Sens
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Sens
La lenteur de tes actes témoignent de ta pensée,
A quoi bon ? S'envoler si c'est pour ne plus toucher terre ? S'évader si c'est pour se cacher ? S'exprimer si c'est pour se taire ?
Tu vois enfin là, la fin de tout cela. La belle hécatombe qui s'installe et la douceur de celle-ci. La mélodie de ton âme, la droiture de celle-ci.
Et tes brillantes idées pleines de peines, s'enflamment et brûlent sans fin. Tu crois pleurer ? Tu crois pouvoir ?
Réprime tes injures ! Ta parole ne vaut rien, pas plus que mon sang sur ces runes. Pas plus que leurs sangs sur mes mains.
Nous avions l'espérance. Nous voilà délaissés. Par la Mort, par cette Vie, parce qu'en son nom sonne le glas d'une hégémonie morne et froide.
Celle de ta tombe.
Insensé, inviolé ! Pourquoi ? Cette tristesse sans bordure, cette amer goût de souffre, et ce battement qui dure. Car simple faute que d'espérance.
Et la volonté ? Le berceau de tes pensées ? Lente descente et agonie, reviens-en, vie ? Sans vouloir.
Damne. Larme. Arme. Crâne. Détente.
Ensemble ou Seul, Amour ou Mort, Illusion ou Mirage.
En cette abrupte tribune, celle que tu gravira sans cesse, les jonctions de tes poings éclatés feront fendre sols et âmes torturées.
Toi, libérateur, toi, profanateur, toi maître ultime.
Toi,
Comme une pierre autour du cou.
Comme un flocon dans les poumons.
Comme un sillon vers l'échafaud.
Comme une galère en perdition.
Toi, comme une personne à oublier.
A quoi bon ? S'envoler si c'est pour ne plus toucher terre ? S'évader si c'est pour se cacher ? S'exprimer si c'est pour se taire ?
Tu vois enfin là, la fin de tout cela. La belle hécatombe qui s'installe et la douceur de celle-ci. La mélodie de ton âme, la droiture de celle-ci.
Et tes brillantes idées pleines de peines, s'enflamment et brûlent sans fin. Tu crois pleurer ? Tu crois pouvoir ?
Réprime tes injures ! Ta parole ne vaut rien, pas plus que mon sang sur ces runes. Pas plus que leurs sangs sur mes mains.
Nous avions l'espérance. Nous voilà délaissés. Par la Mort, par cette Vie, parce qu'en son nom sonne le glas d'une hégémonie morne et froide.
Celle de ta tombe.
Insensé, inviolé ! Pourquoi ? Cette tristesse sans bordure, cette amer goût de souffre, et ce battement qui dure. Car simple faute que d'espérance.
Et la volonté ? Le berceau de tes pensées ? Lente descente et agonie, reviens-en, vie ? Sans vouloir.
Damne. Larme. Arme. Crâne. Détente.
Ensemble ou Seul, Amour ou Mort, Illusion ou Mirage.
En cette abrupte tribune, celle que tu gravira sans cesse, les jonctions de tes poings éclatés feront fendre sols et âmes torturées.
Toi, libérateur, toi, profanateur, toi maître ultime.
Toi,
Comme une pierre autour du cou.
Comme un flocon dans les poumons.
Comme un sillon vers l'échafaud.
Comme une galère en perdition.
Toi, comme une personne à oublier.
Crue Elle- Humeur : D'une Obscure Clarté
Localisation : Un lieu chargé de Vie où l'on rêve de Mort
Feuille de personnage
Nom, classe et niveau: Og'Fuz. Inconnu
PA:
(0/0)
PV:
(0/0)
Re: Sens
Pourquoi barrer la dernière ligne ?
Bacrima- Humeur : Une pointe de joie et un soupçon d'amusement
Localisation : Dans ma chambre, rarement ailleur ...
Emploi/Loisirs : Japanimer, ça se dit ?
Re: Sens
... façon d'oublier, je suppose ? ^^
Joli, encore une fois. Profond.
Joli, encore une fois. Profond.
Yoendel- Humeur : variable... dérivable... et même C-infinie
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