Géographie de la pensée
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DeathExperience

4 participants

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Message  Klev 13.12.11 23:11

Je tiens a préciser tout d'abord que j'ai beaucoup imaginé autour de l'IA ces derniers temps, mais que pour ne pas vous réchauffer le sujet, je ne vais pas en parler.


L’illumination... Sans doute un de mes mots favoris. Par le sens comme par le son. De façon curieuse, je n'ai jamais cherché a placer précisément ce thème dans mes expériences créatives.

Mon imagination planche ces derniers jours sur un monde ou la vie serait basée sur le cristal (au sens purement artistique, l'Intramonde est souvent purement artistique). Autant vous dire que le sujet ne s'y prête pas.



DeathExperience

Je suis Hector. J'ai 18 ans. Aujourd'hui, je marque la fin de ma vie. Non, pas ma vie de garçon. De ma vie tout court. J'en ai marre. Le monde me désespère. L'humanité elle même n'est qu'un tas de mensonges tous plus hypocrites les uns que les autres...

Les humains ? De futiles esprits enfermés dans une chair qu'ils auto-mutilent dès leur naissance. Je suis un humain... Mais je ne veux pas le rester.

Vous avez déjà eu cette sensation désagréable de se lever pour mourir ? Moi, je l'ai en ce moment même. Je viens tout juste de sortir de mon appartement, la sacoche a l'épaule. Une fois de plus, la vielle d’à coté, agréable du moment qu'on lui parle avant seize heures, qui attend patiemment devant sa porte, a huit heures du matin, accoudée sur le balcon de l'escalier en colimaçon de l'immeuble de mon appartement, me sourit, et je lui rend un aimable bonjour.

Je descend les escaliers, je sort, encore, pour aller en direction de mon lieu de stage... L'immeuble d'une multinationale, connue dans le monde de l'Industrie Informatique, étant donné que je suis étudiant dans une grande école d'Informatique.

Je traverse la rue, j’esquive de peu une voiture. C'est assez stupide d'avoir ce réflexe le jour de son suicide. Au bout de cinq minutes de marche, j'arrive devant la porte, en verre, mégalomane et sobre a la fois, comme savent si bien les faire commander les grandes multinationales.

En entrant, je dis bonjour a tout le monde. Tous me tendent une main faussement amicale, une main qui n'est la que pour faire passer une sympathie simulée, crée uniquement dans le but de plaire a celui qui leur permet de subsister dans ce monde, c'est a dire leur supérieur. Celui ci, occupé a rire grassement a une blague de l'un de ses collègues, ne s'est toujours pas rendu compte des regards qui le transperçaient une fois qu'il avait le dos tourné.

Faisant comme si je ne les avais pas vus, je traverse rapidement le hall d'entrée, pour me diriger vers les escaliers.

Cependant, la voix rauque et éraillée du patron m'interpelle d'un vague « on ne dit pas bonjour ? » rieur. Mon cœur bat la chamade, alors que je me retourne, et simule un air surpris. Je balbutie quelque chose, en tendant une main moite vers le grand patron de toute l'entreprise. A peine a t-il empoigné ma main que son regard part déjà a la recherche de quelque chose de plus intéressant. Content de ne pas avoir a subir une interrogation quelconque et faussement sympathique, je sert la mains des autres collègues, eux aussi très distants. Parfait, je n’existe pas vraiment a leur yeux. Ça me va. Ça m'arrange.

Je recule discrètement, et part en direction des escaliers. Il y a bien un ascenseur, mais je préfère prendre les escaliers. Ça me semble plus digne. Je monte les marches avec lenteur. Mon cœur ne veut toujours pas se calmer. Je crois que le calme que j'avais réussi a conserver malgré ma prise de décision s'est envolé. J’appréhende.

Il y a seize étages. Je suis déjà épuisé des deux premiers. Je continue. Jamais personne ne prend les escaliers, donc je n'ai pas de raison d'avoir peur a ce sujet.

