas plus.

-Chaque soir mon père nous lis, à moi et à ma sœur, une histoire avant de nous endormir, j'aime les livres

-Primaire, deux livres me passionnaient, peut-être par leurs très grand format, il y était question de machines pour l'un et de plantes et d’animaux pour l’autre.
Sur les page au format A3 je cherchais chaque détail et lisait et relisait chaque petites notes explicatives : "LE GARAGE : c'est là que l'on fait réparer les voitures. Il y a plusieurs millions de voitures dans le monde. ..."

-Primaire, plus tard, Harry Potter nous est lu par notre professeur : j’apprends à aimé les livres sans images.

-Collège : Durant mes vacances d'été, chez la personne qui nous louait sa maison, je découvre "La révolution des Fourmis" et "L'ultime secret" de Bernard Werber, aujourd'hui j'ai tout ses livres.

-Lycée : Je devient Savanturier et avec Malik, nous créons le Monde Tytrutif.

-Lycée : La croisée des mondes, j'accepte l'idée que la mort est la fin de tout sans pour autant que cela soit une mauvaise chose.


Seconde partie :

Du genre : passer aux toilettes induit la brusque idée (et envie) de diagonaliser une matrice. Bon, ok, c'est maladif. Razz
Régulièrement, l'envie me prend (comme si elle était possible !! Laughing ) de prendre la voiture.
Pour aller où ? à Lisieux, à Rouen, Taizé, Dole. Et pour quoi ? Mystère. (hormis Rouen peut-être. Envie d'y revoir des amis... ?)
Aux cascades du Hérisson. Mais ça, je sais pourquoi.

_Aller au toilette me donne envie de lire ... sûrement dû aux posters (sur les champignons, ou sur les insectes par exemple) qui ont ornés mes toilettes longtemps, mais aussi peut-être à cause de Bernard Werber (Pour ceux qui ont lu "l'empire des anges".).
J'ai lu tellement de fois ce poster sur les insectes que je récite encore par cœur certains paragraphes (de tête) :

"Attention ! Qui s'y frotte s'y pique semble nous prévenir ce phasme de Thaïlande. En réalité l'insecte compte surtout sur sa ressemblance avec une touffe de lichen et sa parfaite immobilité pour échapper à ses prédateurs. Les aiguilles ne sont qu'un ultime rempart contre la gloutonnerie des lézard et des oiseaux, car il faut sûrement un gosier d'acier pour avaler pareil fil de fer barbelé."

_Prendre la voiture et aller voir ailleurs si on y est .. je connais.

_Cela me choque que tu parle des cascades du Hérisson car j'avais justement le projet d'y aller cet été avec ceux qui seraient disponibles !!!

D'où une tendance dangereuse à la remise en cause de tout et de tous.

En ce moment j'ai tendance à tout prendre au pied de la lettre ce qui exaspère mon entourage ...

Une question qui me turlupine un brin :

_La vie vaut-elle le coup d'être vécu ?

Bacrima a écrit:_Cela me choque que tu parle des cascades du Hérisson car j'avais justement le projet d'y aller cet été avec ceux qui seraient disponibles !!!

Je suis disponible. Parler de ce lieu m'a donné une forte envie d'y aller avec M... Donc y aller avec toi en prime, c'est forcément mieux encore.

De plus, je n'ai que des bribes de souvenirs de ce lieu...

Donc je suis la pour ça.

Quand es-tu en vacances ?
Perso je le suis déjà et je ne travail normalement pas avant juillet ...

Avant Juillet? Tu as pourtant dit travailler possiblement en Juin dans le sujet de Géofraynils, si je ne m'abuse? (Erreur humaine a mettre sur le compte de l'émotion?)

Eh bien sinon, a priori je suis disponible tout du long pour apprendre a coder... Mais sortir un peu ne fait jamais de mal. Donc, a partir du 21 (niarf) jusqu'au... Enfin, jusqu’à la fin des vacances.

A priori. Cependant, j'ai aussi une ou deux semaines a fixer pour les anacondas du brésil.

murs d'air, murs d'air

[quote:Bacrima]Je n'ai pas lu le petit prince, mais j'ai beaucoup aimé le spectacle que l'on m'a offert en DVD.[/quote]

Si c'est le même spectacle que celui que j'ai vu, j'ai beaucoup aimé aussi.



Pour les cascades, j'irai. "Voyez-vous, je sais qu'elles m'attendent."

