[JDR] Lieu de Rencontre.

L'Homme dans le fauteuil haussa à peine un sourcil, et celui qui servait indiqua à la Carne une magnifique Carafe d'eau en diamant, s'en saisit et lui proposa un verre d'une eau cristalline. *




De son côté, Mi acquiesça de la tête avec amusement.
"Je ne vois personne qui pourrait être plus lié à la magie que mon frère."


[* Certifiée 100% naturelle :mrgreen: ]

La femme reprit.
« Combien de temps me laisses-tu pour le distraire ? »


Le carnassier regarda le verre. Puis, il but.
Et en redemanda sans rien faire d'autre que fixer le serveur dans les yeux pour s'exprimer.

"Le temps qu'il faudra. Bien que je pense qu'il lui faudra bien une heure pour se libérer, pour l'instant."





L'homme qui servait obéit et servi à nouveau un verre d'eau.
Derrière, les murmures reprirent.
L'eau cristalline avait un excellent gout, propice à mettre quiconque dans une joie euphorique. Et plus encore, elle incitait à parler sans crainte.

L'homme en toge, dans le fauteuil, reprit doucement :
"Donc, qu'êtes-vous venu faire ici ?"

« Une heure avant qu'il ne devienne problématique ? Si c'est le cas je préfère attendre ce moment. Ou peut être… une quinzaines de minutes avant. »



Une fois désaltéré, les papilles du carnassier firent un peu plus attention au gout de l'eau.
« Cette eau a un gout bizarre. »
Il passa sa manche devant sa bouche, et fixa son interlocuteur dans les yeux.
« Et toi ? »

"comme vous voudrez. Je compte sur vous, alors."
Mi fit demi-tour, et s’apprêta à quitter la salle, pour de bon cette fois.




L'Homme ne s'offusqua pas, et répondit calmement :

"Nous vivons ici. Ceci est notre monde. Et toi donc, comment es-tu arrivé ici ? Et ...pourquoi nous dissimuler ton nom ?"

À côté d'eux, l'homme qui servait reproposa un verre à la Carne, tandis que derrière eux, certaines personne s'avançaient avec douceur vers leur hôte, sans le brusquer.

« Bien, donc nous sommes d'accord, le changement opèrera dans trois quart d'heures. »
Les panneaux flottants revinrent.
Elle en regarda quelques-uns.
« Sache tout de même que cela précipite mon programme. Mais en attendant, ce qui précède va démarrer. »
Le pic entier vibra.


Et sa base, fichée dans le sol, gronda.


« Tu saura sortir par toi même ? »

Il y eut un bourdonnement. Et un claquement sourd venant de sous leurs pieds.



Bien plus bas, le carnassier s'étonnait que quelqu'un puisse vivre sur un matelas de cette taille.
« Je suis arrivé ici en suivant le chat, là… Et … » Il prit un air un peu exaspéré. « Je n'ai pas de nom. Vraiment. »
Il vit le verre qu'on lui tendait. « Oh. Merci. »
Le carnassier but tout d'une traite, après avoir observé les spectateurs d'un air presque soupçonneux. Puis, un détail sembla lui revenir en mémoire.
« Oh, pendant que j'y suis. Vous avez vu un gamin aux cheveux rouges ? Et des oreilles de chat. Comme l'autre, mais en petit… »

Mi sortit aisément, et sans plus de réponse qu'un aimable et mesquin sourire.




Plus bas, l'interlocuteur de la Carne, pour la première fois, esquissa un sourire.

"Oui, nous l'avons croisé. C'est un jeune opportun effronté que nous avons chassé sans vergogne de notre territoire. Mais inutile de vous en préoccuper outre mesure pour l'instant, vous le rattraperez aisément lorsque le temps sera venu.
Ainsi donc, vous n'avez pas de nom... comment pourrions-nous vous annoncer, alors ? Je veux dire, les gens parlent de vous, et usent bien d'un nom. Vos parents, peut-être ? Ou votre fratrie ?"