Troisième étage. L’ascension vers la rédemption est dure, je ne suis pas vraiment un sportif. Même si je suis plutôt endurant, mon corps ne m'intéresse pas.

Quatrième étage. Je sens l'activité en effervescence autour de moi... Tout ces gens... Ils travaillent... Comment font t-ils ? Comment peuvent ils prendre du plaisir, gagner quelque chose a faire marcher cette machine, que dis-je, ce monstre qu'est le système ?

Cinquième étage. Mon cœur semble se calmer. Même si monter les marches est dur, il est moins sollicité que tout a l'heure.

Sixième étage. Je me demande si ils vont se souvenir de moi, ici. Ça va faire deux semaines que je suis en stage... Il y a des chances pour que ça fasse un chambard médiatique...

Septième étage. Je suis déjà complètement essoufflé... Même pas a la moitié. Je dois continuer. J'en ai fait le choix. Ça va faire trop longtemps que j’hésite.

Huitième étage. Je ne ferais pas de pause avant le toit. Je ne dois pas. Ça serait m'offrir une chance de reculer. Je sais comment ça marche. C'est la meilleure méthode pour se défaire les idées qu'on avait mis en place. Je veux mourir.

Neuvième étage. Je n'en peux plus... Pourquoi j'ai pris ma sacoche avec moi ? J'en avais besoin pour avoir l'air naturel...

Dixième étage. Plus que six... Je devrais y arriver, il suffit que je persévère.

Onzième étage. Cinq... J'ai jamais vraiment aimé ce nombre... Il n'est pas assez régulier... Enfin, je dirais plutôt que c'est a partir de lui que les formes géométriques n'ont plus autant de charisme...

Douzième étage. C'est trop dur... Mon épaule me lancine a chaque pas... Je garde la sacoche... C'est un peu ma dignité...

Treizième étage. Trois. C'est un beau chiffre selon moi. J'ai toujours aimé le trois. Je le trouve anticonformiste. Je ne sais pas vraiment pourquoi...

Quatorzième étage. Deux. Plus grand chose... Je transpire... Encore des imperfections de mon corps...

Quinzième étage. Un. L'unité. Le final. Celui qui garde l'accès a la porte de ma fin.

Seizième.

J'ouvre la porte en m'appuyant sur la poignée, essoufflé.

Mon regard balaye la surface plane du toit, pour vérifier qu'il n'y a personne. C'est le cas. Mon cœur bat a nouveau la chamade. Je traverse l'étendue plane. Dix mètres. Chaque pas résonne dans mon corps comme le dernier.

La rambarde du toit est la, au bout de mes doigts. Je laisse ma paume s'y poser. Elle fait vingt-cinq centimètres environ de largeur, et un petit mètre de hauteur. Je m'y hisse, malgré mon vertige... Je perds l'équilibre, et j'évite de peu la chute vers le toit.

Je me stabilise en écartant les bras. Puis, je regarde le sol.

En bas, les gens, les voitures s'activent. Ils vont dans tout les sens, a la manière de fourmis. A la différence qu'ils n'ont jamais été aussi solidaires qu'elles.

Je prend une inspiration. J'ai une boule au ventre. J'ai peur. Mon cœur bat si vite... Ma respiration est saccadée. Je tremble...

Je vais enfin... Pouvoir en finir. Quitter ce monde. Pour un autre... Meilleur.

Je redresse la tête, ferme les yeux. Prend une profonde inspiration. Et me propulse en avant, concentrant mon poids dans la même direction pour tomber sur le crâne.

Je me sens tomber. J'ouvre les yeux. La, me viens la question que je n'attendais plus ; « pourquoi je saute, déjà ? » Puis, je réalise qu'en fait, j'aurai pu faire autrement. J'aurai pu faire comprendre mon avis au gens, ne pas être moi même un hypocrite. J'aurai pu faire changer quelques mentalités... J'aurai pu changer le monde a mon échelle.