La vie vaut-elle le coup d'être vécue ?

Autres questions (je rappelle que mon obsession de remise en cause est forte)

La mort vaut-elle le coup d'être vécue ?
L'amour vaut-il le coup d'être vécu ? (j'aurais envie de dire oui. Pardon. Une partie de moi dit certainement oui. Mais très subjective...)
La vie vaut-elle le coup d'être défendue ?
L'illusion est-elle un mal ?


Mon impression concernant la mort est la même que celle concernant la vie.
Fuir la vie par la mort serait pour moi aussi redoutable que fuir la mort par la vie. Parce que le problème n'est pas mort, ni vie. C'est juste l'idée qu'aller dans l'un pour fuir l'autre m'empêche d'apprécier les deux. Accueillir la mort et l'utiliser comme échappatoire sont deux points de vue différents (quoique liés). Si j'ai du mal à l'accueillir, j'ai encore plus de mal à l'idée de fuir par elle...
Ceci était un point de vue interne. Pas une loi universelle.

Du reste, la question n'a de sens que si la vie a une valeur. Cela montre bien que l'on en attend un résultat... se donner la peine de "supporter" la vie n'a d'intérêt que si nous obtenons un bénéfice...
"donner sa vie", "perdre sa vie", "réussir sa vie" (à différencier impérativement de "réussir dans la vie"), "défendre sa vie"...

Je n'ai pas de réponse. Je ne sais même pas ce qu'est la vie. Ce qu'est ma vie.
Pour y trouver un sens, jusque là ma raison a échoué et semble tendre à vouloir me démontrer que c'est un indécidable. Seuls mes sentiments couplés à ma conscience y ont donné un semblant de sens.
Illusion ? Peut-être. Sûrement, en ce qui me concerne.
Mais illusion ô combien littéralement vitale...

Ma question est donc : la vie a-t-elle un sens ? Lequel ?
à partir de là, lui donner une valeur... selon son sens ou son non-sens...

peut-être que le non-sens vaut la peine d'être vécu... l’irrationalité de la vie...

...

La mort vaut-elle le coup d'être vécue ?
L'amour vaut-il le coup d'être vécu ? (j'aurais envie de dire oui. Pardon. Une partie de moi dit certainement oui. Mais très subjective...)
La vie vaut-elle le coup d'être défendue ?
L'illusion est-elle un mal ?

1: Aucune idée.
2: J'ai aussi envie de de te dire oui. Ce n'est pas désagréable, sauf quand ça s’arrête, et encore.
3: Heu, pour moi, oui, tout mérite d'être défendu, donc la vie... Qui théoriquement parlant est a la base d'un paquet de trucs cool, mérite d'être défendue.
4: Selon l'utilité de l'illusion, ça dépend. Mais il faut une bonne balance pour peser.

intéressantes réponses.

Je précise que le but de ces questions n'est pas de s'ajouter à celle de Bac, mais bien de la compléter. C'est mon impression : tant que je n'aurai pas répondu à ces questions (et sans doute à d'autres...) je ne pourrai pas me faire d'idée sur "la peine" à endurer pour vivre et le point ou l'abandon est envisageable...

Mort :
La réponse "Aucune idée" est la plus raisonnée possible à mes yeux. (Même si elle n'aide pas, c'est sûr...^^)
Nous ne connaissons rien de la mort. Ou très peu... nous savons en partie ce qu'elle n'est pas... mais ce qu'elle est, nous l'ignorons.
Mais que savons-nous de la vie ??
Moi, pas grand chose.
Je n'ai par mon prisme de conscience qu'une vision étriquée, limitée, une projection de la vie qu' est la mienne.
Ma vie n'est pas la même pour moi que pour vous, je ne peux la voir que dans la subjectivité de mon Moi. Que M imagine la vision qu'ont B et A de sa vie est donc pour moi une impossibilité... ou du moins une grande difficulté...