Ce faisant, il sirota longuement son propre verre avec délectation, enjoignant le serveur à resservir la Carne.
Plus la Carne buvait, et plus il devait se sentir à l'aise, puisque c'étaient là l'un des nombreux effets des boissons de ce lieu.

Le carnassier devint pensif.
« … Maintenant que vous en parlez…
…
Je ne me souviens pas avoir eu de parents… ou de famille… »
Il semblait très songeur.



Loin au dessus, en surface, au niveau du sol, un bruit sourd commençait a se faire entendre.

L'homme qui suivait dépêcha le groupe en direction du gouffre. Tout ça ne lui disait rien de bon. Dans la direction du gouffre, les arbres avaient été plus abattus que de l'autre côté. La déflagration n'avait pas été égale,… mais ça leur avait permis d'une part de rester en vie, et d'autre part de mieux distinguer le trou du gouffre, actuellement, de loin.

Le groupe était arrivé devant le gouffre. Cela faisait déjà quelques minutes qu'ils l'observaient sans rien dire, se demandant si quelqu'un avait pu descendre a l'intérieur.
Derrière eux, le pic de roche grondait a intervalles réguliers, comme si quelque chose frappait sourdement a l'intérieur.

L'homme qui suivait s'adressa avec calme a l'avocate ; « Avez-vous une corde ? »

Il commençait lui même a se demande s'ils ne feraient pas mieux de fuir. Le bruit du pic n'inspirait rien d'autre que la préparation de quelque chose d'aussi imposant que sa stature. Et vu les dégâts a son arrivée, l'homme qui suivait n'était pas certain de vouloir en voir plus.
Cependant, il n'abandonnerait pas son commanditaire, et voulait être certain que l'autre sombre suicidaire était bien mort avant de le laisser là. L'homme réalisa alors ;
« Toute à l'heure. Juste avant que cette chose ne s'abatte dans la terre… Nous avons entendu quelqu'un appeler. »
Si c'était le carnassier, cela signifiait probablement qu'il voulait qu'ils le rejoigne. Peut être avait-il retrouvé leur commanditaire.

Loin en contrebas, la foule derrière la Carne continuait à murmurer avec grand intérêt.
L'homme assis en face sur le fauteuil termina son verre avec un air à la fois digne et vaguement intéressé par l'affaire.

"... Je vois. En attendant, pourrions-nous vous offrir l'hospitalité ? Il semblerait que notre Maîtresse soit en grande discussion avec votre ami, et au vu de ce qu'ils ont à s'apprendre, je puis estimer que la nuit portera conseil à tout le monde."

Tout en disant cela, il se leva, esquissa un signe au groupe murmurant, et attendit sagement une réponse de la Carne.





Ailleurs, Mi continuait à courir de lieux en lieux, cherchant acquéreur pour un ralentissement de Chester et de sa liberté de mouvement.

Plus haut, le promontoire où se trouvait l'Homme qui suivrait ( ainsi que probablement les deux autres ) s'effondra lorsqu'un brusque tremblement de terre secoua le territoire en provenance du Pic rocheux.

Un panneau translucide afficha une notification.


Quelques instants plus tôt, a plusieurs centaine de mètres dans le sol, la pointe du pic avait vibré.
En surface, trois rainures verticales équidistantes apparaissaient sur la couche extérieure du pilier rocheux.
Tandis que les rainures s'élargissaient, un éclat orange, presque agressif, étaient apparues entre ces dernières.

Et, dans un fracas ahurissant, le pic s’était ainsi ouvert en trois sur une partie non négligeable de sa hauteur, déchirant la terre atour d'une partie de sa base, sans pitié.

Et a ce moment, un morceau du gouffre s'effondra, entraînant dans sa chute un groupe impuissant qui venait d'entrevoir le spectacle dramatique que leur offrait le pilier rocheux.



La carne devint pensive. Il était rare qu'on lui offre ce genre de choix.