Maintenant, je vais mourir. Je crois que ce sont des larmes qui coulent. Elles s'envolent au loin.

Le sol se rapproche. Ça va faire mal ? Je ferme les yeux, crispant les mâchoires.


J'ai senti et entendu un grand craquement sinistre. Je crois que ce sont mes cervicales qui ont pris. Je suis mort, ça y est. Je vais partir. Doucement...

J'entends des cris. Des hurlements. Des gens que je ne connais pas me regardent, je le sens. Quelqu'un est devant moi, je le vois. Mais je ne peux pas bouger mes yeux... Je voudrais voir qui me regarde, mais je ne peux pas.

Il y a une dizaine de personnes qui parlent, d'autres qui hurlent. L'une d’entre elles, un homme, semble déjà avoir dégainé son téléphone portable pour appeler la police.

Je sens une de mes larmes qui s'écoule le long de ma joue.

Que se passe t-il ? Pourquoi je ne suis toujours pas mort ? Je ne comprends pas !

Tout ces gens qui parlent... Tout ce monde... Autour de moi... C'est horrible... Et je ne peux rien faire...

Quelqu'un m'a pris le poignet pour prendre mon pouls. Il dit que je suis mort. Alors pourquoi je suis encore la ?

Une fillette pleure. Je ne l'avais pas entendue. Je voudrais la serrer dans mes bras, lui dire que ce n'est rien, que ce n'est pas grave... Mais je ne peux pas... C'est une torture !

Libérez-moi !

Je vous en prie...

Cette petite fille... Non... J'aimerais pleurer, mais je ne peux pas ! Je ne peux plus rien faire ! Mon corps est une prison ? Aidez moi ! C'est une torture ! Libérez-moi ! Libérez-moi...

J'entends les gyrophares. La police ? Les pompiers ? Le SAMU ? Quoi d'autre ? Qui va me transporter ? Je n'en sais rien... J'ai peur.

Quelqu'un prend a nouveau mon pouls, au niveau du cou cette fois. La personne ne dit rien. Les gens sont plus silencieux. Des flashs m'aveuglent. Mes yeux ne font pas de mise au point sur la luminosité...

Des bras se glissent sous mes membres pour me soulever. Que fait on de ma dignité ? On m'installe sur un brancard... Je suis mort, pourtant. Ils me recouvrent d'un film plastique... Je ne vois rien a travers ! J'aimerai pouvoir retirer ça de mon champ de vision, j'ai le réflexe de vouloir dégager mon visage pour respirer, mais je ne peux pas.

On dirait qu'on me déplace. J'entends deux portes métalliques qui se ferment. Je crois qu'il y a quelqu'un derrière moi. Je l'entends tripoter un objet métallique. Le véhicule, enfin je crois, roule assez vite. J'ai encore le sens de l'équilibre... Je me sens bousculé dans tout les sens, alors qu'en fait, je ne bouge pas. Aidez moi...

Dans un bruit de gravillons, j'ai l'impression d'être emporté vers l'avant. Le véhicule a du se garer...

On me sort du véhicule, et on me déplace. On dirait qu'ils sont deux, un a l'avant, un a l’arrière. Ou m’emmènent t-ils ? Un troisième semble avoir ouvert la porte... Avec un badge, peut être...

Ils me déposent sur une table froide. J'ai froid.

J'entends des voix assez lointaines. Je n'en comprends que « médecin légiste ». J'ai peur. Je ne veux pas... Des pas se rapprochent, tandis que d'autres partent. La porte se referme.

Quelqu'un ouvre la fermeture du film plastique... Et ma place la tête droite. Je ne vois pas son visage, a cause de la lumière derrière lui. Je voudrais lui dire d’arrêter. De ne pas faire ça. Que je suis mort, qu'on a pas a s'intéresser a moi. Que je me suis suicidé. Je le hurle de toute la force de mon esprit. Mais ma bouche reste close.