Amour :

Ah... le thème qui m'interroge... pour moi, le Bonheur étant aussi friable que la justice, je n'ai pas osé poser la question sur le bonheur comme moteur de vie...
Mais bien sur l'amour comme sens que l'on peut y donner...
J'aurais pu aussi poser la question plus nuancée : les sentiments et les émotions valent-ils le coup d'être vécus ?
Même les "négatifs" (c'est quoi, d'ailleurs, une émotion "négative"?) ? Et les tytrutives ?
Pour moi, la colère, la joie, la tristesse valent autant le coup d'être vécues que l'amour.
Même et surtout si elles sont plus brèves...
Parce qu'elles vont justement rendre cette vie plus contradictoire ! :geek:
Et que ces émotions vont amener la nouveauté dans les sentiments, éviter qu'ils ne deviennent une habitude... donc un rite, puis plus grand chose.

défense de la Vie :

"Un paquet de trucs cools" ... et de trucs pas cools...
Et défendre la vie des autres ? La sienne ? contre qui ? contre leur possesseur même ? Peut-on protéger quelqu'un de lui même au risque de détruire la vie que l'on souhaite entretenir ?

J'ai envie de dire... oui et non.
Ce qui me fera toujours rire jaune, c'est ce que j'appellerais l'égocentrisme du déprimé...

"je suis seul."
"personne ne m'aime."
"la vie n'a aucun sens."

Je suis seul. Et alors ? N'ai-je de sens QUE dans un rapport avec les autres ?
Certes, en société, on aimerait bien.
Pourtant, seul dans une promenade en pleine nature, je ne souffre pas de la solitude... si c'est là mon choix.
Et paradoxalement, c'est ce qui me donne une énergie étonnante lorsque la solitude de la ville pèse trop :
La solitude dans la nature m'aide à affronter la solitude des hommes regroupés. Est-ce impossible pour toi ? N'y a t il aucun autre moteur ?

Personne ne m'aime !
Ah. La belle affaire. Qu'est ce que tu en sais ?? La blessure que tu inflige à ceux qui t'aiment en te comportant comme un non aimé est la pire blessure possible.
Se donner la mort dans ces conditions ne contente que le sujet, et encore... ça détruira tous le reste.
On peut se passer de toi, dis-tu, humain ??
Ah... et que ferais-tu si moi, de même, me sacrifiais sous tes yeux pour t'empêcher de te donner la mort ?
Et ce n'est pas une hypothétique question. J'en suis capable. Là réside le plus grand danger en moi pour les autres.
Je peux mourir pour tenter de donner un sens à la vie d'un autre. Auquel cas le sens de ma vie pourrait être celui là.
Mais cela ne serait même pas une fuite de la vie. Ce serait la plus horrible démonstration de la culpabilité du survivant.
Pas des menaces. Juste un avant goût de ce que le suicidaire peut infliger aux autres sans même s'en rendre compte.

"je ne leur dois rien. Ils se passeront de moi"
Et tu oses attendre d'eux de l'amour ? Ils attendent de toi que tu ne les abandonnes pas...

"la vie n'a aucun sens".
Peut-être. Ce n'est pas parce qu'on n'en trouve pas qu'elle n'en a pas, enfin bon...
Fondamentalement, paquet d'atomes, tu n'as aucun sens...
Fondamentalement, paquet d'encre, vous n'avez aucun sens non plus ...
Pourquoi prête-t-on un sens aux mots que l'on refuse aux vies ??

"le sens des mots est un consensus humains."
Et le sens de la vie ? Espère-t-on donc un sens transcendant ? Qu'une main céleste nous en dicte le sens ?

Nous sommes dans la vie, comment espérez vous voir où elle va et ou elle devrait aller ??
Espérez vous trouver un centre à un univers dont la seule forme nous est inconnue ?


Illusion :

"il faut une bonne balance pour peser."

Ah... ^^
Une balance pesant selon la gravité dans tous les sens du terme... ^^
L'illusion... j'en suis empli. Pourtant c'est ce qui fait que je suis peut-être encore là pour en parler.
Avec un soupçon de curiosité aussi.



voilà les questions, ce qui nous fait un total de ...je crois... 27 points d'interrogation... ^^


Quant à une date pour les cascades, la réponse est la même que pour Geo et m : date à confirmer si oraux.
30 Juin exclu, et si l'anniversaire de m se fête aux alentours du 7 juillet, exclu aussi. (en admettant que je puisse y aller, ce qui ne sera possible que si mes oraux me le permettent)

Ah oui, pour les livres, je n'ai bien sûr pas tout dit :
Les trilogies de Pierre Bottero
La quadrilogie "Ondine" prêtée par ma cousine.
Certains libres de Zweig.
Tistou les pouces verts, un conte de la même fibre que le Petit Prince.
Le seigneur des anneaux, et le simarillion.

Ainsi que beaucoup que vous avez cités...
:cheers: