poesie

poésie poser sur le carreau ou autres supports en tous genre dans des lieux plus ou moins adapté

Comme la lumière sue la peau d'hiver
tel est le plaisir qu'il m'apporte
vers le bas
aux sons aigus des insectes
tel des machines bourdonnantes
qu'attend t'il de moi

Bouteille d'encre et de parchemins de gloire
tous témoignent de la gloire
d'une histoire complexe qui se déroule
lentement dans mon esprit
comment pourrais-je ne pas le baigner
dans cette lumière

pourtant , le vrais cœur ne demande rien en retour
je ne peux pas lui dire ce que je ressens
simplement abandonner en arrière tous espoir
et fermer les yeux
il ya des cicatrices dans le ciel du soir

le vert est la lumière de la guérison
de mon cœur ou du démon qui me déchire
ver le bas , plus bas
où la sonorités des machines actives fredonnes
n'est jamais apaisante
il n'a pas attendus pour moi

la fleur du printemps en automne
sait ce que l'espoir est une chose terrible
satisfait de ce qui peu advenir
ses mains sont chaudes tel la lumière du soleil
dansent sur la peau pâle de l'hiver
j'ai chéris le plaisir qu'il ma apporter

C'est beau, et la conclusion semble (trop ?) sage.
J'ai beaucoup aimé les images,
au détours d'une ligne elles ouvrent le passage
vers un sens qui se trouve en dehors de la page.

En tout cas, bon courage.

C'est beau.

Malgré les fautes tu as dressé une très jolie peinture a laquelle j'ai su être sensible. Tes images sont belles. Merci.