Le légiste met des gants, je crois. Il déboutonne ma chemise ? Non !

Je ne veux pas !

En la retirant, il fait prendre des positions inconfortables a mes bras. Ça fait mal... J'ai peur !

Il dépose ma chemise plus loin, je ne sais ou.

Ses mains vont a ma ceinture. Non... Il la retire. Non...

Il retire mes chaussures, mes chaussettes, mon pantalon...

Je suis presque nu, maintenant... Arrêtez !

Non... Je voudrais pleurer... C'est trop tard...

Il examine mon corps. Laisse moi ! Je n'ai pas besoin que l'on m’examine ! Il soupèse mes membres... Observe mes yeux avec une loupe... Ouvre ma bouche, et la triture avec une pince pour dégager ma langue... C'est une torture...

Je veux partir !

Arrêtez ! A l'aide !

« Eh bien, mon pauvre, je ne sait pas ce qu'il t'es passé par la tête... »

Il s'attarde sur mon entrejambe. Laissez-moi !

« Tu n'as sans doute pas eu une vie facile... »

Il s'est mis de profil. Il prend quelque chose sur sa droite.

« Je vais devoir t’amocher encore un peu... »

Laissez-moi !

Il trace quelque chose sur mon thorax et mon tronc, a l'aide d'un stylo feutre, peut être.

« Franchement... Ils m'ont dit de pousser l’autopsie jusqu'au bout... Je ne vois pas pourquoi. Sans doute encore des reformes stupides. » Il prend un objet qui sonne métallique a sa droite.

Je vous en prie...

« Navré. »

D'un coup sec et habile, il me perce la peau, me coupe la chair. La douleur est horrible ! Je voudrais partir en courant ! Hurler a plein poumons ! Je ne peux même pas gémir !

En trente secondes, l'ouverture est faite. Il examine mes organes internes.

« Bon, bon, bon... »

Il attrape quelque chose. Je voudrais m'évanouir. Je ne peux pas.

« Ça m'a bien l'air d'un suicide comme les autres, tout ça... »

Oui... Refermez moi... Et brûlez moi...

« C'est dommage. Comme tout les autres, vous n'avez rien compris. »

Referme moi !

« C'est vrai, vous avez eu le courage de faire le « grand saut », mais avez vous pensé a la suite ? »

Je...

« Si tu m'entends, je te souhaite toute la chance dont tu pourrais avoir besoin la ou tu es... »

Merci. Refermez moi.

« Bon, je vais agrafer tout ça... » Il s’exécute. Le métal transperce ma peau... Encore... J'ai mal.

« C'est dommage. Je parle sans doute a un mort, mais moi, au moins, je suis encore capable de décider de mon sort mieux que toi... Tu n'avais peut être rien a perdre... Ou peut être vas tu te rendre compte de ton erreur, si ce n'est déjà fait. »

Taisez vous...

« C'est ridicule de mourir comme ça. Si tu as fait ça pour tes idéaux, j’espère que tu auras essayé de les apprendre aux autres, avant ? Ou de les transmettre ? »

Non... Bien sur, non...

« Enfin bref. Bonne chance, encore une fois. »

Il me déplace. Il va sur ma gauche. Ouvre quelque chose dans un grand bruit métallique.

Et m'engouffre dans un tunnel noir.

« Adieu ! »

Voila... Mon destin...

J'ai tout gâché. Stop. Arrêter de penser.

Stop !

Je ne veux pas penser !

Je ne veux plus penser ! Je veux oublier tout ça... Je voulais renaître, pas être emprisonné...

Brûlez-moi...

Pourquoi... Pourquoi je n'ai pas pensé a tout ça avant ?

Je suis Hector. J'ai 18 ans. Aujourd'hui, j'ai marqué la fin de ma vie.


Si vous trouvez un lien avec l'illumination, dites le. Par ce que j'ai du mal. Si il y en a, ils sont vagues.