L'homme en face de la Carne eut soudain une étrange attitude, et son regard se perdit dans le vague. Puis il se ressaisit et reprit à la fois la parole et contenance.

" Je m'excuse, je suis contraint de vous laisser pour l'instant. Une nouvelle salve de gens s'apprête passer à travers notre porte, et la Dame étant occupée, je me dois de les recevoir dignement. En attendant, je vous confie aux merveilleuses mains de mes amis qui se chargeront de votre séjour."

Puis, avant que la Carne ne puisse répondre, l'Homme se tourna vers le point duquel lui, le groupe et la Carne étaient venu, et repartit avec grâce, toujours sans s'enfoncer d'un moindre millimètre dans le matelas. Son pas semblait néanmoins assez pressé.

Aussitôt, du groupe murmurant sortirent plusieurs personnes. L'une d'entre elles était une jeune femme d'environ 17 ans qui s'installa dans le fauteuil que l'homme avait délaissé. Le serveur, à ce moment, lui apporta un verre d'une boisson verte ressemblant à un sirop de menthe. Du même coup, il redonna un autre verre d'eau au Carnassier.
Une autre femme, l'une de celles qui avait fait un sourire entendu à la Carne, vint expressément s'installer sur les genoux de ce dernier, avec un sourire encore plus amusé et encore plus entendu, une fois ses supérieurs partis.
Elle fit à la Carne un joli clin d'oeil amusé.

La carne rit.

Puis, il fit un sourire horriblement malsain, en fixant la femme dans les yeux.


Et se leva en faisant tomber celle-ci sur le sol.

Il tourna son regard et sa tête vers l'horizon que rejoignait l'homme qui lui parlait juste avant.

La femme afficha un air surpris en tombant sur le sol. Puis, immédiatement après, elle réagit au quart de tour, esquissant un geste presque invisible tellement il était rapide, qui mena à une série de mouvements gymnastiques complexes et parfaitement maîtrisés.
En conséquence, une seconde plus tard, elle se trouvait à deux mètres de la Carne, avec un sourire presque félin et dans tous les cas extrêmement amusé, dans une posture préparant une attaque traîtresse.
Derrière, le groupe avait pouffé de rire face au comique de la situation.

Et, dans un bond immédiat qui surpris la Carne, la femme bondit sur lui avec une lueur de malice.
Le temps pour la Carne de réagir, elle commençait déjà à le chatouiller de partout.

Le carnassier fut surpris. Il se cabra en arrière, dégaina une dague dans un réflexe meurtrier.

La femme eut un sourire mesquin, prit le dessus et lui fit lâcher immédiatement sa dague dans un mouvement aisé pour elle. Elle s'arrêta alors, le contempla avec amusement et ajouta à son intention :

"J'aime les hommes qui se débattent. Au moins, ils ont le sens du jeu."

Derrière elle, une grande part du groupe les regardait avec amusement, ne daignant pas intervenir.

Ensuite, elle se releva sans lâcher sa proie des yeux, s'assit nonchalamment dans le fauteuil, et commença à jouer avec la dague du Carnassier avec un sourire coquin à son égard. Puis elle jongla avec deux puis trois dagues, laissant fortement sous-entendre à son adversaire qu'elle aimait fouiller les gens et qu'il n'avait pour elle plus aucun secret. [HRP : que quelqu'un vienne arrêter ça. Parce que là ça dégénère sévère.]

La femme dans le fauteuil d'en face sirota tranquillement son diabolo-menthe en les observant avec intérêt. Plusieurs hommes dans le reste du groupe esquissèrent un léger geste de jalousie envers la Carne... ou envers la femme qui l'avait dominée.




Plus loin, l'homme de main de la Dame s'approcha du lieu où se trouvait la Porte.
Il leva les yeux vers elle, attendant le groupe qui devait arriver sous peu après être à la limite de s'endormir.

Le carnassier serra les dents.