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Message  Crue Elle 14.12.11 19:38

Ce "Hector" me rappelle bizarrement Quelqu'un...
Si ce n'est que ce "Hector" n'a pas fait de promesse...
Hm?...


Dernière édition par Crue Elle le 14.12.11 20:15, édité 1 fois
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Message  Klev 14.12.11 20:11

Il n'y a pas d’intérêt a faire une suite, selon moi...

En effet, c'est un peu un texte autobiographique.

Hector ne semble pas avoir de famille, ni d'amis, ce qui marque la principale différence.

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Message  Yoendel 14.12.11 20:14

ahlala... le grand saut...
Superbement bien décrit, les impressions, les pensées du mort.

D'un point de vue de l'illumination, j'ai plusieurs hypothèses.
Peut-être déja qu'il n'y en a pas : je m'explique : si illumination il y a, elle arrive trop tard pour empêcher sa mort. "Pourquoi je saute?" Et "j'aurais pu faire autrement."
L'illumination serait alors implicite, au sens ou c'est ce qu'on attend de lui ici : non pas qu'il ait peur de sauter, mais qu'il ait une idée, un sentiment qui lui fasse dire : "ce que je fais est inutile", ou " il y a d'autres moyens", ou que ne sais-je encore...
Perso je m'attendais à une grande réflexion avant l'acte, et c'est avec stupeur que j'ai vu l'acte avant la réflexion et surtout l'illumination juste après l'acte. Et encore, en optimiste modéré je me suis dit jusqu'à ce que le pouls soit vérifié "mais que s'est il passé?".
Pour moi ce moment est charnière.
Avant ? monotonie et hypocrisie.
Après ? Macabre découverte...
L'après est plus de l'ordre de la funeste découverte, avec le non départ de Hector... Qui l'eut cru ?
"pourquoi ? Pourquoi je n'y ai pas pensé avant?"
Donc du point de vue strict du thème, il est là, mais pas aussi présent qu'on aurait pu l'attendre... ou du moins qu'aurait pu l'attendre un jury strict à un concours.
Seulement je ne suis ni Jury, ni strict, ni à un concours... et je ne noterai pas ce texte. Si vous voulez le faire pour les miens, faites... mais un prépa ne se préoccupe plus autant des notes... et je n'ai aucun critère juste pour le faire en ce qui concerne les vôtres...On voit la réflexion, on voit le travail. ça ne part pas ou tu l'avais prévu ? ET alors... ?
Je suis heureux que ce thème t'aie inspiré un début qui a sans doute dévié d'un côté plus intéressant...
SI l'illumination brille par son absence... tant mieux/ tant pis. Tant que tu es heureux de ce que tu as fait...
et moi ça m'a plus.

ah oui, l'hypothèse humoristique : Hector est-il un illuminé pour ne pas avoir compris avant ce qu'il risquait?
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Message  Klev 14.12.11 20:18

J'ai eu la même réflexion que toi... Mais ça ne m'a pas satisfait. Je vais réécrire une autre nouvelle dés que possible, et avant la fin du délai.

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Message  Bacrima 14.12.11 20:21

J'aime ce texte, à mon sens le thème transparait beaucoup, après tout, pour moi illumination rime avec mort.
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Message  Yoendel 14.12.11 20:30

vu comme ça aussi... " mais un jour tu verras le bout du tunnel?"
pour moi c'est d'abord un changement brutal de paradigme, l'inspiration ou la folie, selon le contexte...
J'ai pensé à la lumière... enfin, sens toi libre Benbox...
je ne vais pas t'interdire de te sentir mal à l'aise à propos du texte... le devrais-je ?
Yoendel
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Message  Klev 16.12.11 0:24

Oh, mais je ne suis aucunement mal a l'aise par rapport a mon texte^^

Il correspond a ce que je voulais écrire.

Quoique, j'avais aussi pensé a un légiste nécrophile. Mais c'était trop cliché. :mrgreen:

Klev
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