Puis, il eut un air particulièrement hargneux, teinté d'un sourire très inquiétant, entre amusé et dangereux, tout en se relevant.

« Pas… »

Il se jeta en avant.

« … mes … »

Sa pose était correcte. Il faudrait une kinesthésie très importante pour parvenir a le stopper ou pour utiliser sa propre énergie contre lui.

« …dagues ! »

Dans son saut, il était a une main d'elle.

Ce qui suivit fut trop rapide pour rester imprimé dans la mémoire de la Carne.

Lorsque ce dernier put à nouveau se rendre compte de quoi que ce soit, il était assis sur le fauteuil à la place de la femme, dont il put admirer la finesse des traits et la douceur de ses cheveux châtains foncé. [hrp : pause publicité. Lauréliane !]
Elle le dévisagea avec un regard de pure dominatrice amusé, puis lui murmura à l'oreille :
"J'ai fini de jouer avec toi, Tueur Sombre. N'en redemande pas trop..."

Puis elle s'éloigna d'un air hautain, laissant la Carne coincée sur la Chaise, les deux bras sur les accoudoirs, une lame plantée dans chaque accoudoir. La troisième lame se trouvait sur le fauteuil, entre les deux jambes dudit Tueur sombre, à deux doigts d'une zone particulièrement sensible.


Plus loin, le portail eut un soubresauts. L'Homme se prépara avec aisance, vérifiant qu'il avait de quoi se défendre face à d'éventuels agresseurs.

Le carnassier déchira une manche, et décoinça ses lames. Puis il se leva.

Ses yeux étaient écarquillés. On pouvait y lire une émotion curieuse.

Une sorte de mélange entre de l'admiration et une forme d’excitation étrange.

Il se toucha l'oreille, sans cesser de regarder la femme.



Plus haut, l'homme qui suivait tombait. Ses sens étaient perdus, il ne savait pas vers où ou quoi sa chute l'emportait.

La femme continua à s'éloigner puis, au dernier moment, se retourna avec un sourire amusé vers la Carne.

"La prochaine fois qu'une femme te propose de jouer avec toi,Tueur Sombre, montre toi plus galant. Ou tu risquerais d'y laisser des plumes... "

Et elle s'éloigna à nouveau et partit loin.

Un Homme qui jusque là avait affiché un air tantôt neutre tantôt vaguement amusé s'approcha de la Carne et conseilla doucement :

"Elle s'intéresse à vous. Suivez-là."





Plus loin, l'Homme qui suivrait fut le premier à débarquer dans le gouffre, endormi ou presque. Tout comme la Carne, il se retrouva dans le matelas.

Le carnassier entre-ouvrit la bouche avec un air un peu stupide.

Puis, il secoua la tête et afficha un air énervé. « Je n'ai pas besoin qu'on me dise quoi faire ! »
Il pivota, et arracha la dernière dague fichée dans le fauteuil. Puis, il se retourna a nouveau. Et regarda la femme partir.

Alors, sans aucun regard pour l'assemblée, il rengaina sa dague, et la suivit.

L'homme sur lequel il s'était énervé n'afficha rien de plus et le regarda partir, tout comme le reste du groupe.
La femme sur le fauteuil se leva, posa son verre, et se dirigea vers lui en souriant.
En passant devant lui, elle leva la main et il frappa dedans, fier de lui. Le reste du groupe rigolait doucement tandis que certains commençaient à se tourner vers la Porte, dans le but de rejoindre leur supérieur hiérarchique.


Au loin, la femme qui avait dominé la Carne avança droit devant elle avec fierté, l'entrainant dans une direction durant des dizaines de mètres.



De l'autre côté, leur supérieur immédiat attendit en observant l'Homme qui suivrait. Qu'en était-il du reste du groupe ?
Il n'osa pas s'approcher, et resta prudent en se contentant de relever toutes les informations.




Du coté de Chester, le chat savait clairement dans chacune des fibres de son corps qu'il avait besoin d'aide. Mais personne ne le savait. Le pouvoir de la Dame était au dessus de ses compétences, fut-il le meilleur joueur de ce monde.
Lorsqu'il tenta de fuir et de parer les ordres de cette dernière, une injonction de sa part suffit à l'en empêcher.
Pourquoi diable avait-il fallu que ce soit sur Elle qu'il soit tombé ??

Et pendant ce temps, Mi courait toujours.

Le trio était tombé dans le gouffre. L'homme qui suivrait avait l'air de s'en être sorti indemme puisqu'il se relavait sans peine. Le sorcier lui n'était pas entré dans le matelas. Sa bulle violette l'avait protégé tout au long de sa chute. Il savait où il se trouvait mais n'avait visiblement aucune envie d'y être. Les phénomènes se déroulant en ce lieu le dérangeaient. SOn pouvoir était à l'abris de toute modification par ces derniers mais il ne pouvait pas même espérer un jour pouvoir atteindre un tel niveau de puissance, bien qu'il puisse déjà s'y soustraire.

- Tout va bien demanda-il alentours afin de vérifier que ses compagnons d'infortune n'étaient pas trop affectés par ces phénomènes magiques.

Non, l'homme qui suivait n'allait pas bien. Pensif, il se mit la main devant la gorge, en semblant avoir quelques difficultés pour respirer.

Il regarda le groupe, et autour de lui, avec une attitude qu'il n'avait pas affiché jusqu'à là, puis se releva en peinant un peu. Sa chute en ces lieux avait perturbé quelque chose. Et il savait quoi. La question, c'était ; comment ?



Loin de là, le carnassier perçu un rire venant de derrière-lui. Il continua d'avancer, lançant des regards derrière lui de façon régulière, afin de s'assurer du moment où on ne pourrait plus le suivre des yeux.

On ne le bernerait pas si facilement.



Bien plus haut, une femme d'un certain age s’interrogeait sur la présence d'un corbeau dans son pilier de roche. La sécurité avait été violée deux fois dans la même journée, et une fois par un animal local.

Cela la surprenait.

Elle ferma un panneau lui signalant que l'Incisateur avait glissé de quelques mètres en provoquant un séisme en surface. L'information était de moindre importance.

[Hrp] il m'a été demandé des informations concernant la concentration en divers gaz du lieu. Aussi je m'empresse de répondre :
L'air du lieu se compose de base de 78,08 % de diazote, 20,95 % de dioxygène, 0,93 % d'argon, 0,0395 % de dioxyde de carbone et des traces d'autres gaz. Sans compter le mana environnant qui, aux dernières nouvelles, n'est pas un gaz.[/HRP]

[HRP 2] : Notez tout de même que si la femme dans l'Incisateur ne tient pas compte de ce que lui a dit Mi, son Incisateur explosera pour cause de souci dans l'un de ses systèmes de sécurité. Est-il bon de le rappeler ?

Rappel:

[/HRP]

[HRP 3] : Pour les rappels de la consistance du matelas, se référer à la première citation en sachant qu'il y a plus d'un mètre cinquante d'épaisseur au matelas :

Rappels nécessaires:

[/HRP]

L'homme chargé de les accueillir haussa un sourcil, étonné du groupe qui venait d'atterrir.
Il dévisagea l'Homme qui suivrait avec calme, mais gardait néanmoins une posture apte à gérer une défense expresse en cas de pépin.



Là où se trouvait la Carne, il lui était désormais impossible de voir quiconque hormis la femme qu'il suivait.
Cependant il put encore entendre les rires clairs et joyeux du groupe qu'ils venaient tous les deux de quitter. Un rire amusé mais sans aucune trace de méchanceté. [NA ! ça lui apprendra à faire des conclusions hâtives !]

Devant lui, à une dizaine de mètre environs, la femme continuait à avancer avec un air satisfait et en jetant de temps en temps des coups d’œil dans sa direction, sans pour autant tourner la tête à un seul instant.